BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
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Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
GHIS
Combien pèse ta dinde? Dinde ou dindon?
Le saviez-vous ?
• Avec 144 calories pour 100 g, la dinde est la plus maigre de toutes les volailles. Riche en protéines (29 % ), elle apporte du fer et des vitamines B. C’est la viande idéale des repas de fête tout en sagesse.
• La consommation de viande de volailles a beaucoup augmenté. Elle est passée de 16 % en 1970 à 28 % en 2010 de la consommation totale de viande.
• Les Français consomment environ 230 œufs par an et par personne. 30 % de la production française d’œufs est utilisée dans l’industrie agroalimentaire.
• 5,4 kg : poids moyen d’une dinde vivante. Elle pèse entre 3 et 4 kg lorsqu’elle est servie à table.
La dinde américaine peut peser jusqu'à 10 kilos sur pied.
Combien pèse ta dinde? Dinde ou dindon?
Le saviez-vous ?
• Avec 144 calories pour 100 g, la dinde est la plus maigre de toutes les volailles. Riche en protéines (29 % ), elle apporte du fer et des vitamines B. C’est la viande idéale des repas de fête tout en sagesse.
• La consommation de viande de volailles a beaucoup augmenté. Elle est passée de 16 % en 1970 à 28 % en 2010 de la consommation totale de viande.
• Les Français consomment environ 230 œufs par an et par personne. 30 % de la production française d’œufs est utilisée dans l’industrie agroalimentaire.
• 5,4 kg : poids moyen d’une dinde vivante. Elle pèse entre 3 et 4 kg lorsqu’elle est servie à table.
La dinde américaine peut peser jusqu'à 10 kilos sur pied.
Grostefan Alain- Messages : 14010
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
ahahaha La dinde etait tres belle et une pure "yankee" et tu m'apprends des choses sur elle Very Happy Celle que mon gendre avait acheté vennait de la Californie. En tous les cas elle etait délicieuse et nous étions une dizaine à table (il manquait Olivia bien sur). J'oublie la chienne qui a fait le tour de la table 36 fois en nous regardant comme si elle disait "et moi alors?"
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12844
Date d'inscription : 18/10/2010
Age : 83
Localisation : Vancouver, Colombie Britannique
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
Souhaitons la bienvenue au dernier rentrant dans notre site ce jour : PELLETREAU Jean Christophe.
Jean Christophe est le petit fils de Théophile Jean Delaye, peintre orientaliste et dessinateur très connu au Maroc et en France, que l'on retrouve souvent dans nos rubriques traitant la peinture et le dessin.
Il est aussi le petit fils de Jacques Pelletreau connu à Meknès comme étant le directeur de la Banque du Maroc à Meknès.
Voici ce que Jean Christophe a mentionné en préambule dans sa demande d'inscription au RdlB...:
"Je souhaite pouvoir accéder à certains dessins et tableaux de peintres orientalistes, dont ceux de mon grand-père maternel Théophile Jean-Delaye.
Mon père qui a 88 ans bientôt, est intéressé par votre site dans la mesure où il a vécu avec ses parents, son père Jacques étant directeur de l'agence de la Banque du Maroc à Meknès, avenue de la République.
Je m’appelle Jean Christophe Pelletreau, j’ai 58 ans né à Chalon sur Saône le 11 Novembre 1959 en catastrophe juste à l’arrivée de mes parents de retour du Maroc, plus précisément de « Petit Jean », Sidi Kacem depuis.
Mon père, Claude Pelletreau, fils de Jacques et Marguerite Pelletreau est né le 20 Novembre 1931 à Rabat.
Jacques Pelletreau a été muté à l’Agence de Meknès de La Banque d’état du Maroc en 1938 en tant que directeur, et logeait donc à ce titre avec toute sa famille au-dessus de la Banque dans un logement de fonction. Je n’ai pas l’adresse.
- Mon père entra au lycée Poeymirau en classe de CM1 (8°) en cours d’année 1938 sans doute comme le montre la photo ci-dessous trouvée sur votre site par mon fils .Il y resta jusqu’à la 5°, courant d’année 41, date à laquelle son père fut muté à Rabat.
- Ma mère, Anne Marie Pelletreau, née Delaye, est née le 4 Avril 1936 à Rabat. Elles est la fille du Lieutenant-Colonel Théophile –Jean Delaye, qui comme vous le savez était un cartographe qui, en dehors de son métier, avait comme passion de peindre le Maroc et il le fit jusqu’à sa fin dans sa maison de Saint Donat dans la Drome ou j’ai eu la chance de l’avoir comme grand père de 1959 à 1970. Cette partie de ma famille n’a pas vécu à Meknès à ma connaissance.
Mes parents sont maintenant dans leurs 80 ans, et j’essaye avec mes enfants de classer les documents de famille et donc la nombreuse production de tableaux, dessins, lithos, cartes journaux et livres qui portent sa signature. En cherchant sur internet, j’ai découvert que votre site c’était intéressé à lui et à publié quelques photos et bios de lui. J’ai dévoré cela avec passion mais pour consulter certains dessins, il faut se connecter sur votre site, d’où ma demande. Je suis sûr que j’ai encore beaucoup d’œuvres à découvrir que ma famille ne connait pas !
