Divertissements, Humour 1

Bonjour à tou(te)s,
Salut RENE,
Sacrés gendarmes ! Ils vont manquer à la sécurité de notre Pays quand, avec la complicité de notre classe politique et de sa propre hiérarchie (les porteurs de pin's et/ou de galons) ils auront été avalés par le Ministère de l'Intérieur et ses syndicats.
Amitiés,
Jean.

MERCI PAULO

Un paysan s'arrête au garage du coin pour faire réparer sa camionnette.
> > On ne peut pas le faire immédiatement, et il dit alors qu'il n'habite pas loin et qu'il va rentrer à pieds.
> > Sur le chemin du retour, il s'arrête dans une boutique et achète un seau et 5 kg depeinture. Puis il s'arrête dans une autre boutique et prend deux poules et une oie.
> > Mais, arrivé laborieusement dehors, il a un problème : comment porter tous ses achats jusqu'à la maison ?
> > Pendant qu'il se gratte la tête, une petite vieille s'approche de lui et lui dit qu'elle est perdue.
> > Elle lui demande : "Pouvez-vous me dire comment aller au 160 Allée de Partington ?"
> > Le paysan lui dit :"Eh bien, en fait, ma ferme est tout près de cette maison. Je me mettrais bien en route, mais je n'arrive pas à porter tout ceci."
> > La vieille dame suggère : "Pourquoi ne mettez-vous pas la peinture dans le seau. Portez le seau d'une main, mettez une poule sous chaque bras et portez l'oie dans l'autre main ?"
> > "Merci bien", dit-il, et il se mit en route avec la vieille dame.
> > En cours de route, il dit :"Prenons mon raccourci et descendons par ce sentier.Nous y serons en un rien de temps."
> > La petite vieille le regarde attentivement et dit :
> > "Je suis une veuve sans personne pour me défendre... Qui me dit que quand nous serons dans le sentier vous n'allez pas me coincer contre un mur, retrousser ma jupe et me faire Dieu sait quoi ?"
> > Le paysan dit :"Cré vains dieux, ma petite dame, je porte un seau, 5 kg de peinture, deux poules et une oie. Comment diable pourrais-je vous coincer contre le mur et faire ça ?"
> > La vieille dame répondit : "Posez l'oie, recouvrez-la avec le seau, mettez la peinture sur le seau, et je tiendrai les poules..."

ENTREVUE DANS UNE GRANDE ENTREPRISE POUR UN EMPLOI DE DIRECTEUR
> > > >
> > > > 1º) Candidat formé à l'ENA
> > > > Recruteur : - Quelle est la chose la plus rapide du monde ?
> > > > Candidat : - c'est la pensée.
> > > > Recruteur : - Pourquoi ?
> > > > Candidat : - Parce qu'une pensée arrive presque instantanément.
> > > > Recruteur : - Très bien, excellente réponse.
> > > >
> > > > 2º) Candidat formé à Polytechnique
> > > > Recruteur : - Quelle est la chose la plus rapide du monde ?
> > > > Candidat : - Un clin d’œil.
> > > > Recruteur : - Pourquoi ?
> > > > Candidat : - Parce que c'est si rapide que parfois on ne s'en aperçoit même pas.
> > > > Recruteur : - Parfait
> > > >
> > > > 3º) Candidat formé à SUP de CO
> > > > Recruteur : - Quelle est la chose la plus rapide du monde ?
> > > > Candidat : - L'électricité.
> > > > Recruteur : - Et pourquoi ?
> > > > Candidat : - Voyons, quand on actionne un interrupteur on allume une lampe à 5 km de distance instantanément.
> > > > Recruteur : - Excellent.
> > > >
> > > > 4º) Candidat qui s'est formé dans une petite fac de province
> > > > Recruteur - Quelle est la chose la plus rapide du monde ?
> > > > Candidat: - Une diarrhée..
> > > > Recruteur: - Comment ça ? Vous plaisantez ? Expliquez-vous...
> > > > Candidat: - Je confirme. Hier soir j'ai eu une diarrhée si forte, qu'avant d'avoir la moindre pensée, en un clin d'oeil et avant de réussir à allumer la lumière, j'avais fait dans mon pantalon...
> > > > Recruteur: - La place est à vous !
> > > >
> > > > > > Moralité : Fondement technique et calcul ne sont pas tout...

