Actualités Diverses 1

Destination touristique par excellence, la ville d’Ifrane ne cesse d’attirer, chaque année, davantage de visiteurs, marocains et étrangers, qui optent pour cette ville en tant que destination privilégiée pour y vivre des moments d’estivage et de villégiature, notamment en cette période hivernale.
Prisée par les familles, la destination Ifrane regorge de nombreux atouts et réunit toutes les conditions pour un tourisme agréable et divertissant, tant pour les parents que pour les enfants, et diffère des autres destinations touristiques marocaines de par son architecture, son climat, sa biodiversité et son écosystème exceptionnel.touristIfrane et sa province disposent d’une dizaine de ressources stratégiques qui jouent un rôle très important dans le développement du secteur. L’on peut citer, à cet égard, l’ensemble artisanal et le Centre d’interprétation du patrimoine du Moyen Atlas d’Azrou, la station piscicole de Ras El Ma, l’écomusée du parc national, ou encore la Maison de la cédraie. Elle est dotée d’une exposition scénographique adaptée au programme général d’éducation à l’environnement et basé sur l’écosystème cédraie dans son aspect économique, social et écologique. Le «Michlifen Golf & Country Club» est un joyau du tourisme golfique national, situé dans une clairière rocheuse naturelle au cœur de superbes forêts de chênes verts, disposant d’un parcours de 18 trous. Le Complexe piscicole d’Amghass, situé à 26 km d’Azrou, a été aménagé pour le plaisir des pêcheurs de salmonidés. En matière d’animation touristique, la ville d’Ifrane dispose d’un agenda culturel et d’animation riche et varié, avec le Festival international, le Marathon international des cèdres, le Festival d’astronomie, le Festival national de la pomme, le Festival du court métrage et le Festival national d’Ahidouss.En termes d’activité touristique, la province d’Ifrane a connu, durant la période allant de janvier à octobre de l’année 2019, une nette régression par rapport à 2018, tant en nombre d’arrivées qu’en nombre des nuitées.En effet, selon les dernières statistiques recueillies auprès des établissements d’hébergement touristique classés, le nombre d’arrivées durant les dix premiers mois de l’année 2019 a été de 62.041 contre 66.917 durant la même période en 2018, soit une régression de 7 %. De même, le nombre de nuitées enregistrées durant cette période en 2019 n’a été que de 133.545, contre 148.065 durant la même période en 2018. Quant au taux d’occupation dans ces établissements hôteliers classés, il a régressé de 3 points, puisque celui réalisé en 2019 n’est que de 15% contre un taux de 18% en 2018.Vu la place occupée sur l’échiquier touristique national comme destination de choix, Ifrane continue d’attirer de plus en plus d’investisseurs et de promoteurs touristiques. En effet, entre 2015 et 2018, le secteur touristique de la province a vu la naissance de 12 projets avec une capacité d’accueil de 160 lits. Ces projets sont implantés dans le monde rural, exception faite d’un l’hôtel à Ifrane.

Zones montagneuses - Le programme de développement des filières agricoles à évaluer

Le département de l’Agriculture engage le processus d’évaluation des déclinaisons régionales du programme de développement des filières agricoles dans les zones montagneuses. La région de Taza fait partie des régions à évaluer. Une étude est ainsi projetée par le ministère afin de mesurer l’impact du programme dans cette zone. L’opération consistera à mener des enquêtes et entretiens au niveau des communes et de la population (agriculteurs, éleveurs, association ou coopératives, groupements, etc.) ciblées par le programme avec la détermination des valeurs des indicateurs d’impact, d’effets et de résultats. L’évaluation portera également sur la caractérisation de l’état des lieux socio-économique, organisationnel, environnemental, climatique et sur la gestion des ressources dans les sites d’intervention du projet. Rappelons que le programme de développement des filières agricoles dans les zones de montagnes a pour objectif de lutter contre la pauvreté rurale dans les zones les plus défavorisées, selon une démarche mettant en œuvre une approche participative basée sur la concertation et le partenariat avec l’ensemble des acteurs du programme dans la zone retenue. Le programme bénéficie d’un appui du Fonds international du développement agricole. Sur le terrain, le programme doit se traduire par la diversification et la croissance, de manière durable, des revenus des femmes, des hommes et des jeunes ruraux pauvres, étroitement associé à une gestion durable des ressources naturelles, qui constituent la base de leur survie. Il prévoit la reconversion de superficies en céréales vers des filières plus adaptées et plus rentables en plus de l’intensification et la valorisation de la production des filières ciblées, par la transformation, le conditionnement et l’accès à des marchés rémunérateurs. Dans la région de Taza, le programme cible une superficie totale de 326.444 ha et une superficie agricole utile de 93.636 ha dont 5.366 ha irrigués.