Voilà, je ne suis pas de Meknès, mais la famille de mon père y a vécu, et je souhaite m’inscrire sur votre site pour consulter les œuvres de mon grand-père. Je fais cette recherche pour le compte de mon père et de ma mère qui ne maitrisent pas bien internet, et pour moi et mes enfants, pour leur parler de cet arrière-grand-père qu’ils n’ont pas connus. Je ne cherche pas spécialement d’infos sur mon grand-père lui-même, nous en avons beaucoup, mais je rêve de découvrir toutes ses œuvres.
Pour terminer sur une note heureuse pour moi, me voici avec Théophile, dans l’allée des marronniers du Chaffal, sa maison de Saint Donat ou j’ai vécu avec mes parents .
Cordialement, Jean-Christophe Pelletreau."
Dernière édition par Admin le Mer 10 Oct - 21:22, édité 1 fois
_________________
Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
Bienvenue à Jean-Christophe et sa famille dans le Roi de la Bière et le plaisir de vous lire.
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12844
Date d'inscription : 18/10/2010
Age : 83
Localisation : Vancouver, Colombie Britannique
PELLETREAU JC aime ce message
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
Amis et Amies du RdlB, Bonjour
Le 18 Octobre 2018, notre site du « Roi de la Bière » a entamé sa 9ème année d’existence…
C’est un peu le temps des bilans. S’agissant des résultats, on a de quoi être satisfait.
Environ 82 300 messages ouverts (plus de 85 000 avant l’opération de compression). Une page de garde traitant 33 forums différents comprenant 172 sujets actuels, lus par 1 620 000 ( environ ) visiteurs et 249 inscrits, après mise à jour.
On peut tous s’en féliciter, vu notre groupe composé de seniors du 3ème âge. Bravo à tous et toutes. 3e sérénité.
Le thème à présent est de trouver une solution pour laisser le forum à tous ses adhérents sans pour autant diminuer son intérêt et sa présentation actuelle…
Aussi, pour moi, cette mise en veilleuse doit passer par un verrouillage des rubriques importantes.
Je peux expliquer pourquoi et suis prêt à répondre (par mail de préférence) à toutes questions sur ce sujet.… !!!
A vous tous, merci de votre compréhension. Toutes vos suggestions seront accueillies avec attention…A bon entendeur, salut…
Bien affectueusement à tous et toutes.
André
Le 18 Octobre 2018, notre site du « Roi de la Bière » a entamé sa 9ème année d’existence…
C’est un peu le temps des bilans. S’agissant des résultats, on a de quoi être satisfait.
Environ 82 300 messages ouverts (plus de 85 000 avant l’opération de compression). Une page de garde traitant 33 forums différents comprenant 172 sujets actuels, lus par 1 620 000 ( environ ) visiteurs et 249 inscrits, après mise à jour.
On peut tous s’en féliciter, vu notre groupe composé de seniors du 3ème âge. Bravo à tous et toutes. 3e sérénité.
Le thème à présent est de trouver une solution pour laisser le forum à tous ses adhérents sans pour autant diminuer son intérêt et sa présentation actuelle…
Aussi, pour moi, cette mise en veilleuse doit passer par un verrouillage des rubriques importantes.
Je peux expliquer pourquoi et suis prêt à répondre (par mail de préférence) à toutes questions sur ce sujet.… !!!
A vous tous, merci de votre compréhension. Toutes vos suggestions seront accueillies avec attention…A bon entendeur, salut…
Bien affectueusement à tous et toutes.
André
Dernière édition par Admin le Sam 27 Nov - 11:17, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
Il n'y a pas que Venise qui soit triste... Le RDB, comme Félicie, aussi. Je comprends que, l'âge étant là, la lassitude s'empare de nous. Le coeur n'y est plus. Les soucis de santé parfois se font sentir et l'avenir qui se rétrécit ne sont pas faits pour nous forger un bon moral.
Le RDB se met en veilleuse... Dommage, il permettait à certains d'entre nous d'entretenir un contact par le biais d'un post bref. D'autres nous lisaient en silence. A chacun son goût, ça ne se discute pas.
Je remercie en tout cas les créateurs de ce site et principalement CHRISTIANE et ANDRE nos deux chevilles ouvrières. ANDRE le méticuleux a pris beaucoup de son temps pour veiller à la bonne tenue du RDB.
Ne soyons pas pessimistes. Le RDB ne meurt pas. Il sera encore accessible à certaines rubriques uniquement.
Cependant le rideau semble se refermer. Le clown (moi) est triste.
Le RDB se met en veilleuse... Dommage, il permettait à certains d'entre nous d'entretenir un contact par le biais d'un post bref. D'autres nous lisaient en silence. A chacun son goût, ça ne se discute pas.
Je remercie en tout cas les créateurs de ce site et principalement CHRISTIANE et ANDRE nos deux chevilles ouvrières. ANDRE le méticuleux a pris beaucoup de son temps pour veiller à la bonne tenue du RDB.
Ne soyons pas pessimistes. Le RDB ne meurt pas. Il sera encore accessible à certaines rubriques uniquement.
Cependant le rideau semble se refermer. Le clown (moi) est triste.
Grostefan Alain- Messages : 14010
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
Les mots me manquent pour exprimer ce que je ressens.
Je me contente donc de dire « CHAPEAU » aux deux créateurs de notre RDLB. Il fallait un certain courage pour tenter l’aventure mais aussi faire preuve d’un certain doigté pour ensuite maintenir la fraternelle ambiance qui s’est tout naturellement installée dès l’ouverture du site.
