Divertissements, Humour 5

Cela ne peut pas être le ballon de rugby...

C'est la librairie(la surface), on cherche le rayon pour trouver le volume(le livre).

SERGE
Tu es fort!

Je suis le chien ou Romain.

Alain, je ne suis pas fort mais débrouillard. J'avais déjà dit que mon dernier emploi était surtout basé sur la recherche. Et quand on cherche.... bien souvent on trouve.
Alors mes chers amis, faîtes comme moi. Travaillez, prenez de la peine, c'est le fonds qui manque le moins.(fable de Jean De Lafontaine)

Même quand elle passe du noir au rouge elle reste bleue. Qui ?

XAVIER
Elle passe du noir au rouge, en plus elle danse, elle est argentée mais garde toujours sa couleur bleue. Ailleurs elle est jaune ou verte également.

XAVIER
Elle était chantée par Charles Trénet.

SERGE
Des chercheurs qui cherchent on en trouve mais des chercheurs qui trouvent on en cherche.  
J'attends la réponse à ma 2ème devinette.

ALAIN
C'est De Gaulle qui aurait dit ça, mais parait-il qu'il ne l'aurait jamais prononcé.
Je pense qu'à ton tour tu as deviné où je trouve les réponses.

Grostefan Alain a écrit:SERGE
Des chercheurs qui cherchent on en trouve mais des chercheurs qui trouvent on en cherche.  
J'attends la réponse à ma 2ème devinette.

Serge te l'a donnée : niche ou manoir.

192 poule. Y a-t-il une faute d'accord ?

XAVIER
Il n'y pas de faute d'accord. Parce que 1...9....2... poule. C'est donc au singulier.

C'est Betty Boot !!! La future reine d'Angleterre Elisabeth zouj.

Je m’étais pourtant résolu de ne plus poster d’extraits de mémoires dans notre site. Un certain parallèle m’apparaissant cependant entre le court récit qui suit et la morosité qui semble persister dans notre RDLB, je me suis ravisé, sans grand élan.

AUTRES TEMPS, AUTRES MOEURS

Tout laissait pourtant croire qu’en ce dimanche merveilleusement ensoleillé, la fête paroissiale du quartier allait allécher tout un monde pleinement déterminé à s’en donner jusqu’à satiété. Hélas, de quelque côté qu’on se tournait, ne régnait qu’une même affligeante morosité ; une sorte de grisaille angoissante qui incitait bien plus à s’éloigner des lieux qu’à s’y attarder.
Où étaient donc les réjouissances et les exaltations que Mr le curé nous avait brossées la veille même en fin de messe, tout débordant d’enthousiasme? A l’évidence, aucune de ses promesses ne se trouvait au rendez-vous et à cette heure de milieu d’après-midi, l’atmosphère se révélait tout aussi désolément tristounette qu’en matinée. Quelques rares couples, ceux-là même qui, les années précédentes avaient dû s’en donner sans compter devant chaque stand, déambulaient deçà delà visiblement désemparés.
Personne en vérité n’était dupe, pas même le bon vieil homme d’Eglise lequel traînait inlassablement sa soutane par-ci, par-là, se démenant comme un beau diable pour tenter d’insuffler un brin d’allégresse. Mais sa mine et son sourire désabusés faisaient peine. Il allait de l’un à l’autre, distribuant de pleines poignées de main, s’attardant même avec les plus familiers, déployant toute son énergie à installer plus de convivialité par là même d’ambiance. Mais c’était vain, on continuait de se mourir d’ennui.
Assis seul dans ce coin de buvette tout aussi désert et morne, je réalisais alors combien le temps s’était appliqué à changer bien des choses! Qu’en était-il des joyeuses et si remuantes kermesses d’antan?
Las de promener mon regard d’un côté et d’autre, je n’avais alors pas tardé à sombrer dans la même douloureuse nostalgie et laisser tout mon être se transporter librement dans ces temps où bien peu de choses suffisaient à mettre toute une communauté en liesse.
Cela se passait il est vrai à une autre époque et sous d’autres cieux.
La critique est toujours admise .