tout ceci n'est qu'une hypothèse, mais le raisonnement se tient !!!
Imaginons que le gouvernement français concède à chacun d'entre nous une bourse de 500 euros pour relancer la consommation.
( je confirme, c'est une supposition !! )
1 > - Si nous la dépensons au supermarché du coin ou en vêtement, cet argent part en Chine.
2 > - Si nous dépensons l'argent en carburant, il part chez les Arabes.
3 > - Si nous achetons un ordinateur, il ira en Inde.
4 > - Si on achète des fruits et des légumes, l'argent va en Espagne ou au Maroc,
5 > - Si on achète une bonne bagnole même française, notre fric va en Allemagne, en Espagne, en Roumanie ou ...
6 > - Si on achète des babioles, il part à Taïwan et n'aidera toujours pas notre économie. Mais,
La seule façon de maintenir l'argent en France, c'est de le dépenser en achetant du vin, du pineau, du cognac, du calva, ou du champagne, si l'on considère que ce sont les uniques biens encore produits chez nous.
Donc, en faisant la bringue, j'accomplis mon devoir civique...
Alors pour aider notre système économique national en cette période de crise :
PICOLEZ !
Pour info :
la Fête de l'Eau a fait près de 400 morts au Cambodge tandis que celle du Beaujolais s'est déroulée sans aucun problème... alors ???

André,
Oui c'est rigolo,mais quand on arrive à cet âge-là tous les anciens pensent qu'ils ont toujours 20 ans et se rendent compte à leur dépens que, hélas ce n'est plus le cas.
Hier,mon médecin m'a fait faire un test d'équilibre. Nous étions face à face,j'ai tendu les bras,fermé les yeux et j'ai levé les genoux l'un après l'autre. Quand il m'a arrêté et fait ouvrir les yeux,j'avais fait un quart de tour vers la droite.Problème d'oreille interne(je ne t'apprends rien) dû à l'âge,d'où perte d'équilibre et chutes inévitables.
Alors, Mesdames,messieurs qu'on se le dise.
Bien amicalement
Serge

SERGE
D'où le dicton "on ne peut pas être et avoir été".

Savez-vous pourquoi Adam et Eve ne sont pas chinois?
Réponse:
Parce que s'ils avaient été chinois ils auraient ignoré la pomme et mangé le serpent.


Cette histoire vraie est racontée sur une radio par Luc FERRY notre ex-ministre de l'Education Nationale lui-même.
Luc FERRY et François FILLON sont deux mordus des voitures de course. Un jour ils sont invités à un banquet où il y avait du beau monde. Comme il se doit on place alternativement un homme, une femme, un homme, une femme. Et c'est ainsi que FERRY et FILLON se trouvent de chaque côté d'une femme sublime. Chacun d'eux veut en mettre plein la vue à la dame en parlant de leurs exploits. FILLON ayant conduit sur le circuit du Mans et FERRY ayant piloté lui aussi un bolide. La dame les laissa parler puis finalement leur dit :"je suis la femme d'Erton SENNA".

André,excuse-moi d'intervenir au fond des bois,mais c'est le cerf qui brame,tu n'as pas intérêt d'être dans le vent. Quant à la biche,avec ses yeux,elle se contente d'être belle!!!

André,
Comme quoi,2 choses,l'une soit qu'on en apprend tous les jours,soit les gens racontent n'importe quoi,pour la rime. En forêt de Chantilly,avec des gardes forestiers,nous allions écouter les cerfs bramer ou réer. Nous n'avons jamais entendu de biches,toujours silencieuses, discrètes,gracieuses,secrètes.

Bonjour a tous .


Pour le Beaujolais ,qu'il soit nouveau ou ancien ,pour moi ce n'est pas un vin ,pour le nouveau c'est surtout une bonne purge ........réputation surfaite qui joue sur le mode de la mode alimentait par les médias ,il y a de bien meilleur vin mais qui n'ont pas ce tapage médiatique .

A consommer qu'en meme avec modération .

Bonjour à tou(te)s,
La dernière histoire reçue de mon ami AZROU.
Un gangster est sur le point de quitter la banque qu'il vient de braquer et emporte plusieurs sacs bourrés de billets.
Il s'arrête devant un témoin et lui dit:
- Tu as vu quelque chose ?
- Oui, j'ai vu...
Pan ! une balle entre les yeux.
Il s'approche d'un second témoin:
- Tu as vu quelque chose ?
- Nnnnon !... mais ma femme, elle, elle a tout vu !


