Divertissements, Humour 5

blague, suite ..;
Un européen , un japonais et un algérien sont nus dans un sauna , quand tout a coup un bip retentit ,
l européen dit : " c est mon bipper j ai un microprocesseur dans le bras ..

Le japonais met sa paume à l'oreille et commence à parler , il dit : " c est mon portable jai une puce implantée dans la main ....

l algerien sentant sa technologie dépassée décide de faire quelque chose d impressionnant il part au WC..
Il retourne au sauna avec un morceau de papier toilette entre les fesses , les autres embarrassés le regardent d une façon génée ...

L'algérien leur explique ; " Tiens tiens je viens de recevoir un fax ..."

mdr

GILBERTE
Bravo!

Très  belles  histoires, Gilberte.
Adn

Tout comme André, je n'ai retenu que quelques mots, interjections et "malheureusement" insultes !
Pourquoi ? Je n'en sais rien je n'ai jamais utilisés d'insultes !

Par contre je n'ai jamais entendu parler de Johad
J'ai donc consulté monsieur Google et voici ce que j'ai trouvé :

Qui est Joha ?

Mulla Nasr Eddin (dit Joha) est un personnage (originaire d’Iran) du folklore traditionnel du Moyen-Orient.
De l'Afrique du Nord, jusqu'à la Chine, en passant par l'Egypte, la Syrie, la Turquie voire même la Pologne, on le retrouve confronté à de nombreuses aventures déroutantes et drôles. Suivant les régions son nom change, mais les histoires sont semblables qu'il s'appelle Ch'ha, Nasr Eddin Hodja, Mulla Nasr Eddin, Goha, Djeha, Joha (au Maghreb) Srulek ou encore Effendi...

Ces anecdotes qui mettent en scène Mulla tantôt idiot, tantôt sage ou juge, personnage indéfinissable donc indestructible. Ces histoires ont plusieurs niveaux de signification, mais qu'elles soient étudiées pour leur sagesse cachée ou savourées par leur humour stimulant, elles procurent à tous ceux qui les gouttent un plaisir incomparable et durable.Ce sont des histoire populaires récolté de la tradition Turque, Nord Africaine et même Chinoise ...

Nasser Khémir, un conteur, le présente en évoquant le paradoxe suivant : On peut considérer Joha de deux façons : soit il est tellement intelligent qu'il en devient bête, soit il est si bête qu'il finit par dire des choses intelligentes. Quoiqu'il en soit le résultat est souvent déconcertant et certains petits contes à sous-entendus philosophiques et aux connotations ésotériques étaient utilisés pour l'enseignement des Soufis.

Je crois que dans tous les pays il existe ce genre de personnage, en Corse dans ma famille maternelle il existe un GROSSO MINUTE, réplique de Joha. Mon grand père me racontait souvent ses aventures.

ADN
Tu rimes dans tous les domaines ! Il y avait une chanson qui s'adressait aux jeunes filles en leur disant :" Faites de la dentelle, faites de l'aquarelle, mais n'allez pas surtout courir le guilledou...


Histoires
JEHA était tantôt intelligent, tantôt niais. Il y avait celui de Fès et celui de Marrakech.

Celui de Marrakech se rend à Fès dans le dessein de se moquer de Jeha le fassi. En entrant à Fès-Jdid il avise un homme  adossé à un mur. Il lui demande où habite JEHA. L'homme lui répond: je peux  aller le chercher mais tu dois me remplacer ici car j'empêche ce mur de tomber. Jeha le marrakchi s'adosse  au mur à son tour. L'homme s'en va.  L'attente est longue, longue, longue car cet homme était Jeha le fassi lui-même.

Le niais.
Jeha revient du souk avec un panier dont on ne voit pas ce qu'il transporte. Chemin faisant il rencontre un ami. Ils se saluent. Jeha dit "si tu devines ce que j'ai dans mon panier je t'en donne une grappe". L'autre lui répond "c'est du raisin". Alors Jeha s'exécuta et en offrit une grappe à son ami.

Jeha intelligent
Un homme devenu vieux décida de donner en héritage ses 17 bourricots à ses 3 fils. Le partage devait se faire de la manière suivante:
-la moitié à l'ainé
-le tiers au deuxième
-le neuvième au troisième
Calcul difficile. On fait appel à Jeha qui vient sur un vieux  bourricot bien fatigué et au bout du rouleau. Il s'empresse de le mêler aux 17 bourricots de l'héritage et il opère le partage.
-La moitié de 18 c'est 9 pour le 1er héritier
-le tiers de 18 c'est 6 pour le 2ème
-le neuvième de 18 c'est 2 pour le 3ème
9 + 6 + 2 = 17. IL reste un bourricot. Jeha enfourche un bourricot en bonne santé et s'en va.