Une subvention de plus de 400.000 dollars pour le Maroc -  FinancementClimatique

L’Institut mondial de croissance verte (GGGI) a approuvé, à travers son Fonds vert pour le climat (GCF), une subvention de 400.242 dollars en faveur du Maroc. L’objectif est d’améliorer l’accès des régions du pays au financement climatique. L’institut, basé à Séoul en Corée du Sud, fournira une assistance technique et soutiendra la mise en œuvre du projet de partenariat avec le Maroc, en étroite collaboration avec le ministère de l’Énergie, des mines et de l’environnement. Le premier volet du projet consistera à concevoir un véhicule de financement national multisectoriel pour aider les régions, provinces et municipalités du pays à accéder au financement climatique. Un financement qui concernera des projets relatifs à la Stratégie nationale de développement durable et aux Objectifs de développement durable (ODD). Le second volet consistera à concevoir un programme régional de renforcement des capacités pour accompagner les acteurs nationaux et régionaux dans la priorisation et la préparation de projets de financement climatique bancables, durables et inclusifs. Cette subvention fait suite au partenariat signé en 2015 entre le GGGI et le ministère délégué chargé de l’Environnement de l’époque, à travers lequel l’institut accompagnera le Maroc dans sa transition vers une croissance verte et inclusive. 

Rabat
Le «Souk des fleurs» s’étiole

Situé au centre-ville de Rabat et dominant la Place Moulay El Hassan (ex-Place Pietri), telle une forteresse de senteurs et de couleurs, le marché aux fleurs semble avoir perdu de sa fraîcheur. Dans cet endroit mythique, pas loin de la Cathédrale Saint-Pierre, «Marché Nouar» a vu le jour en 1940 et a été délocalisé pendant trois ans à Nouzhat Hassan, le temps du réaménagement de l’ancienne Place Pietri. Attirés par les enivrants effluves qui se dégagent des charmantes échoppes des fleuristes, les chalands s’attardent un moment, s’extasient devant les pots et les bouquets magnifiquement arrangés, mais passent rapidement leur chemin. Ceux qui prennent le temps de se renseigner sur les prix passent rarement à la caisse. Les fleurs ne font plus recette, manifestement. Cela ne veut pas dire que les Rbatis sont insensibles à la beauté et la symbolique de ces jolies plantes. Mais pour être pratique, débourser entre 100 et 200 DH pour un bouquet d’une dizaine ou d’une vingtaine de fleurs, dont la durée de vie ne dépasse pas quelques jours, revient à jeter son argent par la fenêtre. Et cela, peu de Marocains sont disposés à le faire ! Du coup, «Marché Nouar» qui, auparavant, ne désemplissait pas, offre aujourd’hui un spectacle de désolation. Sur toute l’année, le souk des fleurs ne retrouve sa fraîcheur que pour quelques jours, à l’approche des Moussems, de la Saint-Valentin et du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes.

