Peintres Orientalistes 1

Waouh, il en a trouvé un que je n'avais pas !!


Pour compenser, je place presque le même, qui faisant partie d'une collection privée je n'en ai pas les caractéristiques.

AGNES ET ALAIN

Vos réponses me ramènent à: "Retiens-toi au pinceau, j'enlève l'échelle". Parce que les trous sont au sommet et que je sache, le sommet ne s'atteint qu'en dernière étape et sur ce qui est dessous et non l'inverse. Alors comment placer des poutres élévatrices sur ce qui n'existe pas encore? 

J'AI TROUVÉ ÇA SUR INTERNET, CONCERNANT LA CONSTRUCTION DES CHÂTEAUX FORTS EN ALSACE :
"TREUIL ET ÉCHAFAUDAGE

En vue de monter les pierres au niveau de la construction et en fonction de l’avancement du chantier, les bâtisseurs les entaillent et y insèrent des pinces accrochées à une corde s’enroulant autour d’un treuil. Les entailles sont appelées trous de levage ou trous de louve en fonction du type de pinces utilisées.
Il existe également des échafaudages sur les chantiers médiévaux, comme en témoignent les trous de boulins encore visibles sur certains murs. Une fois les murs en place, il reste à couvrir les bâtiments et à équiper le château."

Peut-être que les restaurations successives de ces constructions très anciennes ont fait disparaître les trous qui étaient plus bas Exclamation

Ghislaine Jousse-Veale a écrit:Xavier - Le pauvre ane, ils doivent lui faire mal...

GHIS

Non! Ne te fais pas de soucis, ils le "fairrent" bien.

Sais-tu en quoi consiste un ferrage de sabots? "Je vais te le dire  ma chère Clara" comme dirait quelqu'un qu'on connait :
D'abord on nettoie bien le creux du sabot, ce qu'on appelle la sole, ensuite on égalise la corne, ce qu'on appelle la pince, ensuite on met la fourchette, c'est à dire  la corne molle de la face inférieure  du sabot, à niveau de la pince. Pendant ce temps on chauffe le fer. Quand il est rouge on le place sur la corne et on le travaille sur une enclume jusqu'à ce qu'il qu'il épouse parfaitement le contour du sabot. C'est là que ça  sent  la corne brûlée à plein nez. On prend soin bien sûr de le refroidir (le fer pas le cheval) et enfin on le cloue ( toujours le fer, pas le cheval). Et on passe à une autre patte, parce qu'il y en a quatre. Comme quoi ce serait plus simple de ferrer les humains. Notamment  Aïcha  kandicha qui parait-il a les deux pieds en corne et fourchus . Encore faudrait-il pouvoir la chopper celle-là. J'ai tout tenter sans y parvenir.
Voilà chère Ghislaine! Ne me demande  surtout pas combien tu me dois pour la leçon. Ca n'a pas de prix tellement c'est savant.

Ghis, quand c'est demandé si gentiment, on ne peut résister .
Ce tableau est remarquable, que je ne connaissais pas alors que j'ai tout vu en Espagne sur Dali . C'est bien de nous l'avoir fait découvrir.