Entretenir autant de rubriques exige tout à la fois beaucoup de patience et une certaine rigueur. Réduire leur nombre revient donc à faciliter le travail de surveillance et celui du maintien de l’ordre. Mais c’est surtout le moyen le plus simple et le plus efficace de prolonger la vie du site. Je ne peux donc qu’approuver la décision de nos amis (es) Jimmy et Christiane qu’on ne remerciera jamais assez.
Je me contente donc de dire « CHAPEAU » aux deux créateurs de notre RDLB. Il fallait un certain courage pour tenter l’aventure mais aussi faire preuve d’un certain doigté pour ensuite maintenir la fraternelle ambiance qui s’est tout naturellement installée dès l’ouverture du site.
Entretenir autant de rubriques exige tout à la fois beaucoup de patience et une certaine rigueur. Réduire leur nombre revient donc à faciliter le travail de surveillance et celui du maintien de l’ordre. Mais c’est surtout le moyen le plus simple et le plus efficace de prolonger la vie du site. Je ne peux donc qu’approuver la décision de nos amis (es) Jimmy et Christiane qu’on ne remerciera jamais assez.
Lucien Calatayud- Messages : 5420
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 94
Localisation : Bouniagues (Dordogne)
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
Lucien, Alain, Ghislaine......,
Merci à vous pour votre réaction positive suite à l'annonce faite ci dessus, concernant la mise en veilleuse (terme symbolique...) de notre "ROI de la BIERE"....
La façade de cette Brasserie située sur "l'AVENUE" est inévitablement un des symboles incontournables de notre jeunesse, passée entre les murs, les murailles,le "Zerhoun", l'oued "Wouislane" (c'est ainsi qu'on le nommait), les OLIVIERS....
Mais d'autres symboles tout aussi caractéristiques sont restés très présents dans nos mémoires, de manière indéfectible.... En premier, à tout seigneur, tout honneur, le mirage de la VALLEE HEUREUSE continue à nous faire rêver.
La voici cette Vallée ▼ ▼ dans son état actuel.... Un vestige, une ruine de ce chef d'œuvre qui pérenne encore dans son ancien fief et dont la vue ravive toujours autant notre émotion, notre souvenir.
Mais oui, c'est loin.....!!! C'est loin tout ça... !!! Et "pourkoitouça".... pour reprendre l'expression d'un de nos copains du Lycée.
Merci à vous pour votre réaction positive suite à l'annonce faite ci dessus, concernant la mise en veilleuse (terme symbolique...) de notre "ROI de la BIERE"....
La façade de cette Brasserie située sur "l'AVENUE" est inévitablement un des symboles incontournables de notre jeunesse, passée entre les murs, les murailles,le "Zerhoun", l'oued "Wouislane" (c'est ainsi qu'on le nommait), les OLIVIERS....
Mais d'autres symboles tout aussi caractéristiques sont restés très présents dans nos mémoires, de manière indéfectible.... En premier, à tout seigneur, tout honneur, le mirage de la VALLEE HEUREUSE continue à nous faire rêver.
La voici cette Vallée ▼ ▼ dans son état actuel.... Un vestige, une ruine de ce chef d'œuvre qui pérenne encore dans son ancien fief et dont la vue ravive toujours autant notre émotion, notre souvenir.
Mais oui, c'est loin.....!!! C'est loin tout ça... !!! Et "pourkoitouça".... pour reprendre l'expression d'un de nos copains du Lycée.
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
J'espere que la Vallee Heureuse est toujours la. J'etais dans ce coin en 2008 et enormement de constructions tout autour. Que des heures ma soeur et moi avions passe dans ce jardin quand nous etions gosses. Je connais une grande partie du Canada, des USA. Mexique et nulle part dans ces 3 pays un jardin pareil existe.
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12844
Date d'inscription : 18/10/2010
Age : 83
Localisation : Vancouver, Colombie Britannique
Lucien Calatayud- Messages : 5420
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 94
Localisation : Bouniagues (Dordogne)
Reportage sur Meknes
Bonjour à tous
Qui a vu cette semaine ce très beau reportage sur Meknes et ses peintres notamment Eugène DELACROIX ( le radeau de la Méduse ) qui y a vécu plusieurs jours principalement dans le vieux Mellah.
La Directrice de l'institut français de Meknès ( en haut de la côte en revenant des piscines et du rond point Bouameur ) a décrit et expliqué dans le détail les plus grands tableaux sur Meknès en les décrivant successivement lors de l'exposition à l'institut.
Il me semble que cette directrice est celle que nous avions déjà vu sur les lieux en présence du Waly lors de notre grand voyage Meknes Nimes 2008 où si vous préférez Meknes en mon cœur.
Qui a vu cette semaine ce très beau reportage sur Meknes et ses peintres notamment Eugène DELACROIX ( le radeau de la Méduse ) qui y a vécu plusieurs jours principalement dans le vieux Mellah.
La Directrice de l'institut français de Meknès ( en haut de la côte en revenant des piscines et du rond point Bouameur ) a décrit et expliqué dans le détail les plus grands tableaux sur Meknès en les décrivant successivement lors de l'exposition à l'institut.
Il me semble que cette directrice est celle que nous avions déjà vu sur les lieux en présence du Waly lors de notre grand voyage Meknes Nimes 2008 où si vous préférez Meknes en mon cœur.