Je vais encore agrandir le cercle de mes amies...!!!...
Bises à toutes et amitiés aux autres.
Jean.

Pendant plusieurs années, un homme avait une liaison avec une Italienne. Une nuit elle lui confie qu'elle est enceinte....
Ne voulant pas ruiner sa réputation ou son mariage, il lui offre une grosse somme d'argent, si elle veut aller en Italie pour avoir secrètement son bébé. Si elle y reste pour l'élever, il supporterait financièrement l'enfant jusqu'à l'âge de 18 ans.....
Elle accepta,mais demanda comment il saurait quand l'enfant serait né.
Pour garder le secret,il lui dit de lui envoyer une carte postale et d'y écrire : " Spaghetti " . Il s'arrangerait alors pour que les paiements de la pension alimentaire commencent.
Un jour,après environ 9 mois, il arrive chez lui où sa femme, confuse, lui dit:
" Mon amour, tu as reçu une carte postale très étrange aujourd'hui."
Il lui répond :"Ah, donne-la moi tout simplement et je t'expliquerai plus tard." Sa femme la lui donna et observa son mari pendant que celui-ci lit la carte,il blanchit et tombe inconscient....
Il était écrit sur la carte : "spaghetti,spaghetti,spaghetti,spaghetti,spaghetti.... Trois avec boulettes de viande, deux sans....
Envoie plus de sauce."

Lucien,
J'ai bien ri moi aussi avec ton histoire de cacas et cacas chinois. Elle vaut bien mieux que mon histoire de "spaghetti",car la tienne,c'est la réalité et donc plus de piquant. De toi à moi,qui était le chef de gare de Petitjean? Mr COSTA!!!,ou son prédécesseur?
Tchao Lucien A+
Serge

Un incident étant intervenu, l'histoire qui suit et que j'avais postée s'est effacée.Je la replace donc

Un drôle de bizutage

L’authenticité de l’histoire que je me propose de raconter se révèle bien peu glorieuse pour qui en a assumé le rôle principal. Sans doute même devrais-je m’abstenir de vous la livrer. Car, une fois encore, acteur et auteur ne forment qu’un seul et même individu et que cet individu n’est autre que votre serviteur.

Beaucoup d’entre ceux qui prendront la peine de lire ce qui suit savent sûrement qu’ayant renoncé à exercer un métier d’agriculteur jugé trop peu prometteur d’avenir, j’ai choisi d’épouser (et non de convoler en juste noce) la profession de cheminot. Rien de très exceptionnel en cela, me direz-vous, sauf peut être que lorsque l’on n’a que très rarement eu l’occasion de mettre les pieds dans une gare, on ne sait quasiment rien de ce qui s’y passe en dehors du souvenir de la belle bousculade à laquelle vous avez sans doute été confronté à l'arrivée de votre dernier train.

Or m’étant présenté pour ma prise de service un début juillet en matinée, une période de pleins congés annuels, je me suis vu affecté l’après midi même sur un poste de téléphoniste dans le bureau du Chef de service chargé de la circulation des convois. Les circonstances n’ayant pu permettre au secrétariat de me placer sous la tutelle d’un cheminot chevronné, me voilà donc livré seul, saisi d’angoisses autant que d’incertitudes quant à mes aptitudes à mener à bien ce le rôle qui m’était assigné. Le plus gros du travail consistant à ne recueillir que les dépêches venant de tous horizons, de les inscrire sur un registre sans aucunement déroger à certaines règles puis d’en répercuter le contenu tous azimuts : « ne t’en fais donc pas comme ça ! M’avait dit l’agent que je relevais à 12 heures tapantes, et d’ajouter : du moment que tu n’est pas sourd et que tu sais écrire, on ne t’en demandera pas davantage sur ce poste » Des paroles rassurantes certes mais si peu convaincante qu’elles n’avaient guère atténué les fortes appréhensions que j’éprouvais et qui, je le prévoyais, n’allaient pas me lâcher de si tôt.

Les déclics de clapets suivis de sonneries assommantes n’ayant pas tardés à me paniquer, me voilà soudain confronté à un drôle d’appel ; un appel pour le moins insolite celui-là.

