Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 2

          Même année que ci-dessus.... Kim Novak dans "PICNIC", film américain de 1955 réalisé par Joshua Logan.

1955 - "L'homme qui en savait trop" - Dans les Alpes suisses, Bob et Jill Lawrence, un couple d’Anglais, et leur fille Betty font fortuitement la connaissance d’un agent secret français. Ce dernier, avant d’être assassiné, révèle à Bob Lawrence l’imminence d’un attentat à Londres. Pour obtenir le silence des Lawrence, les criminels kidnappent leur fille. Ce couple ordinaire en vacances va alors devoir choisir entre la vie de sa fille et celle d’un homme politique important.

1952 - "Chantons sous la pluie" - historique : 1927, dans les studios de la Monumental Pictures à Hollywood. Don Lockwood et Lina Lamont forment le couple phare du cinéma muet. Adulés du public, perpétuellement amoureux à l'écran, ils ne peuvent en réalité pas se souffrir. L'arrivée du cinéma parlant provoque un drame. Car, malgré son port de reine, Lina a une voix de crécelle.

       1942 - "Casablanca" -    Rick Blaine est un Américain amer et cynique, expatrié à Casablanca au Maroc où il est propriétaire du Rick's Café Américain. Ce night-club huppé attire une clientèle variée telle que des fonctionnaires français et nazis, des réfugiés ou même des voleurs...
          L'affiche de l'époque...

Les "WESTERNS"..... c'étaient ça... On entendait parler de "bons westerns". On en ratait pas beaucoup... surtout les premiers....Je vais essayer de les retrouver.




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           Une p'tite vidéo qui permet de se replonger quelques instants dans l'ancien univers de "l'ouest américain", cette époque où les "indiens" étaient les pires ennemis de "l'ouest américain" et qu'il fallait absolument décaniller du paysage de la future Amérique du Nord représentée par les gentils "gentleman farmers", toujours de l'Ouest américain...
Le temps où les bons "tueurs" pouvaient "tuer" les méchants afin que le futurs américains puissent vivre en parfaite harmonie.....

         

André Raimbourg...... " BOURVIL "  - 1917 / 1970   -  Vit en Normandie à Bourville. Passionné de musique – Apprenti boulanger.

1937. Il débute avec le répertoire de Fernandel et tout particulièrement "Ignace". Participe à des radio-crochets.

1942 . Prend le nom de BOURVIL.  Après avoir figuré dans CROISIÈRES SIDÉRALES, il incarne son premier rôle dans LA FERME DU PENDU, MIQUETTE ET SA MÈRE, celui d'un timide. Le ROI PANDORE, il crée l'un des personnages clé du cinéma français, le gendarme…..
Grâce aux TROIS MOUSQUETAIRES il trouve un nouvel emploi, celui de valet dans les films de cape et d'épée. Plus tard, il sera Passepoil dans LE BOSSU, Cogolin dans LE CAPITAN...


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André Bourvil (suite...)
1956 - LA TRAVERSÉE DE PARIS lui vaut le prix à Venise
L'imbécile heureux, voilà mon emploi, disait-il. Que je m'évade de temps en temps je ne dis pas non mais ce sera toujours pour y revenir...


Il interprète Thénardier  dans les MISERABLES, puis le pitoyable Tardinet dans LE MIROIR A DEUX FACES.

Il retrouvera, du reste, Michèle Morgan quelques années plus tard dans FORTUNAT. Français moyen pris au piège du quotidien dans LE TRACASSIN, il jouera, toujours sous la direction d'Alex Joffé, Fendard, le vieux garçon quelque peu timoré des CULOTTES ROUGES que la petite gouape égoïste et cruelle, interprétée par Laurent Terzieff, manoeuvre selon un schéma désormais bien connu du bourreau et de la victime. En 1963, il rencontre Jean-Pierre Mocky avec lequel il tournera quatre films dont L'ETALON où, le crâne rasé, il compose un personnage particulièrement anticonformiste...