René Hermitte- Messages : 1403
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 77
Localisation : Toulon La Valette
Grostefan Alain- Messages : 14010
Date d'inscription : 03/11/2010
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Localisation : Talence 33400
HUGUETTE ROMERO- Messages : 3957
Date d'inscription : 27/10/2010
Age : 81
Localisation : PONTAULT COMBAULT 77
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
René Hermitte a écrit:Bonjour à tous
Qui a vu cette semaine ce très beau reportage sur Meknes et ses peintres notamment Eugène DELACROIX ( le radeau de la Méduse ) qui y a vécu plusieurs jours principalement dans le vieux Mellah.
Salut René,
Je ne l'ai vu qu'à moitié..... j'avais des amis chez moi.... mais j'ai retrouvé le reportage sur Internet et je me le réserve pour une autre fois. Pour la directrice en question, il me semble bien que cela soit la même.
_________________
Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
L’un de mes camardes de régiment vient de nous quitter. Une disparition qui m'a très profondément chagriné et qui bien sûr m’a replongé dans ma période militaire. Et comme j'avais écrit (ou plutôt résumé) quelque part dans mes mémoires les faits les plus saillants des 18 mois que j'ai passés au 1er RCA à Rabat, l'occasion m'est offerte de vous les faire partager.
· 1950/52
Rares sont ceux de ma génération qui éprouvent le besoin de raconter dans le détail comment se sont déroulées leurs obligations militaires. Il est vrai que, passé la courte période dite « d’instruction », le reste du temps s’écoulait ordinairement vide de sens dans une oisiveté languissante avec pour tout horizon, les quatre murs d’une caserne.
Curieusement, aucune occasion ne s’est présentée jusque là pour moi de raviver cette partie de ma vie. Ce qui explique que des 18 mois passés au 1er RCA (Régiment des Chasseurs d’Afrique) stationné à Rabat, je ne garde que les quelques souvenirs qui ont résisté au temps. Avant donc qu’ils ne resurgissent plus que sous de floues réminiscences celles d’une existence antérieure, je saisis l’opportunité qui m’est offerte de les revivifier. Je n’aurai d’ailleurs pas à secouer trop énergiquement ma mémoire pour les relater puisque rares sont les faits qui ont émaillé ce fragment de mon passé.
La toute première chose qui me revient à l’esprit tant elle m’avait paru étonnante c’est que j’ai été le seul pied-noir de mon contingent affecté au 1er escadron du régiment. Etait-ce dû au fait que j’avais, par mégarde et un peu aussi par vantardise, fait savoir que je parlais couramment le dialecte marocain ou n’était-ce dû qu’à une bizarrerie du hasard ? Tout ce que je puis dire à ce propos c’est, d’abord que je n’ai eu aucun mal à me fondre au sein de mes conscrits, tous d’origine métropolitaine et que d’autre part, le capitaine qui ne comprenait pas un mot d’arabe a eu recours en maintes occasions à mes traductions.
Le premier escadron occupait une modeste partie du camp Garnier. Le reste du régiment se trouvait au camp Pagnard. Une sorte d’autonomie qui présentait autant d’avantages que d’inconvénients. Mais je ne m’étendrai pas sur cette singularité?
Ce dont je me souviens aussi c’est qu’à mon arrivée j’étais flanqué de deux valises : une minuscule qui contenait quelques affaires personnelles et une autre qui épousaient les formes d’une machine à écrire. Ce qui bien entendu n’avait pas manqué de soulever quelques railleries du genre :
« Pistonné ! Tu vas te la couler douce au secrétariat du régiment ! » ou encore « Tu comptes faire un reportage avec ta machine ? » Mais pas plutôt installé dans mon coin de piaule, j’avais sorti mon biniou de son étui et m’étais mis à jouer quelques airs en vogue. Non seulement l’ambiance, jusque là plutôt maussade, s’était instantanément égayée, mais une véritable ruée de jeunes appelés surgis des chambrées voisines s’était engouffrée dans la nôtre. Tous s’étaient mis à chanter et à frapper des mains et des pieds ; en bref, à s’amuser comme des petits fous, reléguant leurs nostalgies et leurs angoisses aux oubliettes.
Mais d’autres faits, bien plus saillants ont marqués ma période militaire. Ce sont précisément ceux-là que je me propose de relater en détail.
Il est peu de dire que je ne me suis jamais senti une âme de combattant moins encore celle d’un héros. Mais comme j’avais vainement remué ciel et terre pour dénicher une embauche dans le civil et sans doute aussi parce que l’habit militaire ne me déplaisait pas, l’idée m’avait effleuré l’esprit de souscrire un engagement de cinq ans. Une perspective qui bien heureusement s’était estompée au fil des jours, le caractère fielleux de notre Chef d’escadron en étant la principale cause. Un véritable briseur de candidature d’engagement que cet officier tant ses humeurs étaient changeantes, parfois même étranges et tant ses réactions incontrôlées se sont parfois montrées violentes et même brutales.
Saurais-je mieux dire que je n’étais pas de ceux à qui la côte d’amour (l’élément prépondérant dans ce milieu militaire) a épargné les désagréments. Des hauts et des bas ont par conséquent alterné tout au long de mes dix huit mois dans les jugements de ce haut gradé.
