Les Sports et Sportifs Meknassis 1

Bonjour Admin

Photo 26 mars - 00h01 - Hand 1955-56. J'ai indiqué en post-scriptum avoir ajouté Herbach et Rousselon suite aux infos fournies par André/Z et je m'aperçois que j'ai oublié Rousselon 4ème debout.

Peux-tu corriger, stp, et l'y mettre à la place du X ? Merci ben.

XAVIER,
Le 1 debout est AYAKATSIKAS, de ses prénoms : Takis Dimitri. Nous nous sommes trouvés dans les mêmes classes depuis la 6eme pendant au moins trois ou quatre ans. Et justement en 6eme, lorsque les profs lui demandait son nom il enchaînait nom et prénoms, comme une adresse email (qu'il ignorait qu'il venait de crée), cela donnait :ayakatsikastakisdimitri.... Je peux affirmer que les cours n'ont jamais débutés à l'heure, les profs lui demandant de répéter et puis d'épeler !
La prof d'anglais qui se nommait Mme Poublan et que l'on surnommait subtilement " Mme Puce noire" a déclaré 3 semaines aprés la rentrée à notre Grec :"votre nom est trop compliqué, dorénavant, pour moi, vous serez Takis !".... Pour ma part, je n'ai jamais oublié l'ami Ayakatsikas qui nous occasionnait un début de cours plutôt décontracté .... Il y a 64 ans ! Hélas !!!!!!!!!!!



A

Oui, merci André/Z, je me souviens bien de Ayatkasikas. Il y avait aussi Kakayanis et Kayanakis Very Happy. Mme Poublan était une amie de ma mère.

DECES Paul Cerdan...
FILS DE MARCEL CERDAN
Paul Cerdan, le plus jeune fils de Marcel, est décédé
Le 08 avril à 6h00 par Valérie Pons | Mis à jour le 08 avril      [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
PHOTO/Photo archives.
Il avait 63 ans et résidait depuis une trentaine d'années sur la Costa Brava où il tenait un restaurant. Un cancer l'a emporté.
"II était, je crois, celui des trois fils qui ressemblait le plus à son père Marcel Cerdan : très brun, trapu, les yeux marron rieurs... Je suis affligée par sa disparition", évoque, la voix enrouée d'émotion, Christine Garcia, une cousine au second degré de la famille Cerdan. Elle nous parle de Paul, 63 ans, qui vient de mourir en Espagne des suites d'un cancer à l'intestin.[/b]
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[b]Christine a appris samedi soir la triste nouvelle, au téléphone, de la bouche même de René, 68 ans, le frère cadet de Paul. René reste avec l'aîné, Marcel junior, 72 ans, l'un des derniers fils survivants du "bombardier marocain", autrement dit Marcel, mythique boxeur des années 40 s'il en est, et de sa femme (leur mère) Marinette. Le couple est enterré au cimetière de l'Ouest à Perpignan.
Une famille très soudée
Christine reprend : "Quand on était plus jeune, à Casa (Casablanca, ndlr) puis plus tard en Espagne, on se fréquentait beaucoup. Mais depuis quelques années c'est vrai qu'on se voyait moins, même si nous avions gardé le contact. C'est une famille qui est restée très soudée, très clanique, et on se donnait toujours des nouvelles des uns et des autres. Je savais donc que Paul était atteint d'un cancer, mais qu'il était en rémission... Et puis il a dû être une nouvelle fois récemment opéré et sa maladie s'est soudainement aggravée. Elle a fini par avoir le dessus... Il laisse une épouse, d'origine catalane du sud, et deux enfants, Sarah et Paul junior, âgés d'une quinzaine d'années. Aujourd'hui, évidemment, je pense à eux très fort...".
Le "Marcel Cerdan" en front de mer
Installé depuis une trentaine d'années à Playa de Aro, sur la Costa Brava, Paul Cerdan tenait un restaurant : le bien nommé "Marcel Cerdan" sur le front de mer. Le lieu était très prisé par la communauté française résidant en Catalogne ou y venant en villégiature.
"C'était un homme ouvert, souriant et chaleureux" poursuit sa cousine, "comme le sont les Cerdan ! Il avait noué un solide réseau d'amitiés et il va manquer à beaucoup de gens".
A l'heure où nous écrivons ces lignes, Christine Garcia ne savait pas encore où et quand allaient se dérouler les funérailles de son cousin Paul. Mais peut-être que le benjamin de Marcel et Marinette ira reposer, pour l'éternité, aux côtés de ses parents chéris.
L'Indépendant adresse à sa famille ses plus sincères condoléances. Il y a quelques années Paul (à gauche) posait aux côtés de son aîné, Marcel junior, boxeur comme leur père et qui avait aussi tâté du cinéma.