LA CUISINE AU BEURRE va réunir deux grands comiques français, le normand Bourvil et le méridional Fernandel. Mais il va connaître un immense succès populaire dans les deux films où Gérard Oury l'oppose à Louis de Funès : LE CORNIAUD (915 000 en première exclusivité parisienne) et surtout LA GRANDE VADROUILLE (1 295 000 entrées en vingt semaines d'exclusivité !). Robert Enrico révèle un nouvel aspect de son talent en lui confiant le rôle du forestier dans LES GRANDES GUEULES. Enfin, Bourvil incarne, sous la direction de Jean-Pierre Melville, le très impressionnant commissaire Mattei du CERCLE ROUGE, et, pour la première fois au générique d'un film, son prénom précède son surnom : André Bourvil...

Malheureusement, avec courage, il supporte plusieurs mois un mal impitoyable : il meurt le 23 septembre 1970, maintenant regretté par le public sensible à la générosité, à la bonté, à l'humanité de son grand talent.

''L'Amour est la plus belle chose au monde'' , musique du film de 1955 LA COLLINE DE L'ADIEU  William HOLDEN correspondant de Guerre, a été projeté à Meknès à L'EMPIRE, merveilleux film .
Cordialement ,portes toi bien .
Zizi

Les films en N&B  (noir et blanc)

Je l’ai peut être déjà écrit quelque part mais tant pis si j’insiste…
Reparler de mon cinéma en Noir et Blanc, de mes films favoris, ces petites merveilles en bicolore qui m’ont passionné et que j’ai découvert et apprécié pour la plupart dans les salles de Meknès…
Ils m’ont laissé à jamais des images indélébiles dans ma mémoire, sur fond d’écran blanc dans une atmosphère de salle sans lumière…

C'est un sujet que nous devions mettre au point Claude (Sandeaux) et moi sur notre Forum... Nous avions auparavant travaillé ensemble sur l'ancien « LDO » (pour le nommer) de triste mémoire ou de grands regrets .
Malheureusement, tous les documents, les CPA, les clichés, les textes....etc... fixés dans ce Forum, ont été « poubellisés » sans le moindre avertissement.

D'où ce désir pour Claude et moi, de réveiller ces souvenirs et de les mettre en place sur le RdlB.

Le destin ne l'a pas voulu ainsi. Claude est parti sans faire de bruit... Paix à son âme.

J'ai dans mes documents quelques extraits gardés du temps de ce 1er grand rassemblement de meknassis.  C'est trop tard pour les remettre au goût du jour, mais après tout, comme on dit, ça ne mange pas de pain... !!!

Aller au ciné à notre époque, c’était faire un grand voyage dans une atmosphère  différente de notre petit environnement, voyage que l’on imaginait seulement, sans pour autant le matérialiser. C’était aussi, découvrir d’autres mondes, d’autres vies, du grand amour en rose au désespérant  roman noir, bref, un univers qui bouleversait mon esprit d’adolescent.
C’est par le biais du cinéma que j’ai découvert la « planète » adulte.

Le tout premier film… : « Jean de la Lune » … Pour avoir déjà exploité le sujet, je n’en parlerai pas… C’était en 1948, au cinéma « Le Caméra »…Salle du RdC ; 1ère allée à droite, 3ème rangée en partant de l’écran côté droit côté strapontin.

Puis vint très vite la folie du cinéphile déraisonnable, ceci grâce à mon père, un mordu de la toile, lui… l’époque où je passais autant de temps sur le fauteuil d’une salle noire que sur le banc du lycée.

J’ai été plus marqué par les films en noir et blanc que par les extraordinaires péplums et autres westerns, en version cinémascope, hauts en couleurs et en bruitage. A mes yeux, le cinémascope n’était que du « cinéma façon grandiose », le « Noir et Blanc », c’était la vraie vie.
Il s'agissait cependant  de ne pas confondre la réalité et la fiction.

Les films en N & B...