Pour exemple:
Quelques réservistes étant arrivés en pleine nuit, plutôt que de remuer ciel et terre pour compléter l’équipement de la piaule qui leur était affecté, j’ai tout bonnement cru plus simple de prêter les draps et les couvertures de lits non occupés de notre chambrée; étant convenu que j’en reprendrais possession le matin même. Mais voilà… c’était oublier que l’occasion allait s’offrir trop belle d’assouvir quelques nouvelles aigreurs à notre capitaine et qu’une simple inspection des chambres allait satisfaire ce besoin.
« Dès ce soir tu es consigné pour six nuits, me dit-il, ajoutant : Depuis quand se permet-on de démunir sa chambrée d’une partie de son équipement ? »
Il ne s’agissait pourtant que d’un simple dépannage ponctuel. Mais aller faire entendre une chose aussi élémentaire à un officier imbu de son autorité et qui agit plus par humeur que par raison ?
Que l’on se rassure, la consigne n’était pas le bagne. Après le souper, il convenait simplement de se munir d’une couverture de son propre lit, de se rendre au poste de garde et d’aménager son petit coin pour la nuit. Le plus difficile étant de trouver le sommeil au milieu des bruits et des lumières continus du poste. Pour tout confort une épaisse natte de crin posée à même le ciment et sa couverture. C’est bien évidemment la tête vide et les yeux tout gonflés qu’aux premières heures du matin on se devait de rejoindre son escadron.
Cette année-là les grandes manœuvres s’étaient déroulées du côté d’Azrou et d’Ifrane sous le haut commandement du Général Juin.
Le hasard fit que, posté au croisé de deux routes bordées de forêts avec pour mission d’interdire tout passage, je n’ai hélas eu d’autre choix que de lancer une grenade offensive sur un véhicule militaire qui malgré mes sommations n’avait pas marqué d’arrêt. Tous les occupants ayant aussitôt sauté à terre, tous s’étaient précipités d’un même pas décidé vers moi, un colonel en tête suivi d’un commandant et de quelques officiers de moindre grade. Saupoudrés de plâtre de la tête aux pieds, tous paraissaient résolus de me faire payer cher mon audace. Aucunement disposé pour ma part à me laisser malmener, sans tergiversation je mis tout ce beau monde en joue avec injonction d’avancer mains en l’air. Et alors que l’avalanche de menaces que le colonel proférait tout le long du parcours qui nous séparait du campement laissait augurer le pire pour ma pomme, non seulement je n’ai plus entendu parler de cette drôle d’aventure mais, chose pour le moins surprenante, à peine les faits rapportés au capitaine, celui-ci m’avait invité à trinquer en compagnie de tout son entourage. Le verre levé haut, il avait clamé d’un ton qui se voulait solennel :
« Voilà ce qu’on appelle un soldat ; un vrai! » des paroles qui m’avaient fortement rassuré. Je m’étais même dit non sans un certain soulagement : « Te voilà remonté pour un bon moment dans son estime ! »
Hélas, c’était ignorer que lorsque l’adversité vous a dans le collimateur elle ne vous lâche plus.
Et ce qui devait arriver arriva :
En permission chez mes parents, simple coïncidence ou acharnement du sort, toujours est-il qu’un caprice de la bagnole qui devait m’emmener à la gare me fit louper mon train au départ de Meknes et arriver au camp avec une bonne heure de retard. Bien entendu, les conséquences ne se firent pas attendre :
« Tu me feras de 4 jours de taule pour t’apprendre à respecter les heures de permissions !»
Là, j’avoue que ce fut moins drôle. Se trouver confiné jour et nuit dans la pleine obscurité d’un local de trois mètres sur trois en compagnie de quelque blattes furtives qui, aux heures des repas viennent grignoter les quelques miettes de pain, contraint au surplus de dormir tout habillé, les pieds dans des chaussures sans lacets, avec interdiction absolue de fumer, voilà qui n’avait rien d’une vie de nabab. Je parierais même que plus d’un de mes conscrits devait frémir d’effroi à la seule idée d’essuyer pareille sanction. Ce ne fut pas mon cas. J’avoue même n’avoir pas été du tout mécontent d’avoir pu expérimenter ce genre de situation avant l’achèvement de mon service.
Ces quelques péripéties relatées, place maintenant à celui des souvenirs qui dans ma mémoire demeurera impérissable. Il ne s’agit pourtant que d’un pot d’adieu. Mais pas n’importe quel pot d’adieu : celui que de jeunes engagés, volontaire pour l’Indochine m’ont offert à l’occasion de mon propre départ. J’avais été chargé de leur instruction. De vrais fauves réputés ingérables, m’avait-on dit. Coupables pour la plupart de méfaits plus ou moins sérieux commis dans le civil, tous avaient trouvé refuge dans l’armée.
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· 1950/52
Mes obligations militaires
Rares sont ceux de ma génération qui éprouvent le besoin de raconter dans le détail comment se sont déroulées leurs obligations militaires. Il est vrai que, passé la courte période dite « d’instruction », le reste du temps s’écoulait ordinairement vide de sens dans une oisiveté languissante avec pour tout horizon, les quatre murs d’une caserne.
