Autres Ecoles de la Région

Toc,toc.....!!!!

Un p'tit coup pour réveiller la rubrique...
Il s'agit de l'école primaire de Midelt dont certains d'entre nous ont usé les bancs

Mon cher Gérard

Si on se donnait la peine de rassembler pêle-mêle  les extraits de livres que j'ai placés dans les différentes rubriques, il y aurait de quoi faire tout un ouvrage récapitulatif.  De là à dire que ça intéresserait beaucoup de monde, ça c'est moins certain.

christiane gérard a écrit:Azrou 1950 51

Photo avec laquelle tout a commencé.
C'est en voyant cette photo  parue dans Salam que Paul
m'a contactée et que mon aventure avec vous a commencé
Paul m'a demandé de mettre les noms
1er rang en haut à gauche
Monique Martineau; XX ;XX;Jean Sophoclis;Nicole Arnaud;XX;catherine Sophoclis

2ème rang
André Négrel;Marie-Anne Halléguen;XX;Fatna Lahcen;XX;Alain Noblet;Marie-france claudot;XX;Paul Tissier

3 ème rang
XX;Danièle Jouve;Naïma T'beur;Cécile Nicoleau;Claude Martineau;Marie-Claude Rougemont;Marianne Négrel;Lydia Ségura;XX;XX;XX

assis
Alain Carporzen,Cécile Telliez;Andrée Madevat;Christiane Gérard;Anne Boudy;XX

bonjour,

sur cette photo c'est André Sophoclis et non Jean.
Amitiés

Bonjour,

Voici une photo de classe avec Mr Telliez.

Amitiés.


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LUCIEN
Ton instit avec son planeur a peut-être été soumis à "l'effet de sol" que tous les pilotes connaissent.


"L'effet de sol est un phénomène aérodynamique qui concerne la portance et la traînée d'une surface en mouvement à proximité du sol, comme la voilure d'un aérodyne. L'effet de sol est connu en aviation depuis les années 1920. En 1921, Carl Wieselsberger a donné une explication théorique de l'effet de sol. L'effet de sol a été décrit également par le Français Le Sueur en 1942 dans un rapport traduit en anglais par le NACA . ( Définition Wikipedia)

Principe

Lorsqu'un avion en vol s'approche de la surface du sol (ou de l'eau), il se produit un changement dans le schéma d'écoulement tridimensionnel autour de l'aéronef parce que la composante verticale du flux d'air autour de l'aile est limitée par la surface du sol. Cela modifie les tourbillons en aval de l'aile et les tourbillons marginaux. La présence du sol ne devient significative que lorsque la distance entre l'aile et le sol est inférieure à une envergure de l'aile. L'effet de sol est donc dû à l'interférence de la surface du sol (ou de l'eau) et l'écoulement du flux d'air autour de l'aile."

ALAIN

Ouff! J'ai d'abord cru que c'était aussi simple que le principe d'Archimède. Mais...Mais...j'étais loin du compte!!

Merci de ce recit dont j'ai entendu parlé à la maison mais lorsque j'étais plus grand. Au moment des fait j'étais beaucoup trop jeune pour m'en souvenir mais mon frère Jacques qui est né en 37 devrait être en mesure de nous donner quelques informations. Je vais le contacter rapidement. En attendant, je joins une photo d'un planeur dans la cour de l'école des Ait Yazem à bord duquel se trouve mon père. Si tu regardes bien tu apperçois derrière un autre planeur, il s'agit, je pense, du 11A qu'il avait également construit et c'est avec celui là, je pense, qu'il a mordu la poussière. Attendons le verdict du frangin.


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Grostefan Alain a écrit:LUCIEN
Le principe d'Archimède ne serait-ce pas ceci:"tout corps plongé dans l'eau en ressort mouillé"?

OUI ALAIN c'était ça du temps d'Archimède mais depuis, on a inventé  le scaphandrier et la combinaison étanche. On cherche donc une autre formule .