C’étaient, la plupart du temps, des films forts en thème social :  « Quai des Brumes », « Le Jour se Lève », « Casque d’or », «  Jeux interdits », « la Bête Humaine », « Chiens perdus sans collier », « Les enfants terribles », « Rome, ville ouverte » avec l’inoubliable Anna Magnani..., ,  
Les hilarantes comédies tels que  « Fanfan la Tulipe » les « Don Camillo »...,
Les « policiers » tirés de romans éponymes, le flic à la gâchette facile et au coup de poing meurtriers…( plutôt l'inverse..)  « Touchez pas au Grisbi »,  « du Rififi chez les Hommes », les fameux « Gorilles  qui vous saluent bien»…,
Le dramatique « Salaire de la Peur »…

Les bombes qui réveillent un âne mort avec « Et Dieu créa la femme » et la sublime Brigitte.
Mais il y eut avant, Martine Carol, Dominique Wilms, Annick Patisson, Jeanne Moreau, Françoise Arnoul, Mylène Demangeot, et puis..., et puis...…,
Toutes ces américaines plus envoûtantes les unes que les autres,  Marylin Monroe, Elisabeth Taylor, Rita Hayworth et les autres restées coincées dans les méandres et les circonvolutions de mon cerveau fatigué…

Ne ne pas manquer sur la liste... :
La grande illusion, Le jour se lève, Les deux orphelines, Les misérables, Hôtel du Nord, Les deux gosses, Pépé le Moko, Jeux interdits et son inoubliable air de guitare...

C'est ensuite seulement que viendront les films en couleurs, puis en cinémascope..... : La rivière rouge, Le massacre de Fort Apache, Le dernier des Mohicans, l'homme des vallées perdues (Alan Ladd, dit "Shane")

Le long des trottoirs
Le Long des trottoirs est un film franco-italien de Léonide Moguy sorti en 1956.
Hélène Dupré, la fille d'un riche industriel se dévoue pour les pauvres de son quartier au grand dam de son père et malgré les souhaits de son fiancé. Elle vient particulièrement en aide à Une jeune fille qui vient de perdre sa grand mère et qu'elle invite à s'installer dans l'hôtel particulier familial. Sa présence ne plait guère aux parents mais séduit Jean-Pierre, le fils de la famille, ce qui provoquera son renvoi brutal, sans qu'Hélène n'en soit informée. Elle fera ensuite une rencontre qui la conduira à la prostitution.
     
                                                                                 Anne Vernon                             François Guérin                                  Danick Patisson
films en N&B… à suivre

Les Deux Gosses

         

Les Deux Gosses  est un film français réalisé par Fernand Rivers et sorti en 1936, d'après l'œuvre de Pierre Decourcelle.
Une mère est accusée à tort de mauvaise conduite ; on lui retire ses enfants et son mari l'abandonne, mais la vérité finit par éclater.
Massimo Serato – Yves Deniaud – Léa Padovani – Marie Bizet - Vu en 1953 à l’Empire
          Photo d'époque du Palais des Gobelins à Paris en 1918

Le Ciné en N&B

Aller au ciné à notre époque, c’était faire un voyage dans une atmosphère différente de notre petit environnement par rapport au grand écran...
C’était aussi, découvrir d’autres mondes, d’autres vies, du grand amour en rose et blanc au triste  roman noir, bref, un univers qui bouleversait mon esprit d’adolescent.
C’est par le biais du cinéma que j’ai découvert la « planète » adulte.

Le tout premier film… : « Jean de la Lune » … Pour avoir déjà exploité le sujet, je n’en parlerai pas… C’était en 1948, au cinéma «Le Caméra »…Salle du RdC ; 1ère allée à droite, 3ème rangée en partant de l’écran côté droit côté strapontin.

Puis vint très vite la folie du cinéphile déraisonnable, ceci grâce à mon père, un mordu de la toile, lui… l’époque où je passais autant de temps sur le fauteuil d’une salle noire que sur le banc du lycée.

J’ai été plus marqué par les films en noir et blanc que par les extraordinaires péplums et autres westerns, en version cinémascope, hauts en couleurs et en bruitage. A mes yeux, le cinémascope n’était que du « cinéma », le « Noir et Blanc », c’était la réalité.
A présent, avec le recul, j’ai l’impression qu’en  ces temps un peu troubles, j’ai confondu la réalité et la fiction.