Curieusement, aucune occasion ne s’est présentée jusque là pour moi de raviver cette partie de ma vie. Ce qui explique que des 18 mois passés au 1er RCA (Régiment des Chasseurs d’Afrique) stationné à Rabat, je ne garde que les quelques souvenirs qui ont résisté au temps. Avant donc qu’ils ne resurgissent plus que sous de floues réminiscences celles d’une existence antérieure, je saisis l’opportunité qui m’est offerte de les revivifier. Je n’aurai d’ailleurs pas à secouer trop énergiquement ma mémoire pour les relater puisque rares sont les faits qui ont émaillé ce fragment de mon passé.
La toute première chose qui me revient à l’esprit tant elle m’avait paru étonnante c’est que j’ai été le seul pied-noir de mon contingent affecté au 1er escadron du régiment. Etait-ce dû au fait que j’avais, par mégarde et un peu aussi par vantardise, fait savoir que je parlais couramment le dialecte marocain ou n’était-ce dû qu’à une bizarrerie du hasard ? Tout ce que je puis dire à ce propos c’est, d’abord que je n’ai eu aucun mal à me fondre au sein de mes conscrits, tous d’origine métropolitaine et que d’autre part, le capitaine qui ne comprenait pas un mot d’arabe a eu recours en maintes occasions à mes traductions.
Le premier escadron occupait une modeste partie du camp Garnier. Le reste du régiment se trouvait au camp Pagnard. Une sorte d’autonomie qui présentait autant d’avantages que d’inconvénients. Mais je ne m’étendrai pas sur cette singularité?
Ce dont je me souviens aussi c’est qu’à mon arrivée j’étais flanqué de deux valises : une minuscule qui contenait quelques affaires personnelles et une autre qui épousaient les formes d’une machine à écrire. Ce qui bien entendu n’avait pas manqué de soulever quelques railleries du genre :
« Pistonné ! Tu vas te la couler douce au secrétariat du régiment ! » ou encore « Tu comptes faire un reportage avec ta machine ? » Mais pas plutôt installé dans mon coin de piaule, j’avais sorti mon biniou de son étui et m’étais mis à jouer quelques airs en vogue. Non seulement l’ambiance, jusque là plutôt maussade, s’était instantanément égayée, mais une véritable ruée de jeunes appelés surgis des chambrées voisines s’était engouffrée dans la nôtre. Tous s’étaient mis à chanter et à frapper des mains et des pieds ; en bref, à s’amuser comme des petits fous, reléguant leurs nostalgies et leurs angoisses aux oubliettes.
Mais d’autres faits, bien plus saillants ont marqués ma période militaire. Ce sont précisément ceux-là que je me propose de relater en détail.
Il est peu de dire que je ne me suis jamais senti une âme de combattant moins encore celle d’un héros. Mais comme j’avais vainement remué ciel et terre pour dénicher une embauche dans le civil et sans doute aussi parce que l’habit militaire ne me déplaisait pas, l’idée m’avait effleuré l’esprit de souscrire un engagement de cinq ans. Une perspective qui bien heureusement s’était estompée au fil des jours, le caractère fielleux de notre Chef d’escadron en étant la principale cause. Un véritable briseur de candidature d’engagement que cet officier tant ses humeurs étaient changeantes, parfois même étranges et tant ses réactions incontrôlées se sont parfois montrées violentes et même brutales.
Saurais-je mieux dire que je n’étais pas de ceux à qui la côte d’amour (l’élément prépondérant dans ce milieu militaire) a épargné les désagréments. Des hauts et des bas ont par conséquent alterné tout au long de mes dix huit mois dans les jugements de ce haut gradé.
Pour exemple:
Quelques réservistes étant arrivés en pleine nuit, plutôt que de remuer ciel et terre pour compléter l’équipement de la piaule qui leur était affecté, j’ai tout bonnement cru plus simple de prêter les draps et les couvertures de lits non occupés de notre chambrée; étant convenu que j’en reprendrais possession le matin même. Mais voilà… c’était oublier que l’occasion allait s’offrir trop belle d’assouvir quelques nouvelles aigreurs à notre capitaine et qu’une simple inspection des chambres allait satisfaire ce besoin.
« Dès ce soir tu es consigné pour six nuits, me dit-il, ajoutant : Depuis quand se permet-on de démunir sa chambrée d’une partie de son équipement ? »
Il ne s’agissait pourtant que d’un simple dépannage ponctuel. Mais aller faire entendre une chose aussi élémentaire à un officier imbu de son autorité et qui agit plus par humeur que par raison ?
Que l’on se rassure, la consigne n’était pas le bagne. Après le souper, il convenait simplement de se munir d’une couverture de son propre lit, de se rendre au poste de garde et d’aménager son petit coin pour la nuit. Le plus difficile étant de trouver le sommeil au milieu des bruits et des lumières continus du poste. Pour tout confort une épaisse natte de crin posée à même le ciment et sa couverture. C’est bien évidemment la tête vide et les yeux tout gonflés qu’aux premières heures du matin on se devait de rejoindre son escadron.
Cette année-là les grandes manœuvres s’étaient déroulées du côté d’Azrou et d’Ifrane sous le haut commandement du Général Juin.