Salut Julien, Je viens d’avoir mon frère Jacques au téléphone qui se souvient bien de toi et de l’accident de planeur de mon père dont tu parles. Il s’agit du planeur, le premier sur la photo, un Hûtter allemand. Celui qui est derrière, le 11A, avait été construit un peu avant l’autre. L’accident s’est produit sur le plateau du Zerhoun de Meknes ou il était possible de faire du vol de pente. D’après ses souvenirs et de ce que lui a raconté mon père, le badin était monté à l’envers si bien qu’il n’avait plus la vitesse du planeur et qu’il a decroché au moment de l’atterrissage. L’histoire veut qu’au moment du crash il ait  crié « merde » et qu’il se soit alors coupé le bout de la langue.
Effectivement, il en était sorti dans un sale état, serieusement amoché, au point que ma mère venait l’épauler pour faire la classe.
Quand à la participation du voisin épicier dans ces aventures, elle consistait à utiliser sa voiture sur laquelle on plaçait un tambour sur une roue arrière pour en faire un treuil qui servait à lancer, notamment, le 11A, et ce sur le terrain derrière l’école qui, à l’epoque, était totalement libre.
Jacques me demande si tu te souviens de l’année et, si le cas échéant, tu avais encore de vieilles photos de l’école, des élèves, etc...
Il me disait aussi croire se souvenir que tes parents étaient dans l’agriculture et peut-être même avoir eu une propriété très proche des Ait Yazem, le confirmes tu ?  Je ne sais pas si je te l’ai déjà dit, mon frère Jacques a fait une carrière dans l’aviation et terminé à plus de 35000 heures de vol, et il vole encore ...Amitiés

Salut JEAN

Voici quelques réponses aux questions que vous vous posez:

L'incident s'est produit en 43/44 par là. C'est ta mère qui nous apprenait le chant: "Bergeronnette au vol tranquille qui sautille, sautille..."  Le voisin en question c'était l'épicier Mr Linares, son fils Lucien fréquentait l'école. Mon père gérait la propriété " Domaine des Mimosas" qui appartenait aux Moiroud. Enfin j'ai bien sûr connu ton frère, mais je pense qu'il me confond avec mon propre frangin Hubert. Jacques a dû aussi connaître les enfants Joulia, les filles Sparz, les filles Garcia et leur frère Arthur,  Denise Chabaneix et Yvette ma sœur.... 

A + comme on dit

                      Les Etablissements Scolaires Français du Maroc

Les Ecoles de Meknès


Collège Saint Philippe de Néri Collège des Oratoriens 1958
Conservatoire Ecole de Musique
Cours Pigier Ecole de Secrétariat
Ecole de la Boucle - Garçons
Ecole de la Boucle - Maternelle
Ecole de la Boucle et Ménagère - Filles
Ecole de la Gare
Ecole de la Médina Ville Ancienne ou El Hedim ou Bab-el-Mansour 1917
Ecole de l'avenue de Bretagne
Ecole de l'avenue de Bretagne - Maternelle
Ecole de l'avenue Paul-Doumer
Ecole de Plaisance
Ecole d'horticulture de Meknès 1953
Ecole du boulevard de Paris - Filles Ecole Marolleau 1920
Ecole du boulevard de Paris - Garçons Ecole Marolleau 1920
Ecole du Préventorium Pagnon
Ecole du Quartier Industriel Ecole du Tanger-Fès, des Cheminots
Ecole du Quartier Industriel - Maternelle Ecole du Tanger-Fès
Ecole Jean-Jacques Rousseau
Ecole Jean-Macé Ecole de l'OCLM - Ecole de 'La Touraine'
Ecole Lafayette 1962
Ecole Marocaine d'Agriculture 1945
Ecole militaire d'apprentissage Ecole Industielle - Ecole d'apprentissage 1946 1949
Ecole Vallin 1917
Institution Notre-Dame Ecole des Franciscaines 1926
Institution Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle Ecole des Frères
Lycée Moulay-Ismaïl 1953
Lycée Paul-Valéry 1962
Lycée Poeymirau 1931 1962
Lycée Poeymirau - Petit-Lycée 1960
Lycée Princesse Amina
Lycée Technique et Industriel

Admin ,c'est l'école de Bretagne tout court et non de la Bretagne ,il n'y a pas eu de jumelage 

Une école au préventorium A.Pagnon ........c'est nouveau ......du moins pas connu......