Alain cette  chanson  dont tu cites  les  paroles  s"appelle "Julie". Elle fut  chantéé par Marcel Amont  mais aussi   par  Michèle  Arnaud et par  Mouloudji
Paroles: Maurice Vidalin. Musique: Jacques Datin   1957.  Editions Métropolitaines - 1957

ADN

Apparemment, on a bien fait de le réveiller ce Jeha...

Ce Jeha, malicieux, rusé, malin et intelligent, était un personnage de conte d'Afrique du Nord par lequel morale et subtilité nous été enseignées....On a tous connu les histoires de Jeha et il reste un bon et sensible souvenir.

Jeha amir al firan


Jeha et son ami Moïshe ayant acheté beaucoup de fer le stockèrent dans la cave de Moïshe espérant faire un gros bénéfice lors de la revente quand le cours du fer aurait monté.
Ayant vu que le cours montait Jeha alla voir son ami et lui dit :
«  C’est le moment de vendre ».
Mais entre temps ce coquin de Moïshe avait déjà vendu le fer. Alors il répondit :
«  Du fer il n’y en a plus, les rats ont tout mangé ».
« Mais les rats ne mangent pas le fer » s’écria Jeha.
« Bien sûr que oui » fut la réponse.
Jeha furieux cria : « Demain matin je veux que nous allions voir le Cadi ».
Dans la nuit Moïshe alla donner un gros bakchich au Cadi, si bien que le lendemain quand Jeha déposa sa plainte il s’entendit répondre par le Cadi :« Bien sûr que les rats mangent le fer. Je me souviens que lorsque j’étais enfant ma mère avait laissé un morceau de graisse sous le mortier renversé et le lendemain il n’y avait plus rien. Les rats avaient rongé le fer du mortier et avaient mangé la graisse ».
Dépité Jeha alla au palais et demanda audience au Sultan. Il le supplia de le faire Émir des Rats. Le Sultan amusé fit venir son scribe et signa une ordonnance faisant Jeha Amir al Firan.
Muni de ce document Jeha se rendit sur la grand place où les ouvriers attendent d’être embauchés et recruta 10 forts gaillards armés de pelles et de pioches. Puis il les mena à la maison de son ami Moïshe et leur ordonna de détruire les fondations de la maison.
Au bruit des pioches s’attaquant à ses murs Moïshe sortit pour faire cesser cela.
« Mais que fais tu donc, demanda-t-il à Jeha ? Tu es devenu fou? »
Jeha lui présenta le document signé par le Sultan et lui dit : «  Je suis Amir al firan et je cherche les rats qui ont mangé notre fer pour les punir sévèrement. »
Moïshe pour l’empêcher de détruire sa maison lui versa non seulement sa part du bénéfice de la vente du fer mais une grosse somme en plus !
Jeha entraîna ses ouvriers jusque chez le Cadi et leur ordonna, comme chez Moishe, de s’attaquer aux fondations. Le Cadi émergeant de sa sieste se mit à crier mais Jeha le fit taire en lui disant que étant Amir al Firan il recherchait pour le punir le rat qui avait troué le mortier de sa mère et mangé la graisse.
Beau joueur le Cadi se mit à rire et non seulement donna à Jeha le gros bakchich reçu de Moïshe mais il y ajouta une belle somme pour faire cesser la démolition de sa maison.
C’est ainsi que Jeha s’enrichit rapidement grâce à la vente du fer.


ADN

ADN
Je ne la connaissais pas cette histoire de Jeha sur le fer. Il faut le "faire"!

ADN
Justice expéditive et charmant mari....Merci encore pour ce court mais intéressant poème.


Le commerce c'est le commerce!
C’’est un tailleur Juif qui voit entrer
un fou furieux échevelé, les yeux exorbités,
brandissant un grand sabre en criant :
- Allah est grand !
Et le commerçant de répondre :
- Ne vous inquiétez pas, on a toutes les tailles !

Mais  je  n'ai pas  toujours  l'inspiration  malheureusement.
Amitiés.