Le hasard fit que, posté au croisé de deux routes bordées de forêts avec pour mission d’interdire tout passage, je n’ai hélas eu d’autre choix que de lancer une grenade offensive sur un véhicule militaire qui malgré mes sommations n’avait pas marqué d’arrêt. Tous les occupants ayant aussitôt sauté à terre, tous s’étaient précipités d’un même pas décidé vers moi, un colonel en tête suivi d’un commandant et de quelques officiers de moindre grade. Saupoudrés de plâtre de la tête aux pieds, tous paraissaient résolus de me faire payer cher mon audace. Aucunement disposé pour ma part à me laisser malmener, sans tergiversation je mis tout ce beau monde en joue avec injonction d’avancer mains en l’air. Et alors que l’avalanche de menaces que le colonel proférait tout le long du parcours qui nous séparait du campement laissait augurer le pire pour ma pomme, non seulement je n’ai plus entendu parler de cette drôle d’aventure mais, chose pour le moins surprenante, à peine les faits rapportés au capitaine, celui-ci m’avait invité à trinquer en compagnie de tout son entourage. Le verre levé haut, il avait clamé d’un ton qui se voulait solennel :
« Voilà ce qu’on appelle un soldat ; un vrai! » des paroles qui m’avaient fortement rassuré. Je m’étais même dit non sans un certain soulagement : « Te voilà remonté pour un bon moment dans son estime ! »
Hélas, c’était ignorer que lorsque l’adversité vous a dans le collimateur elle ne vous lâche plus.
Et ce qui devait arriver arriva :
En permission chez mes parents, simple coïncidence ou acharnement du sort, toujours est-il qu’un caprice de la bagnole qui devait m’emmener à la gare me fit louper mon train au départ de Meknes et arriver au camp avec une bonne heure de retard. Bien entendu, les conséquences ne se firent pas attendre :
« Tu me feras de 4 jours de taule pour t’apprendre à respecter les heures de permissions !»
Là, j’avoue que ce fut moins drôle. Se trouver confiné jour et nuit dans la pleine obscurité d’un local de trois mètres sur trois en compagnie de quelque blattes furtives qui, aux heures des repas viennent grignoter les quelques miettes de pain, contraint au surplus de dormir tout habillé, les pieds dans des chaussures sans lacets, avec interdiction absolue de fumer, voilà qui n’avait rien d’une vie de nabab. Je parierais même que plus d’un de mes conscrits devait frémir d’effroi à la seule idée d’essuyer pareille sanction. Ce ne fut pas mon cas. J’avoue même n’avoir pas été du tout mécontent d’avoir pu expérimenter ce genre de situation avant l’achèvement de mon service.
Ces quelques péripéties relatées, place maintenant à celui des souvenirs qui dans ma mémoire demeurera impérissable. Il ne s’agit pourtant que d’un pot d’adieu. Mais pas n’importe quel pot d’adieu : celui que de jeunes engagés, volontaire pour l’Indochine m’ont offert à l’occasion de mon propre départ. J’avais été chargé de leur instruction. De vrais fauves réputés ingérables, m’avait-on dit. Coupables pour la plupart de méfaits plus ou moins sérieux commis dans le civil, tous avaient trouvé refuge dans l’armée.
Le simple mais émouvant mot rédigé en commun est significatif de l’état d’esprit que j’avais su installer dans ce peloton. Je vous en livre fièrement le contenu :
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Dernière édition par Lucien Calatayud le Sam 3 Nov - 9:09, édité 2 fois
Lucien Calatayud- Messages : 5420
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Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
Bravo Lulu.....
Merci pour ces souvenirs de soldat.....
Les gars de notre âge qui éprouvent l'envie de raconter leur jeunesse quelque soit les épisodes de leur vie de jeune adulte, ne sont pas aussi rares qu'ont le pense...
Il n'y a que ceux, plus anciens encore, revenus des "fronts" d'Europe par exemple ou d'autres moins lointains, qui taisent ce passé des faits de guerre ou des institutions militaires de l'époque... Je ne sais pourquoi......?????
C'est bien de se raconter. J'ai bien aimé te lire.
J'ai en ma possession la copie de la lettre du 25/10/1951.... Tu me l'as envoyée il y a un bon bout de temps. Je l'ai dans mes dossiers.
Bien avec toi en ce jour pénible de la perte de ton copain.
Merci pour ces souvenirs de soldat.....
Les gars de notre âge qui éprouvent l'envie de raconter leur jeunesse quelque soit les épisodes de leur vie de jeune adulte, ne sont pas aussi rares qu'ont le pense...
Il n'y a que ceux, plus anciens encore, revenus des "fronts" d'Europe par exemple ou d'autres moins lointains, qui taisent ce passé des faits de guerre ou des institutions militaires de l'époque... Je ne sais pourquoi......?????
C'est bien de se raconter. J'ai bien aimé te lire.
J'ai en ma possession la copie de la lettre du 25/10/1951.... Tu me l'as envoyée il y a un bon bout de temps. Je l'ai dans mes dossiers.
Bien avec toi en ce jour pénible de la perte de ton copain.
_________________
Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
Salut Lucien
Avec toute ma sympathie pour la disparition de ton camarade de régiment.
Ce beau texte sur ton passage à l'Armée m'a fait me souvenir de mon engagement dans l'arme du train des équipages (avec ma clarinette) aux FFA Allemagne dans le Bad Wurtemperg que j'ai sillonné en long large et en travers jusqu'à Berlin ( dur dur ) puis au camp de LA BRACONNE à ENGOULEME avec des Officiers et gradés (ainsi que des anciens tirailleurs) anciens d'Algérie qui ne portaient pas particulièrement les pieds noirs dans leur cœur...