Lucien,

Pourquoi veux tu que l'on te critique...??? Personne ne le fera...!!! C'est trop vrai comme histoire...!!!

Mais à quel point, tu as, par cet extrait, ravivé chez beaucoup d'entre nous, un vécu enfoui dans nos mémoires...Beaucoup d'entre nous ont festoyé gaiement pendant les kermesses de nos paroisses... Nous, les jeunes, participions aux travaux de préparation, d'aménagement, faisant preuve le plus possible d'imagination...
C'était la fête... Dans mes premières années, les kermesses se déroulaient dans la cour du presbytère. Vers mes 9/10 ans, la kermesse avait envahi le petit terrain vague, un enclos qui donnait sur la Place d'Armes... Plus de monde, plus de bruit, plus de musique; et pour couronner le tout, cela se terminait par un "Radio Crochet"... C'est ainsi que pour la 1ère fois, j'ai  entendu chanter " les cigognes sont de retour..." C'était une jeune fille du quartier qui avait remporté le 1er prix...

C'était aussi la fête de notre R.P. Agostini...!!! Il y mettait tout son cœur....

Merci Lucien... Merci pour tout...

LUCIEN
Merci pour ce récit.
Voici le mien, véridique, tout frais. Il est de cette année, très récent.

ALAIN
Il y a toujours de "mauvais coucheurs" (pour rester poli),mais c'est étonnant que la mairie ait accepté les doléances de cette femme.

Ici à Bedoin, ce sont tous les voisins du chemin de 1 km de long qui sont conviés à la fête . Nous avons l'immense chance d'avoir un lieu champêtre du nom" Les Grandes Fontaines" ( sources d'eau) à proximité de notre chemin .La mairie nous fournit les tables et les chaises qu'elle fait déposer sur le lieu de la festivité. Chacun apporte son repas. Tous les repas ,boissons, etc sont mis en commun et chacun se sert comme il veut. Tout se passe dans la bonne humeur,  cependant, pas mal de voisins ne veulent pas participer à cette réunion de voisins et ils ont bien tort mais c'est leur problème. Nous faisons ce repas à midi et ça dure jusqu'à 17/18 heures ( parties de boules comprises).
Tous les ans, dans ce même lieu, nous faisons le repas champêtre "Les Grandes Fontaines" organisé par l'association des anciens combattants, repas payant avec animation musicale et dansante et aussi le repas républicain avec la municipalité, sur le même principe que le repas des voisins.

Salut les amis.

Chez-nous aussi nous avons notre "Repas des voisins" annuel. Toujours les mêmes participants, toujours les mêmes réfractaires (à toute manifestation conviviale il me faut préciser). Mais avec ceci de bien et tout à leur honneur, c'est qu'ils nous fichent une paix royale. Ca se passe le soir sur une place tout en bas du lotissement.
On trinque, on partage les repas et les boissons, on plaisante et on se chahute, on raconte tout un tas d'histoires souvent sans queue ni tête, chacun fait griller ses viandes, ses saucisses et autres et, plus ou moins repus de boustifailles, d'anecdotes et de taquineries, vers minuit on regagne nos pénates. 
Merci les gars d'avoir donné suite à ma petite histoire. C'est  avec l'espoir que quelqu'un prendra le relai que je l'ai postée. Ca change un peu de l'ordinaire, ça redynamise et ça sent bon le neuf. 

LUCIEN
"ça redynamise". ça me rappelle une pub où un gars disait "c'est de la dynamite" en parlant de je ne sais plus quoi. Quelqu'un s'en souvient-il?

Grostefan Alain a écrit:LUCIEN
"ça redynamise". ça me rappelle une pub où un gars disait "c'est de la dynamite" en parlant de je ne sais plus quoi. Quelqu'un s'en souvient-il?

C'était la pub de la barre Ovomaltine  et c'est un  Canadien qui disait : "C'est d'la dynamite!"