BIENVENUE au "ROI de la BIERE" 4

BONJOUR LUCIEN...... POUR TOI ....

VIPERINE Echium vulgare Boraginacées
Buglosse sauvage, herbe à la vipère, herbe aux vipères, langue d'oie
La vipérine fait partie de la famille des boraginacées, comme la bourrache, la consoude, la pulmonaire...
Elle est bisannuelle, et est très mellifère.

Echium vient du mot grec "echion" qui désignait dans l'Antiquité plusieurs Boraginacées. Echion dérive d'ekis qui signifie vipère.

Comme il est commun dans cette famille, elle est très poilue, des poils raides, rèches au toucher.
Les fleurs sont en cymes, comme souvent dans cette famille. Cela fait comme une queue de scorpion.

Elle s'appelle vipérine non pas parce qu'elle attire les vipères ni qu'elle soigne leurs morsures : c'est simplement que les étamines sortent de la fleur comme une langue de serpent.

A +++++.... JE ME SAUVE.....

pas seulement militaire ou dans les maisons, mais aussi dans les camps organisés par les scouts ou guides, sous la tente etc...pour l'eau douce, à boire. Et très amusant pour deux de mes cousins, en l'absence des guides pour une marche : ramasser des têtards et les mettre dans l'eau des sacs en toile .(c'était en France)

Bonjour a toutes et tous - Andre - J'ai oublie pour le match de ce jour des Hommes mais j'ai vu celui de Serena hier. Incroyable cette femme. Quelle force! Et sa soeur et elle ont aussi gagne les doubles. Bonne journee a vous tous.

Huguette - Merci pour tes photos de pubs et la video sur le Tour de France de l'annee derniere. C'est incroyable qu'il n'y ait pas plus d'accidents avec les spectateurs qui frolent les cyclistes quand ils passent....Aucune barricade pour empecher cela - Christiane - Je ne me rappelle pas si nous avions un frigo quand nous habitions Immeuble Bernard mais a Noel 1951 nous avions demenage dans le petit immeuble qu'avait fait mon pere rue de Toulon et il avait surpris ma mere avec un joli petit cadeau, un petit frigidaire Kelvinator. Quand ma soeur et moi revenions de dehors et qu'il faisait chaud, on ouvrait la porte de ce frigo pour se rafraichir....Pour seguia car je ne connaissais pas le mot j'ai regarde dans google et je sais maintenant "canal d'irrigation au Maghreb". Je te dirai que l'on faisait la meme chose quand nous etions a Ifrane ou ailleurs en vacances dans la region de Meknes et n'avions pas de frigo non plus - Andre - Pour ton ordi au moins tu n'as pas fait parti des 15,000 ordis en France, 75, 000 aux USA, 7,000 au Canada, plusieurs milliers aux Indes et en Italie  etc...que le FBI a fait fermer dans la nuit derniere avec ce virus Malware. Je t'en avais parle. Ils ont fait cela dans la nuit du dimanche a ce jour.

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Les xtraits que je mets en ce moment je les avais mis sur Dafina et l' autre site mais aussi certains sur le notre et c'etait tout au debut quand nous n'avions pas encore de rubrique Meknes nouvelle et ancienne. Je trouve les ecrits de ces 2 professeurs excellents. J'avais achete le livre via amazon.fr il y a quelque temps. C'est un beau livre. Ces 2 hommes opnt enseigne a la Sorbonne et a l'Universite de Montpellier je crois.

Bonjour a toutes et tous - Huguette - Merci pour ces photos de fleurs. Je me rappelle de quelques unes en voyant les photos, mais pas leurs noms par contre.

Un autre récit pris du livre de Messieurs Ramirez et Rolot et je cite.
"Récit...

‘Joute quèque chose

Les coopérants de Meknès l’appelaient le Berbère d’Azrou. Et Berbère, il l’était en effet de la tête aux pieds, sans hésitation possible. Grand, puissant de carrure, il avait une face large et sombre, avec quelque chose de brutal dans le regard qui faisait de lui un négotiateur redoutable.