André, je t'appelle
Avec toute ma sympathie pour la disparition de ton camarade de régiment.
Ce beau texte sur ton passage à l'Armée m'a fait me souvenir de mon engagement dans l'arme du train des équipages (avec ma clarinette) aux FFA Allemagne dans le Bad Wurtemperg que j'ai sillonné en long large et en travers jusqu'à Berlin ( dur dur ) puis au camp de LA BRACONNE à ENGOULEME avec des Officiers et gradés (ainsi que des anciens tirailleurs) anciens d'Algérie qui ne portaient pas particulièrement les pieds noirs dans leur cœur...
André, je t'appelle
René Hermitte- Messages : 1403
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Lucien Calatayud- Messages : 5420
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Lucien Calatayud- Messages : 5420
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Age : 94
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UN MESSAGE QUE JE VIENS DE RECEVOIR
De Invité A christiane gérard,
Quelqu'un a-t-il des infos ?
bonjour ma mere elle et nee en 1926 a marrakech et elle etait maitresse des travaux manuels a l'ecole lalla aouda fills de meknes et ca derectise ces madame franaux christine d'apres ce que nous a laissez comme document et lettre elle a travaille 17 dans plusieur ecole je voudrais trouve des personne qui on connus notre mere merci
tous salutation distingue
Quelqu'un a-t-il des infos ?
bonjour ma mere elle et nee en 1926 a marrakech et elle etait maitresse des travaux manuels a l'ecole lalla aouda fills de meknes et ca derectise ces madame franaux christine d'apres ce que nous a laissez comme document et lettre elle a travaille 17 dans plusieur ecole je voudrais trouve des personne qui on connus notre mere merci
tous salutation distingue
_________________
Amitiés Christiane
la clarinette
Lucien, pour faire suite à ta demande
Je n'ai connu qu'une seule sorte de clarinette celle en ébène de couleur noire comme celle de Claude Luter ( ) mais je soufflais aussi en même temps dans mon saxo ténor marque SELMER comme celui de Gilbert LEGRAND de l'orchestre CONRAD ( ) pour divertir mes camarades de chambrée aux FFA puis au CAMP de la Braconne.
A propos des FFA à AkERNE, j'avais retrouvé un vieux Mdl-CHEF du nom de YOUNG , ancien meknassi fils de militaire de la Légion étrangère qui demeurait avec sa famille avant l'Armée dans un immeuble en face des services municipaux de Meknès.
Alsacien d'origine, ce gradé (casque à boulons) ne supportait pas que je joue de la musique après l'extinction des feux.
Meknassi ou pas Meknassi, rien à faire, il ne voulait pas savoir , j'ai failli écoper d'un passage en taule
Après mon séjour à l'Armée j'ai été candidat dans la musique de la Garde Républicaine de Paris puis simultanément pour la batterie fanfare de la Gendarmerie Mobile à CHATELLERAULT.
Oui oui, tout ceci avant mon arrivée dans la Départementale mon cher Colonel de BAYONNE ici présent, qui nous suit sur le ROI DE LA BIERE et que je salue bien bas
Je n'ai connu qu'une seule sorte de clarinette celle en ébène de couleur noire comme celle de Claude Luter ( ) mais je soufflais aussi en même temps dans mon saxo ténor marque SELMER comme celui de Gilbert LEGRAND de l'orchestre CONRAD ( ) pour divertir mes camarades de chambrée aux FFA puis au CAMP de la Braconne.
A propos des FFA à AkERNE, j'avais retrouvé un vieux Mdl-CHEF du nom de YOUNG , ancien meknassi fils de militaire de la Légion étrangère qui demeurait avec sa famille avant l'Armée dans un immeuble en face des services municipaux de Meknès.
Alsacien d'origine, ce gradé (casque à boulons) ne supportait pas que je joue de la musique après l'extinction des feux.
Meknassi ou pas Meknassi, rien à faire, il ne voulait pas savoir , j'ai failli écoper d'un passage en taule
Après mon séjour à l'Armée j'ai été candidat dans la musique de la Garde Républicaine de Paris puis simultanément pour la batterie fanfare de la Gendarmerie Mobile à CHATELLERAULT.
Oui oui, tout ceci avant mon arrivée dans la Départementale mon cher Colonel de BAYONNE ici présent, qui nous suit sur le ROI DE LA BIERE et que je salue bien bas
René Hermitte- Messages : 1403
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 77
Localisation : Toulon La Valette
Re: BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 8
RENÉ
Je t'ai posé cette question parce qu'il existe des clarinettes appelées: "clarinettes basses" utilisées en particulier par les jazzmans. Gilbert Legrand avec qui j'ai eu l'occasion de m'entretenir en 60/61 par là; jouait à la fois du saxo ténor, de l'alto, de la clarinette et de l'accordéon. Où trouvait-il le temps d'entretenir autant d'instruments? ça manarf!
Je t'ai posé cette question parce qu'il existe des clarinettes appelées: "clarinettes basses" utilisées en particulier par les jazzmans. Gilbert Legrand avec qui j'ai eu l'occasion de m'entretenir en 60/61 par là; jouait à la fois du saxo ténor, de l'alto, de la clarinette et de l'accordéon. Où trouvait-il le temps d'entretenir autant d'instruments? ça manarf!
Lucien Calatayud- Messages : 5420
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 94
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