Jeux, Souvenirs et Articles d'école 1

Ghislaine Jousse-Veale a écrit:
Bonjour - J'ai eu le plaisir dans la matinee d'avoir au telephone le patron du Gambrinus (la personne que j'avais eu l'annee derniere etait celui qui s'occupait du bar) et donc le proprietaire est Mr. Zaki El Idressi et il a lui-meme fait des recherches au sujet de cette fresque et ce qu'il a appris est que c'est un ancien client de cet etablissement (et ami des premiers proprietaires), qui fut l'artiste de cette fresque et qui s'appelait Mr. Miron. Zaki n'a pu savoir de quelle nationalite il etait, mais apparament il parlait 7 langues. En plus il avait fait une fresque dans la villa de Mr. Pagnon soit en ville soit a Toulal.  Il n'est pas le Zaki de l'hotel et de l'equipe nationale de foot du Maroc. Le Zaki qui etait dans l'equipe de foot est maintenant entraineur mais il ne fait pas partie de la famille de Mr. El Idressi.

J'avais envoye un mail recemment a Dr. Zemmouri, le fils de Ahmed pour avoir le numero de telephone de Mme Pagnon (femme de Marcel qui etait le fils d'Emile) car comme Mr. Zaki me disait (ci-dessus) on lui avait dit que cet artiste avait aussi fait une fresque dans une des 2 maisons de Emile Pagnon. Bref Mr. Zemmouri  m'a repondu ce matin avec le numero et j'ai eu une superbe conversation avec Madame Simone Pagnon. Nous avons parle de tout, Meknes et compagnie..  Mais pour une fresque peinte chez les Pagnons ce n'est pas le cas du tout et aucune fresque avait ete faite chez le proprietaire de la Vallee Heureuse.  Donc nous ne savons toujours pas qui avait peint la fresque du Gambrinus.

JACK habitait 10, rue gay Lussac à Meknès, pas loin de JEAN CLAUDE BROTONS, de SERGE, de JACQUELINE PHILIZOLA (hélàs décédée il y a 3/4 ans, et bien d'autres. Je l'ai revue 1 mois avant son décès.) Elle se trouvait alors chez sa soeur Jocelyne à la Roque d'Anthéron, laquelle est mariée à André Roméro, le saxo de Meknès, rue Gay Lussac lui aussi...Jacqueliné était dans ma classe, Jocelyne, avec mon frère.
Tu as 8 ans de plus que moi...Donc tu ne peux te souvenir de moi, mais comme je te l'ai dit par courrier, j'étais presque toujours fourré à la Place d'Armes, à l'église ou au café de la place du même nom, fief de l'UCM, Union Cycliste de Meknès.
J'ai revu Puttaggio 3 ou 4 fois à Nîmes. Tu n'as pas pu connaitre Thayeb, le coureur cycliste... trop jeune pour toi, ainsi que François Diaz, né en 37 (?????), mon pote d'école, plusieurs fois champion du Maroc et vainqueur dans des grandes courses en France. Il a couru avec Bahamontès et habite dans le 84. Spécialité cyclo-cross...N'a jamais voulu passer pro au grand dam de ses entraineurs.  

Mon père fréquentait l'ESM pour les besoins du travail, mais il était du KM10...Tu parles du capitaine Pélisser, il me semble que c'était Pélissier qu'il s'appelait et qui se trouvait à l'ESM...

Voilà pour une première approche... A toi maintenant...!!!

SAUTERELLES
Oui lucien, tu connais et a vécu cette époque, pour les esprits qui, ont le droit de ne pas connaître les fermes, et la destruction d'une récolte. Merci de tes explications...Certes, tu ne remets pas en cause les paroles de qui que ce soit. Mais dans ma jeunesse / donc post 48, j'ai entendu parler de ces luttes et destructions par insecticide, même insecticides projetés par avions, j'en ai déjà parlé . Personne n'a relevé.
Vous parlez tous des invasions de sauterelles dans les années 50. Oui , j'ai connu. Mais Comment pouvez vous oubliez, les années début 60.???

(je fais ici une parenthèse, c'était aussi l'exode des juifs du Maroc vers Israël, exode si librement Smile Shocked accordé, moyennant la somme de xxxxx par individu désirant partir. Il s'en suivit aussi des inondations , et autres plaies.... Inutile de vous dire que chez ces marocains, si superstitieux, après des millénaires, les plaies d'Egypte, étaient en train de s'abattre sur le Maroc.....l'exode s'en trouva changé. Vous qui étiez adultes, avez, à n'en point douter, de quoi poursuivre mes souvenirs d'ados.

OUf nous avions fini de vendanger. Sous ce nuage noir, obscurcissant le ciel, nous avons garé la voiture sur le bas coté de la route de Meknès, fermé le moteur ( tu sais pourquoi Lucien), et attendu dans un brouhaha la fin du nuage pour remettre le moteur en route et rejoindre Meknès.
Le lendemain, plus une seule feuille sur les arbres des grandes avenues de la ville. Et, je parlons pas des terrains agricoles. Mais ouf la récolte avait été sauvée. Nous vendangions après le 15 Aout, rentrions pour nos études en France début septembre. J'avais 13, 14 (non, je devais être en Angleterre) ou 15 ans.

épisode, non flash de mon vécu, en une heure (????) plus une feuille.

Privilège de l'âge...moi c'était en 1948. J'arrive aux travaux publics de Meknes tout seul au volant de la voiture de mon père (entre le lycée et l'école des soeurs) et je vois l'ingénieur, dont je ne citerai pas le nom. Il me demande ce que je voulais et je répondis: passer mon permis.... "Ah, parceque tu ne l'as pas??? pourtant je t'ai déjà croisé!!!. Aimablement il me demande de l'amener au marché faire une course, puis retour à son bureau. "allez, retourne chez toi et reviens demain, je te le donnerai". Je le remercie mais ne bouge pas; "tu désires autre chose?" "Oui, mon permis moto" . Là, vraiment grosse surprise "mais je te vois souvent sur la petite moto de ton père!!!!
Le lendemain, j'empochais les 2 permis.
Elle est pas belle la vie

Lucien :lol!: 
Son 1er permis lui a ensuite été délivré par les troupes américaines, mais je ne sais pas en quelle année ni comment par la suite il l'a fait valider.
Il a par la suite été chauffeur de l'évêque puis des directeurs du chemin de fer marocain et, entre les 2; chauffeur de taxi

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hhh