Jean Claude,

On parle du Préventorium anti-tuberculeux Antoinette Pagnon à Aïn Sloughi, donnateur était Mr. Emile PAGNON, Viticulteur du Domaine de TOULAL, propriétaire du Grand Hôtel Volubilis, Meknès, et du Grand Hôtel de Fès.
Dixit "Dafina", il y aurait eut effectivement une école...Je ne retrouve plus mon info de l'époque de l'ancien Forum....

L'école de fortune crée par le 18ème Goum, à Boulemane

Ces documents m'avaient été envoyés il y a longtemps par Michèle Gaude, dont le père était goumier.
Je les ai trouvés très intéressants...

La construction des Ecoles et Collèges  dans l'historique de Meknès durant le Protectorat


- 8 juin 1911: les troupes françaises se rendent maîtresses de Meknès;
- 1913: Meknès compte environ 500 Européens dont 320 Français;
- 1913: création d'un journal: "Le cri de Meknès";

- 1914: création de la première école Francaise de Meknès près de la Place Djemaa Zitouna au coeur de la Médina;

- 1915: le chemin de fer à voie étroite (voie de 60) est accessible aux voyageurs;
- 1916: création d'un jardin d'essai, essentiellement des arbres fruitiers, à Djenane ben Halima;
- 1916: sur décision administrative une ville nouvelle est dessinée par l'architecte Henri PROST, de l'autre côté de l'Oued Boufekrane, sur un vaste plateau recouvert d'oliviers appelé Hamria; H. PROST, Directeur du Service du Plan à Rabat, auprès du Général LYAUTEY, est le premier urbaniste des grandes villes marocaines;
- 1917: mise en vente des premières parcelles de terrain;

- 1917: l'école française de la Place Djemaa Zitouna est déplacée Place El Hédim dans des locaux plus vastes;

- 1918-1920: démarrage du projet de ville nouvelle. L'Etat-Major de la Subdivision de Meknès et l'Hôtel Transatlantique sont les premières réalisations;

- octobre 1919: création d'une classe de 6ème à l'école de la Place El Hédim;

- 1919-1920: tracé des premiers grands axes (Avenue de la République, Boulevard de Paris, Rue Lafayette); ébauche des premiers quartiers;

- octobre 1920: création d'une classe de 5ème à l'école de la Place El Hédim... et ainsi de suite, chaque année, jusqu'au baccalauréat;

- 1920: afflux de colons;
- 1921: nouveau recensement. 2650 Européens dont 1850 Français. Les militaires sont "comptés" à part!
- 1921: installation dans un ancien Palais du Sultan de l'Ecole Militaire de Dar El Beida;
- 1922: les commerçants européens de la médina viennent occuper les rez-de-chaussée des immeubles récemment construits;
- 1923: autre recensement. 4200 Européens dont 3000 Français;
- juin 1923: le premier tronçon de voie de chemin de fer à écartement normal (1,44 m) au Maroc relie Meknès à Petitjean (55 km);
- octobre 1923: la voie à écartement normal atteint Fez;
- 1924: achèvement de la grande gare et de la gare Lafayette;

- juin/juillet 1925: l'école Française de la Place El Hédim fête ses premiers bacheliers;

- 1926: ouverture du Pensionnat Notre-Dame par les Soeurs Franciscaines Missionnaires de Marie;

- 1927: le Marché Central, le Lycée Poeymirau, les docksilos du quartier industriel sortent de terre;

- 16 avril 1929: pose et bénédiction de la première pierre de l'Eglise;

- 1930-1931: construction de la première école française de Meknès Ville-Nouvelle, l'Ecole Marolleau, boulevard de Paris;

