Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 2

  La Beauté du diable est un film franco-italien de René Clair sorti en 1950.Réalisation, René Clair.
Au seuil de la mort, l'éminent professeur Faust est envahi par l'amertume : malgré une vie consacrée à la recherche intellectuelle, il n'a pas percé les secrets qui le fascinent. C'est alors qu'apparaît Méphistophélès, incarnation du Diable, qui lui propose un pacte : il lui donnera jeunesse et richesse éternelles en échange de son âme. Le vieux professeur accepte mais s'intéresse bien plus aux femmes une fois son apparence juvénile retrouvée.

Scénario : Méphisto, envoyé par Lucifer, entre en contact avec Henri Faust, éminent professeur arrivé au terme de sa vie, afin de lui voler son âme. Il lui offre jeunesse, gloire et richesse pour, un jour, tout lui retirer brusquement. Henri, désireux de tout reconquérir signe alors un pacte avec l'enfer. Il obtiendra finalement le salut de son âme grâce à l'amour d'une jeune bohémienne, tandis que Méphisto, abandonné par son maître, sera livré à la foule en colère.

   La Marie du port est un film français réalisé par Marcel Carné en 1949, sorti en salle le 25 février 1950.  
Ennuyé par son mariage avec Odile, Châtelard décide d'acheter un bateau de pêche. Lorsqu'il rencontre pour la première fois la soeur de sa femme, Marie, il tombe rapidement amoureux d'elle. Un jour, Châtelard la conduit vers la chambre de son ancien petit-ami, qui est au lit avec Odile. Marie menace alors de se jeter à l'eau.

     Dans son premier long métrage, "Les Quatre cents coups", François Truffaut raconte l'histoire d'un jeune écolier turbulent et maladroit en guerre contre tous. Un portrait sur l'enfance qui a marqué l'histoire du cinéma, à partager avec vos enfants.
Antoine Doisnel est un adolescent rebelle. Il sait ne pas être "le fils de son père" et surprend un jour sa mère avec un inconnu. Il se met à fuguer puis, récupéré par ses parents, un nouveau départ semble démarrer dans une confiance rétablie. Mais Antoine subit alors une injustice scolaire et les quatre cents coups reprennent de plus belle...
Date de sortie : 3 juin 1959

     Le Rouge et le noir
L'histoire de Julien Sorel, arriviste immortalisé par Stendhal, qui renonce à l'armée pour l'Eglise mais que l'amour mènera à la guillotine.

Film Drame, France, 1954, 3h05
A la cour d'assises de Besançon, sous le règne de Charles X, se déroule le procès de Julien Sorel. Le jeune homme est inculpé de tentative de meurtre sur la personne de Louise de Rénal, l'épouse du maire de Verrières. En attendant patiemment le verdict, Julien se souvient de son tumultueux passé...
De :Claude Autant-Lara
Avec :Gérard Philipe, Danielle Darrieux, Jean Martinelli, Antonella Lualdi, Antoine Balpêtré, Jean Mercure, Anna-Maria Sandri, André Brunot
Musique :René Cloërec
Scénario :Claude Autant-Lara, Jean Aurenche, Pierre Bost

        Casque d'or est un film dramatique français réalisé par Jacques Becker, sorti en 1952. Il est inspiré de l’histoire vraie d’Amélie Élie, surnommée « Casque d'or ».
Du coup de foudre à l'échafaud, Casque d'or est une tragédie de la Belle Époque à la beauté mélancolique. L'histoire d'un amour impossible, marqué par le destin, que se portent Signoret et Reggiani.

Synopsis : En 1898, dans le milieu de la contrebande à Paris, Marie, surnommée `Casque d'Or', fait la connaissance de Manda, un ancien voyou. Une querelle éclate entre Manda et l'amant de Casque d'Or. Ce dernier trouve la mort à l'issue du combat. Un innocent, qui est aussi l'ami de Manda, est accusé du crime. Ne supportant pas l'injustice, Manda se rend à la police, mais décide de venger cette trahison avant de payer pour son crime.
Date de sortie : 13 mars 1952 (France)
Réalisateur : Jacques Becker

          Razzia sur la chnouff
Henri Ferré, dit le nantais , arrive à Paris. Il est chargé d'aider le redoutable Paul Liski, chef du gang parisien de la drogue, à remettre de l'ordre dans l'organisation du réseau. Mais en réalité, le nantais est un inspecteur de police dont la mission est d'infiltrer le milieu. Liski l'ignore et il confie à ferré la direction d'un bar qui doit lui servir de couverture.
Date de sortie : 7 avril 1955 (France)
Réalisateur : Henri Decoin
Bande originale : Marc Lanjean
D'après l'œuvre originale de : Auguste Le Breton
Producteur : Paul Wagner
Scénario : Henri Decoin, Auguste Le Breton, Maurice Griffe