Sécurité des aliments  Une stratégie 2020-2024 pour les pays en développement


Le Fonds pour l’application des normes et le développement du commerce développera les compétences à respecter les normes internationales de santé et de sécurité animales dans les pays en développement. Sa stratégie 2020-2024, dévoilée et lancée jeudi, se fixe deux objectifs pour y arriver : la coordination entre les organisations concernées et la facilitation de l’accès aux bonnes pratiques mondiales.Le Fonds pour l’application des normes et le développement du commerce (STDF) a lancé, jeudi, sa stratégie 2020-2024. Intitulée «Perspectives commerciales sûres et inclusives pour les pays en développement», cette stratégie définit une feuille de route pour les activités du FANDC conformément au Programme 2030 des Nations unies. Elle soutiendra les petits agriculteurs et les micro, petites et moyennes entreprises des pays en développement pour les aider à tirer davantage profit du commerce.Ainsi, pour les cinq années couvertes par la stratégie, le STDF développera les compétences des personnes cibles le long de la chaîne d’approvisionnement pour les aider à respecter les normes internationales de santé et de sécurité et à atteindre les marchés mondiaux et régionaux. En effet, en cas de non-respect des chaines d’approvisionnement ou des règles sanitaires et phytosanitaires (SPS), les aliments peuvent devenir très dangereux. Ces derniers entraînent, chaque année, des pertes de productivité d’environ 95 milliards de dollars dans les pays à revenu faible et intermédiaire, souligne le fonds. Les maladies animales causent elles aussi d’énormes dégâts.À elle seule, par exemple, la peste des petits ruminants (PPR) provoque, chaque année, jusqu’à 2,1 milliards de dollars de pertes économiques, touchant 330 millions des personnes les plus pauvres du monde. Pour leur part, les maladies des plantes sont responsables de pertes annuelles allant de 10 à 16% des récoltes mondiales, soit plus de 220 milliards de dollars qui partent en fumée.

Festival Ciné-Ville
La 25e édition du 3 au 6 juin à Fès
La 25e édition du festival Ciné-Ville de Fès se tiendra du 3 au 6 juin prochain, sous le signe «La ville marocaine aux yeux des cinéastes». Initiée par l’association Médi Film Création-Maroc, en partenariat avec le Centre cinématographique marocain, cette manifestation artistique tend à promouvoir la ville de Fès en tant qu’espace de tournage ouvert à tous les cinéastes et à inciter les professionnels du 7e art étrangers à y réaliser leurs œuvres.Organisé en collaboration également avec la Commune de Fès, ce festival vise aussi à encourager l’investissement cinématographique, à travers la construction de complexes culturels, de studios et d’espaces artistiques et culturels destinés à la diffusion de la culture cinématographique.La participation au festival, devenu un rendez-vous incontournable pour les férus de cet art, est ouverte aux courts métrages (ne dépassant pas 20 minutes) et aux longs métrages, au plus tard le 30 avril prochain.Une panoplie d’œuvres cinématographiques concourra pour les prix du festival, dont le «Prix de Fès de la meilleure œuvre cinématographique» et le «Prix de Fès du meilleur décor».La 24e édition, organisée du 18 au 21 juin 2019, avait mis à l’honneur le cinéma centrafricain, à travers la programmation et la projection d’œuvres cinématographiques de ce pays, et rendu hommage à l’artiste Abdel Kébir Regagna pour sa riche contribution à la scène artistique et culturelle nationale.Le film «A mile in my shoes» de son réalisateur Saïd Khalaf avait remporté le grand prix de cette édition, placée sous le signe «La ville marocaine aux yeux des cinéastes».

C'est curieux, ce qui me chagrine, ce sont les 7 alvéoles que l'on ne voit pas sur la calandre de la Jeep blanche.

En célébration de la Journée mondiale des zones humides, placée cette année sur le thème «Zones humides et biodiversité», le département des eaux et forêts relevant du ministère de l’Agriculture a organisé, mardi dernier, une journée scientifique à la Bibliothèque nationale de Rabat. Cette rencontre a été initiée en partenariat avec l’Institut scientifique de Rabat, le Fonds mondial pour la nature (WWF), le Groupe de recherche pour la protection des oiseaux au Maroc (GREPOM) et l’Association marocaine pour la protection de l’environnement et du climat.

SERGE
 Il n'est pas dit qu'il s'agit  de la Jeep blanche.La Jeep responsable a du reculer puis sen aller pour ne pas détruire l'oeuvre du froid.