C’étaient les films forts en thème "social" :
    « Quai des Brumes »   Film film français réalisé par Marcel Carné, sorti en 1938, rattaché à la veine du réalisme poétique, adapté du roman Le Quai des brumes de Pierre Mac Orlan publié en 1927.
    « Le Jour se Lève »      Film français réalisé par Marcel Carné, sorti en 1939. Ce film appartient au réalisme poétique. Le thème ... : François vient d'assassiner Valentin. Au comble du désespoir, il s'est barricadé dans son appartement. Tandis que la police l'assiège, il se repasse en pensée les événements qui l'ont conduit au crime.*
        « Casque d’or »    Film dramatique français réalisé par Jacques Becker, sorti en 1952. Il est inspiré de l’histoire vraie d’Amélie Élie, surnommée « Casque d'or ».  Du coup de foudre à l'échafaud, Casque d'or est une tragédie de la Belle Époque à la beauté mélancolique. L'histoire d'un amour impossible, marqué par le destin, que se portent Signoret et Reggiani.
En 1898, dans le milieu de la contrebande à Paris, Marie, surnommée `Casque d'Or', fait la connaissance de Manda, un ancien voyou. Une querelle éclate entre Manda et l'amant de Casque d'Or. Ce dernier trouve la mort à l'issue du combat. Un innocent, qui est aussi l'ami de Manda, est accusé du crime
à suivre...

La porteuse de pain
        La Porteuse de pain est un film français réalisé par René Sti, sorti en 1934. Condamnée injustement aux travaux forcés à perpétuité pour des crimes commis par Jacques Garaud, lequel s'est caché sous un autre nom, Jeanne Fortier s'évade vingt ans plus tard et devient porteuse de pain. Après avoir retrouvé ses enfants, elle démasquera Garaud.
Vu à "l'Empire"

JIMMY

C'est un érudit qui s'éclate littéralement. Notre regretté Claude te jalouserait.
Je suis comme toi, ce sont les films en N E B qui  m'ont le plus marqué.

Salut Lulu,

Tous ces films que "j'étale" dans cette rubrique ont été vus dans les différentes salles de ciné de Meknès... Pour certains (Casque d'or par exemple... ) ont même été revus avec le paternel...et beaucoup plus tard, revu à la télé.  
Sauf "Le long des trottoirs" vu à l'Empire.... Mon père y est allé seul.... "Ce n'était pas un film pour les gosses, avait il rétorqué...
Je l'ai tout de même vu seul un jeudi AM... j'avais "bipsé" le Lycée ce jour là...(et je n'étais pas le seul...)
Dans la série chagrins et malheurs, c'est "la Porteuse de pain" qui avait remporté le concours...    
J'ai dans mes dossiers et dans la série des inoubliables N&B, encore 4 ou 5 films que je placerai peut être.... Dommage que l'ami Claude soit parti trop vite.... Nous devions le faire ensemble, et là, le "maitre" était très bon et très méticuleux...

Après pourrait venir les films "américains". les péplums et autres "cinémascope", dont la plus belle part était réservée à "Shane, l'homme des Vallées perdues"

Mon cher Jimmy
C'était hier! au Camera veille de Noel début des années 50 film d'Aviation "PILOTE DE HAUT VOL" c'était le début de l'avion à "réaction" tout simplement équipé d'un moteur à réaction, Air, injection Pétrole, combustion ,réaction chaude, éjection ,propulsion, l'avion était le Lockheed P80/F80 Shooting Star qui devint le T33 T.BIRD . "LES AILLES DE L'ESPERENCE" le P51. projeté à l'Empire .et bien d'autres .
Amitiés
Zizi

C'était hier, certes , mais quel siècle...??? Nous sommes le 17 mars, 18h. 30, et certainement au Théâtre du Régent, avec le ténor José Lopez de Buridan. Connais pas.... !!! Peut être avait-il le rôle de l'âne...???