- 1931: le recensement donne 7800 Européens, 2200 colons des environs et 3000 militaires soit 13000 personnes;
- 1931: construction de l'Hôtel Volubilis au 45 avenue de la gare qui bientôt prendra le nom de avenue Lyautey;
Petit à petit, maisons, commerces et ateliers remplissent les quartiers prévus par les plans de H. Prost;
les commerçants investissent l'avenue de la République;
- 10 mai 1931: inauguration de la crypte de l'église Notre-Dame-des-Oliviers;

- 1934: achèvement du dortoir des filles du Lycée Poeymirau;

- 1935: fin des travaux du dortoir des garçons du Lycée Poeymirau;

- 1938: ouverture du Cinéma Le Caméra;
- 1941: ouverture du Cinéma Le Riff qui prendra par la suite le nom de Cinéma ABC;

- 1948 : Création des Ecoles de Bretagne et de la Gare

- 1951: la ville compte 21000 Européens dont 19000 Français;
- 1956: le chiffre de 25000 est dépassé... sans compter les militaires en garnison.

La liste serait exhaustive, mais à vérifier tout de même...

Notre Dame de Meknès


            1936 - Construction du pensionnat de N.D.
De 1926 à ce jour, Notre Dame de Meknès a vu défiler plusieurs générations d’écoliers… Avec plus de 90 ans d’engagement éducatif et social, l’ancien pensionnat Notre Dame est une école riche de sa diversité. Abderrahim Tafnoute nous propose de découvrir son histoire dans le numéro de Kan Ya Mkan du samedi 09 novembre.

Fondée en 1926 sous l’impulsion d’Inès de Bourgoing, épouse du Maréchal Lyautey, premier Résident général du Protectorat français au Maroc (1912), le Pensionnat Notre Dame de Meknès était un établissement catholique d’enseignement initialement destiné à accueillir les enfants d’expatriés de Meknès et des différentes régions du Saïss et du Gharb (Souk Larbaa et Kénitra)…
             La chapelle de l'école de N.D. de Meknès
Les sœurs franciscaines étaient chargées de la gestion du Pensionnat et. Parallèlement à leur mission religieuse, elles s’occupaient directement des activités éducatives et autres ateliers de formations au profit des femmes sans oublier la transmission des valeurs humaines, la culture de paix et du vivre ensemble dans le respect des traditions locales.

Lien à suivre... :Les multiples vies de l’école Notre Dame de Meknès
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Jouhara Haikel 15/11/2019

Ecole Nationale d'Agriculture - Vue aérienne
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Admin a écrit:

Ain-Taoujdat - Ecole primaire-1950--cep
1-02 ROSSINI jacqueline - 1-04 ROSSINI madeleine
2-01 FERRER - 2-02 LEIVA henriette - 2-04 LEYTARD evelyne 2-06 CHAFFURIN marie nicole
3-01 (x) Yvon
Directeur Mr P. SAMSON

Je passais par là quand mon attention a été attirée par l'identification de ces bambins. L'une des fillettes est ma cousine de Fès. Son nom : Denise Bornert. Je vais lui demander si elle peut identifier quelques noms.
Elle se trouve au rang 3 en partant du haut et de g à d au n° 6. Elle est tout sourire. Pour Leytard c'est Lyatard Evelyne la fille du receveur de la poste.
Leur instit c'était MEMBRARD qui s'était entiché  d'une institutrice de l'école prénommée ANNIE. Malheureusement le gars a été appelé sous les drapeaux et à son retour il n'avait plus sa flamme. ANNIe que je connais personnellement en a été très malheureuse.
Le directeur M. SANSON avait une fille (Simone). Elle était mariée à un certain M. BRUNET lequel fut mon prof de physique/chimie à Port-Lyautey (le monde est petit). C'est avec lui que ces deux disciplines scolaires sont entrées dans ma tête. Jusque là c'était le brouillard. Les bons profs  sont de bons pédagogues. Je suis sûr que vous avez connu les deux cas d'espèces.