Insuffisant Real Madrid...2 à 0 KIF OUALOU!

2 à 0 .... : Kif woualou, comme tu le dis PEPITO...Archouma, pour une équipe qui se disait posséder le niveau mondial...
Je suis en train de regarder le Barça et apparemment, cela parait aussi compliqué...
finale allemande....??????? on va voir.

Salut tout le monde,

Bravo ANNIE, pour les progrès accomplis en si peu de temps...

J'ai découvert ces 3 vues de l'hôtel Transat des années 1950... Il semblerait qu'elles soient colorisées...(???????)
Apparemment inédites, dans cet état, jusqu'à présent.

Madre mía!!!! REBELOTE! 3 à 0....Quelle honte! Tous les fanas du Barça, passeront certainement une nuit blanche...De toutes façons à moi le foot, ne m'a pratiquement jamais intéressé. Voir tout le poignon que, ce soit disant sport remue, me donne des nausées. Le Barça étant, la soit-disant meilleure équipe du Monde...Encaisser 7 buts...Un vrai record!

                         QUÉ VERGUENZA!

Championnat du Monde entre Marcel Cerdan et Tony Zale 21.09.1948
Ticket d'entrée au Roosevelt Stadium de Jersey City (New Jersey)
(a été récemment vendu aux enchères)
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Hola familia.

Je me souviens, les competitions de vitesse, qu'on faisait au vélodrome d'Anfa...C'était vraiement de la folie...Rouler à plus de 100 Km.h. làbàs, d'abord il fallait gonfler les pneus à plus de 3 Kgs. la force centrifuge dans les virages étant énorme, j'avais installé de la mousse un peu dure sur le réservoir, afin de reposer la poitrine et le menton dessus, j'ignore les "G" qu'on supportait, mais moi à la fin de la course, j'avais toutes les dents qui bougeaient, heureusement celà ne durait pas très longtemps. Il faut tenir compte que, dans les deux lignes droites tout se passait bien...Mais quand venaient les virages...alors là était la difficulté, quand on rentrait dans la courbe, il fallait pencher la moto totalement à l'horizontale, à ce moment on ne voyait plus la piste, il n'y avait pas de ligne droite, la piste venait de derrière notre tête, et il fallait rouler entre la bande rouge et la bande blanche, donc tout à fait en bas de la piste, ah, ça se passait la nuit, sous un éclairage très puissant, c'était vraiement spectaculaire, de plus il y avait toujours plein de public. Je crois que le record, en 50 cc. était de 117 Km.h. pour un vélodrome c'est pas mal. Une fois un pilote n'avait pas pris la bonne trajectoire, et il fût projecté en dehors du velodrome, les secours étaient sortis por les récupérer lui et sa moto, ils ne trouvèrent que la moto...le coureur était assommé au sommet d'un arbre, je crois, un palmier...Si on ne renforçait pas bestialement les suspensions, avec des ressorts très durs, on courait le risque d'éclatement des pneus, par le frottement contre les garde boues, ou le cadre...Après les courses, on nous payait pas mal...A Casablanca on avait un succès extraordinaire...C'était une époque de ma vie, à laquelle souvent j'y pense... Surtout, je me souviens de mes amis coureurs et rivaux, tels que Bertorello, Calatayud, Da Silva, Crovara, Felices, etc. etc. etc. Voilà mes chers amis, j'espère vous avoir distrait un peu, avec mon récit... M...de! il es 1h. du matin, et demain il faut que je bosse, une revue de Motocyclisme, m'a fait un reportage, sur un nouveau système, qui permet de gagner aux moteurs un 75% de puissance, pour des motos des années 60. Toujours actif, malgré mes 73 piges.

José López Mateos votre (PEPITO)

Merci PEPITO....

Pour cette partie de ton aventure que tu viens de nous raconter.... Autant d'anecdotes qui enrichissent notre passé...
On en redemanderait presque...
Apparemment, tu ne dors pas beaucoup la nuit... Ce matin à 4h.1/2, j'étais déjà réveillé...Il est 7h.17 et je me prépare pour aller "aérer" ma raquette de tennis et les balles, avec des "jeunes" de mon âge, voire plus pour certains, sur un terrain de tennis...Ce n'est pas tant pour la compétition ( ), mais plutôt le plaisir d'être debout et actif...Ensuite , on refait le monde devant une tasse de café.

Mon cher André

Il est vrai que je me couche tard...C'est typique en Espagne, mais je me tape de ces siestes...Ici on bouffe comme tu dois savoir vers les 14 heures, et ma sieste est jusqu'à 19-20 heures. Tu piges ? Avoue que ne suis pas con...ha ha ha...