BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 6

Bonjour à vous tous.

Des souvenirs nous en avons tous et je vais commencer par mes premières années.

1 - les Aîssaouas, qui le jour de leur fête, passaient devant notre maison. Je devais avoir trois ou quatre ans. Et je me cachais sous la table. J'en avais une trouille......
2 - J' habitais à la limite du Bordj, juste en face de la Guinguette. Comme souvenirs il me semble qu'ils passaient comme musique, de la musique américaine, du style Gleen Miller. Je suis preneur de toute information concernant cette guinguette et en particulier comment la situer sur un plan de Meknès d'aujourd'hui.
3 - Et derrière notre maison une grande descente,  terrain vague, avec au loin la ligne de chemin de fer.Et mon père était dans le jardin, le jour de l'Accident de ce train. Il me l'a raconté maintes et maintes fois. Et surtout ce qui me reste, c'est qu'il me disait que plus le train reculait, plus le second de la machine activait le sifflet (et mon père l'entendait ce sifflet) et plus le train descendait.
4 - Je suis allé à l'Ecole de la Gare. J'ai toutes mes photos de classe.
A suivre.

bonjour à tout le monde et bonne année 2014

André je ne connais pas la marche à suivre du site.

Daniel

Jimmy comment dois je faire pour insérer une photo ou une vidéo. merci

Bonjour Serge.

C'est en lisant l'article sur ce déraillement que mes souvenirs sont revenus.
Mon père était cheminot  et nous habitions au Bordj M Omar de 1941, arrivée de mon père au Tanger-Fez jusqu'en 50 ou 51. Ce qu'il me disait:
  Le train montait lorsque le mécano a vu la personne électrocutée.
Il a arrêté le train, puis est parti le décrocher. Mais dans le train était resté , j'appellerais le second ou chauffeur.
Quand le train s'est mis à reculer,  le chauffeur, pris de panique peut-être, s'est mis à actionner le sifflet, et ce que me disait mon père, c'est que plus il sifflait, plus la pression des freins disparaissait jusqu'à plus de frein du tout. Je ne sais pas si le chauffeur a actionné le sifflet avant de se mettre à reculer.
Il me disait aussi que des personnes qui étaient descendues ont couru pour remonter dans le train.
Ce sont mes souvenirs. Maintenant, dans mon imagination, je pensais qu'il s'agissait d'une machine à vapeur, puisque le train perdait sa pression. Je ne pense pas que cette raison convenait pour une machine électrique ( machine électrique ou machine à vapeur ?)
Et chaque fois qu'on allait ou revenait de Casablanca, au passage du site, on voyait le mémorial et on l'évoquait.
J'espère t'avoir été utile.
Dans les années 50, 51 nous sommes partis habiter Rue Gay-Lussac, le quartier des cheminots jusqu'à notre départ pour la France en Juillet 58.

Merci à vous tous pour m'aider à trouver cette guinguette.

Quel hasard!!!!

c'est nous qui sommes venus habiter au 37 rue Gay Lussac...... en 50 ou 51 peut-être en 49, je ne m'en souviens pas exactement.



C'est nous qui t'avons peut-être remplacé...

Sûr que nous t'avons remplacé.

Mon père, me disait que c'est moi qui lui avait appris la mort de Marcel Cerdan, un midi quand il revenait du boulot et ce rue Gay-Lussac.

Il est mort en octobre 49 (çà colle).

Bonjour à tous,
Marcel, je sais que tu es le grand frère de Claude...Peux tu m'envoyer une photo
de l'école de la gare sur laquelle "tu es" que je puisse mettre ta trombine (de l'époque)
au 37 de la rue Gay Lussac avec ton frère...Je suppose que tu n'es pas sur les photos de classe du QI ??
En te remerciant d'avance,
Henri

Je te fais çà dans les jours à venir.

J'ai fait un plan de situation de notre maison au BMoulay Omar en 1945.

Cela pourra vous aider. Merci.

Je ne sais pas si le plan est bien enregistré.