Alain DN
Comme je te comprends mon cher ami! Et quand on commence à baisser les bras, ça n'est jamais bon signe. C'est généralement parce que la motivation a lâcher prise. Et malheureusement, quand c'est le cas, quoi qu'on fasse, et quels que soient les efforts que l'on déploie  fouillant dans son crâne pour y puiser quelque chose d'original, la feuille reste obstinément blanche. Alors on se dit que c'est, sans doute parce qu'on a mal dormi, parce qu'on a autre chose de plus urgent qui attend. Ca peut être aussi parce que temps ne s'y prête pas. En vérité, c'est tout simplement parce que cette satanée inspiration nous a quitté pour aller momentanément se loger ailleurs, probablement dans un autre crâne qui lui s'est soudainement senti plus fertile. Sacrée inspiration! Quelle infidélité! :lol!:

Mon cher  Lucien
Ce que tu  dis est  bien réel  et j'ai baissé  les bras depuis  un  moment, trop préoccupé ces derniers mois  par la santé, qui se dégradait,  de  mon filleul et neveu. Celui-ci   s'est  enfin éteint  avant hier  après  5 années terribles (dégénérescence spontanée des cellules du  cervelet,  maladie  incurable).

Aujourd'hui à   l'incitation d'Alain GROSTEFAN  je  me suis  un peu poussé et  j'ai écrit  quelque  chose  sur  Meknès. Je ne sais  où il  me faut  poster ce  poème !  Dans quelle rubrique ?

Cordialement.
Alain DN

Avant tout, je veux te dire que je prends part à ta peine. Problème d'hypophyse sans doute. La santé... c'est ce qui importe le plus dans la vie. On ne s'en rend compte que lorsque l'on passe par de tels pénibles moments. Mais comme l'on a coutume de dire: " La vie continue". Et nous n'avons d'autre choix que de prendre sur soi.
Pour donner suite à ta question; tout dépend de ce dont tu parles dans ton poème: est-ce de la ville nouvelle? De l'ancienne? des Us et coutumes? Les rubriques ne manquent pas.
Je note en passant que certains noms prédestinent ou prédisposent. Le tien, Duverger, en est l'exemple. Chacun de tes poèmes n'est-il pas un FRUIT celui de ton imagination?
Aller! Courage! et dis-toi bien que nous sommes tous plus ou moins logés à la même enseigne. Que nous avons tous des hauts qui nous font voir la vie en rose mais hélas aussi des bas auxquels il faut faire front.

ANDRE
J'ai proposé à ADN - sans déflorer présentement  son poème - de le poster dans la rubrique Meknès ville ancienne . Il y a aussi la rubrique "Arts". On pourrait aussi ouvrir une rubrique intitulée "Le coin du poète". Qu'en penses-tu et qu'en pensent nos adhérents actifs. Exprimez-vous ami(e)s meknassi(e)s!
L'ennui c'est qu'une fois posté le poème est recouvert par tous les nouveaux posts arrivant.

ALAIN
Voilà une idée qu'elle est bonne."Le coin du poète" me plait beaucoup.Et comme tu dis le poème ne sera pas recouvert et noyé par tous posts.

ADN
Ton humour mis en vers me ravit.
Tu connais un mot français ayant 5 "i"? C'est "ilictriciti". J'ai vu une telle enseigne sur la façade d'un garage du côté d'Âïn-Lorma.

Ordonnance obligatoire
Un homme gentil, calme et respectable entre dans une pharmacie et se rend au comptoir de la pharmacienne.
Il la regarde droit dans les yeux et lui dit :  « Je veux acheter du cyanure »
La pharmacienne lui demande :  « Mais pourquoi vous faut-il du cyanure ? »
L'homme répond :  « J'en ai besoin pour empoisonner mon épouse ».
La pharmacienne abasourdie s'exclame :  « Que Dieu nous protège ! Je ne peux pas vous donner du cyanure pour tuer votre épouse, c'est contre la loi !
Je pourrais perdre ma licence ! On se ferait mettre tous les deux en prison ! Toutes sortes de mauvaises choses pourraient arriver ! Absolument pas ! " JE NE PEUX PAS VOUS VENDRE DU CYANURE ".  »
L'homme cherche dans son manteau et sort une photo de son épouse au lit avec le mari de la pharmacienne.
La pharmacienne regarde la photo et lui dit : « Je ne savais pas que vous aviez une ordonnance.. »

Alain 
Tes histoires  me ravissent aussi. L'ordonnance  obligatoire  en  particulier.
ADN

MOLL Serge a écrit:ALAIN
Voilà une idée qu'elle est bonne."Le coin du poète" me plait beaucoup.Et comme tu dis le poème ne sera pas recouvert et noyé par tous posts.

ALORS .... KES KON Fé...???

Les 2 Alain s'en donnent à cœur joie... Comme on disait quand on était jeune..... : "moi, ça me fait poiler"...
Je me poile de rire...!!! qui se rappelle de cette expression...???

Merci ...!!!

JIMMY

C'était souvent que l'on disait: "Et l'on va se la poiler!" lorsque l'on pensait qu'il allait se produire quelque chose de marrant ou qu'on allait s'éclater.