J'ai vu une bonne partie de ces films à Meknès, très souvent avec mon père, et revu certains en France.... C'est ce que j'ai connu de plus beau et d'inoubliable durant mon adolescence. Cela m'a valu quelques tartes (sans pomme) et aussi quelques coups de pied au Q.G. des casernes militaires.
C'était notre cinéma... rien à voir avec ces pseudos films d'avant garde d'aujourd'hui...
Opinion personnelle

            La Ronde  - Film français réalisé par Max Ophüls en 1950. Le scénario du film est tiré de La Ronde, une pièce de théâtre de l'écrivain autrichien Arthur Schnitzler.
Synopsis           :  Un narrateur, le « meneur de jeu », présente une série d'histoires tournant autour de rencontres amoureuses ou « galantes ». La « ronde » passe de la prostituée au soldat, du soldat à la femme de chambre, de la femme de chambre au fils de famille, de celui-ci à Emma, la dame mariée, d'Emma à Charles son mari, de Charles à la grisette Anna qui tend la main au poète, qui l'abandonne pour la comédienne qui ne résiste pas au comte, lequel, retournant s'encanailler avec la prostituée, boucle le cercle.

       Les Nuits de Cabiria
1h 55min / Drame  - Années 1950 -  De Federico Fellini   -  Avec Giulietta Masina, François Périer, Franca Marzi

Cabiria, une petite prostituée romaine, est une gentille fille, assez naïve malgré son dur métier. En dehors de ses clients, les hommes qu'elle rencontre font montre envers elle d'une grande cruauté. Avec une foi inébranlable, Cabiria ne désespère pas de voir tourner sa chance et persiste à chercher l'amour.

FERNANDEL
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Jolis portraits! Ah si je savais dessiner comme cela...

ALAIN et JIMMY

Aîe, aïe, aïe..... mon petit Lulu....

Tu vas être peut être jaloux..... mais je ne le pense pas, venant de toi....

Non seulement j'ai eu droit à une copie de ce tableau, mais aussi un portrait immense de Robert Mitchoun de la part de notre ami Claude... Ils trônent tous les deux sur les murs du bureau.
Merci Lulu.... C'est bien de l'avoir remis sur le RdlB...

Portraits d'artistes par Eric Faugère


                             
                                             Luis Mariano                                                                                       Marylin Monroe

J'ai presque vu tous ces petits films en N&B de cette période...

            Vivien Leigh et Clarck Gable - Autant en emporte le vent – 1939
En Georgie, en 1861, Scarlett O'Hara est une jeune femme fière et volontaire de la haute société sudiste. Courtisée par tous les bons partis du pays, elle n'a d'yeux que pour Ashley Wilkes malgré ses fiançailles avec sa douce et timide cousine, Melanie Hamilton.

Voilà un salut à l'ami Claude Sandeaux que l'on n'oublie pas...

Je sais que ce n'est pas important, mais j'ai bien vu la "Môme vert de gris"  ainsi qu'Ali BABA d'ailleurs, à la salle de l'Empire...Quelques temps plus tard, je revois aussi dans la même salle "l'Ennemi Public N°1" avec FERNANDEL. Surprenant, surtout avec l'accent du midi...
Mais je le répète...: est-ce bien important...???
Et puis...rêvons un peu...y'a pas de mal à se faire du bien...

Le Théatre de Meknès

A ma connaissance, il n'y a eu qu'un théâtre à Meknès, rue Lafayette. Il s'est appelé Théâtre René Canu à sa construction , du nom de son architecte. (Vers 1920/25...???).
C'est vers les années 30/35 qu'il a été baptisé "Théâtre Le Régent", et a été ensuite pourvu d'un grand écran.

            Affiche de février 1952. J'avais 13 ans. Claude Bolling avait honoré notre salle de sa présence... Je n'ai pas souvenir de ce spectacle.

JIMMY
Il n'y avait qu'un théâtre à proprement parler à Meknès: Le Régent. Mais des séances avaient aussi lieu au sous-sol des municipaux équipé d'une estrade ( séances gratuites pour les étudiants et j'ai pu assister à certaines) plus rarement au Rif, devenu plus tard L'ABC.