Le Berbère d’Azrou occupait un modeste emploi de concierge dans une école de la ville; mais en réalité, son vrai métier était la brocante. Il avait commencé dans les années 1970 avec les professeurs français, qui, en ce temps là, s’installaient et repartaient en grand nombre. Aussitôt qu’il apprenait un départ, il arrivait à Meknès avec sa camionnette et proposait de tout racheter. Tout? Oui, tout ce que la maison contenait et qu’on ne voulait pas emporter: le réfrigérateur, la gazinière, les petits meubles en bambou, les bibérons des enfants qui avaient grandi, des banquettes, de la vaisselle, des vêtements...La grande force du Berbère était de proposer un marché global: on se mettait d’accord sur un prix et, en une seule fois, on était soulagé du souci de la vente.

En arrivant dans une maison, il voulait tout voir, et affectait de tout vouloir acheter. En réalité, il savait très exactement ce dont il avait besoin, et qui était d’ailleurs promis d’avance à ses clients du bled. Mais il aurait fallu être bien malin pour deviner ce qui l’interessait vraiment, en dehors des grosses pièces « nobles » et faciles à placer qu’étaient toujours le frigo, la télé et le magnétoscope.

Quand il avait tout bien soupesé, le Berbère tirait un méchant calepin de sa djellaba et, avec un crayon noir, additionnait des chiffres. Il en résultait une somme qu’il vous montrait directement sur le papier, avec la même solennité que si le ciel en avait fait lui-même le calcul. Naturellement, c’était toujours un peu juste, mais, à vrai dire, pas trop. Là était sa plus grande habilité: connaitre avec une extraordinaire précision le prix des choses. On lui demandait de reconsidérer son offre, et il consentait une hausse infime après un long silence réprobateur. Mais, aussitôt, il regardait dans la pièce des choses qui n’étaient pas à vendre - et parmi lesquelles devait se trouver un objet qu’il convoitait. « ‘Joute quèque chose! » demandait-il alors de l’air de quelqu’un à qui l’ont vient de forcer la main. Et le marché n’était vraiment conclu que lorsqu’on avait ‘jouté une chose, puis une autre, puis encore une, jusqu’à ce qu’enfin les deux plateaux de la balance parussent équilibres au Berbère d’Azrou. Suivant les sommes en discussion, cela pouvait aller d’une sorbetière à un coquetier. Mais tant qu’il n’était pas vraiment satisfait il répétait son «‘Joute quèque chose!», sans autre argument, comme une scie. Cela finissait par un jeu: on ajoutait des choses de plus en plus petites, de plus en plus dérisoires, de vieux calendriers, des cahiers de brouillon usagés, des journaux, une boite de bonbons vide... Qu’en ferait-il lorsqu’il serait remonté là-haut à Azrou? C’était son affaire, mais l’on pouvait être certain que rien ne serait perdu, pas même les feuilles de brouillons qui, devant les cinémas, serviraient de cornets aux marchands de pépites grillées.

Puis, tout allait très vite. Le Berbère d’Azrou remplissait sa camionnette, versait un gros acompte pour le reste (de peur que le vendeur ne se laisse tenter par une meilleure offre), et filait vers sa montagne. Le jour dit, il revenait sans faute prendre livraison du reste, et c’était fini.

Billets en poche, on regardait partir ses affaires vers d’autres propriétaires, et, content d’un accord à l’ancienne qu’on n’avait guère de chance de revivre de l’autre côté de la mer, on quittait le Maroc en ayant de soi et des Berbères la meilleure opinion du
monde."

Bonjour - Demain le 14 Juillet - TV5 Monde nous retransmettra le defile militaire a 6 heures du matin notre heure ici, donc debout de bonne heure...Les Legionnaires, ce que je prefere vraiment dans ce defile. Bien sur ils marchaient aussi a Meknes et une ancienne photo des Tirailleurs le 14 juillet devant le Roi de la Biere....Bonne journee et esperons du beau temps pour les feux d'artifices.
MEKNES - LES TIRAILLEURS PASSANT DEVANT LE ROI DE LA BIERE

BONJOUR A TOUSSSSS.....

LA PHOTO DU JOUR.... ET... BON 14 JUILLET.

SERGE

""mille sabords de Brest" ma longue réponse s'est envolée. Je n'ai pas suivi le défilé des engins motorisés, ni même vu la légion pour raison de préparation du repas..

en court : je regrettais le services militaire obligatoire, qui apprenait la discipline etc.... car des parents, irresponsables et assistés (donc défaillants) ne remplissent pas leur rôle d'éducateurs, qu'ils laissent aux enseignants, qui eux deviennent ou essaient d'éduquer avant de pouvoir enseigner. Vaste sujet....

ps j'ai bien dit "des" ou "certains" parents................ne généralisons pas