S’ensuit le dialogue assez singulier que voici:

« Répartiteur !
- Oui, je vous écoute
- Etes-vous prêt ?
- Oui ! allez-y…
- Répartiteur à gare de Petit Jean… adresser 3 cacas à gare de…
-Comment dites-vous
-Je dis adresser 3cacas à la gare de… Et 2 cacas chinois ceux-là, à la gare de…
-C’est ça même 3 cacas à l’une et 2 cacas chinois comme vous dites à l’autre, que j’ironise à mon tour, assuré qu’il ne pouvait s’agir que d’un simple bizutage. Jouant même le jeu, j’en rajoute : -J’espère qu’il n’y aura pas trop à forcer pour leur faire épouser une forme de pagode à nos deux cacas ?

Sur ce, résolu de trancher la question, d’un ton qui se voulait cependant demeurer serein je conclus:

« Bon tout cela est très marrant, mais voyez-vous ça sonne de tous les côtés et je n’ai donc pas de temps à perdre avec ce genre de conneries. Là dessus je raccroche et réponds à un autre appel .Le chef de service s’étant absenté pour expédier un train, je ne pouvais compter sur aucune aide.

Il ne se passe pas cinq minutes quand un individu déboule brusquement dans le bureau prêt à mordre. C’était le Chef de gare en personne. Pâle, les yeux féroces, presque pris de convulsions et de bégaiements, il questionne sèchement :
« Quel est l’inconscient qui a répondu grossièrement au répartiteur et qui s’est même permis de lui raccrocher au nez ?
-Ma fois si vous voulez parler du dingue qui commandait à notre gare d’envoyer des merdes par ci par là, ça ne peut être que moi. C’est le genre de plaisanteries qui en amusent peut être certains, mais pas moi. J’ai donc raccroché. Ce n’était qu’histoires tout à fait imbéciles de cacas ! Comme si l’on était d’âge à se prêter à de telles plaisanteries, même à l’occasion d’un bizutage !

C’est alors que retrouvant d’un coup ses couleurs et ne pouvant se retenir de pouffer, entre deux éclats de rires le patron me dit :
-Mais mon pauvre ami ce n’était pas de la merde dont il s’agissait mais bien de certaines catégories de wagons.

Et de m’expliquer :
-Les couverts à essieux sont identifiés par la lettre K, ceux à boggies par KK ; Enfin les KK y appelés aussi « chinois » sont des wagons dont la partie supérieure est toute en fer. A l’origine ces véhicules servaient aux transports du thé, du café et du sucre.

-Ah bon ! Voilà au moins une chose que l’on aura pris la peine de m’enseigner depuis ma prise de service. Mais peut-être aurait-il été plus judicieux de m’en instruire avant même de me confier le poste, qu’il me vient à l’esprit de rétorquer tout à la fois honteux et confus, faisant cependant toucher du doigt au Patron qu’il doit tout de même être assez peu ordinaire qu’un nouvel embauché soit ainsi livré à lui seul dès les premiers instants de son incorporation.

-Ouf ! Ca me rassure, se contente de me répondre celui qui l’instant d’avant m’aurait volontiers poussé sous un train en marche. Repartant toujours plié en deux il se contente de marmonner :

« Ne vous inquiétez pas, je vais tâcher d’arranger ça. »

Un court instant s’écoule et voilà la sonnerie qui ébranle à nouveau le silence qui s’était momentanément installé comme pour m'arracher à bien des interrogations sur mon devenir plus qu’incertain dans un tel fichu métier. Au bout du fil, la voix du Répartiteur encore secoué de rires et dont je n’ai aucun mal à imaginer les difficultés qu’il éprouve à recouvrer tout son sérieux. Plus en retrait et plus confus, un concert de moqueries et lui, mon correspondant parvenant tout juste à s’exprimer intelligiblement hoquetant cette phrase qui devait rester indéfiniment gravée dans ma mémoire :

« C’eut été bien trop dommage de la louper celle-là. C’est sûr, elle restera dans nos annales ». Et d’enchaîner avec la même intonation autoritaire de son précédent appel:

« Allons-y : Répartiteur à Petit Jean…

Pas de quoi pavoiser n’est-ce pas ? C’est pourquoi je vous en conjure les amis: que la confidence que je viens de vous faire reste bien entre-nous.

Salut Lucien et Serge

Puisque l'on parle des gares et des chefs de gare ...
Passé un temps ( quand je n'étais pas grand ) le chef de gare à SOUK EL ARBA du Gharb, frontière entre le Maroc français et le Maroc espagnol n'était autre que Monsieur ORTEGA devenu depuis Meknassi père de notre ami GIGI visible sur l'autre site .... et dont le nom de famille est connu de beaucoup d'entre nous...

Bonsoir à tou(te)s,
Un soir, au dîner, la petite dernière demande à son père:
- Pourquoi tu es toujours rouge ?
-Parce que c'est l'été et en mobyllette on prend des coups de soleil !
La petite ne paraît pas convaincue:
- Mais en hiver aussi tu es rouge !
-C'est l'effet du froid et de la vitesse...
La maman, excédée, saisit la bouteille de Pastis et la tend à sa fille:
- Tiens ! passe la mobylette à ton père !

A 1 heure du matin un type, sur le trottoir, essaie d'introduire une clé dans un réverbère.
Passe un gardien de la paix:
- N'insistez pas, Monsieur, personne n'habite ici !
- Mais si ! Vous ne voyez pas la lumière au premier ?

@ +
Jean

MOLL Serge a écrit:Laëticia demande à son mari Johnny Halliday:
"Chéri qu'est-ce je donne à mes neveux pour Noël?"
"Tu donnes 5000 € au grand!" répond Johnny.
Et au petit?
"Le petit que 2000 (Optic 2000)

Excuses ji trombi...lire:
Et le petit?
"Au p'tit que 2000"
C'est mieux.Non?

Philippe rentre du travail et trouve Mathilde nue devant le miroir entrain d'admirer sa poitrine.
Qu'est-ce qui t'arrive? lui demande t-il?
Et bien,je susi allée chez le docteur cet après-midi et il m'a dit que j'avais des seins d'une jeune fille de 18 ans!
Ah oui? ricane Philippe,et, qu'est-ce qu'il a dit de ton trou du cul de 40 ans?
Rien..... on n'a pas parlé de toi!!!!

C'est un homme de 80 ans qui passe sa visite médicale annuelle.
Le docteur lui demande: "Comment vous sentez-vous?"
"En pleine forme,lui répond l'homme,figurez-vous Docteur que je sors avec une jeune fille de 18 ans et je l'ai mise enceinte!"Tiens donc,dis le praticien qui rajoute:
"Laissez-moi vous racontez une histoire vraie. J'ai un bon ami chasseur,il ne rate jamais une saison de chasse. Un jour,il était pressé il se trompa et prit son parapluie à la place de son fusil.
Arrivé au beau milieu de la forêt,surgit un grizzly qui se précipite sur lui. Il épaule son parapluie,appuie sur la poignée,l'ours tombe raide mort à ses pieds !
"Ah,non Docteur,ce n'est pas possible,c'est quelqu'un d'autre qui a tiré à sa place"
Le docteur: "C'est là où je voulais en venir"

Apportant quelques dernières corrections à l'un de mes ouvrages, j'ai pensé que le court passage que j'en extrais se laisserait facilement lire. Il s'agit des funérailles d'un personnage du village dont il est question dans l'ouvrage. Un individu au comportement peu commun de son vivant.

Les funérailles ne furent assurément pas celles que l’on souhaiterait voir accorder à sa propre dépouille. Le curé lui-même, en dépit d’airs inspirés ne parvenait guère à installer un bien profond recueillement dans la foule qui se tenait compactée dans l’église. Vers le fond, aux seins des gens restés debout, ce n’étaient que chuchotements agaçants. Plus au milieu, maints craquements intempestifs des vieux bancs et sièges vermoulus interrompaient fréquemment les discours de l’officient. Enfin rien qui soit de nature à aider à une concentration ou à un recueillement. Les plus dévotes des personnes paraissaient elles-mêmes n’écouter que d’une oreille distraite. Bref l’une de ces cérémonies dont on voudrait se savoir épargné l’heure venue. Un brin désabusé, le brave ecclésiastique s’efforçait d’élever la voix, de ponctuer ses serments d’inattendues et très surprenantes emphases, espérant sans doute secouer momentanément l’assistance de ses rêveries, mais les chuchotements, les craquements réinstallaient très vite la même légère confusion. Et jusqu’aux représentants des anciens poilus venus en habits sombres rendre hommage à l’un des leurs. Raidis dans un garde à vous impeccable ils étaient là, figés, leurs poitrines gonflée, retenant leur respiration. Piqués au premier rang, tout à côté du cercueil, faisant étalage de son large placard de distinctions, le porteur d’étendard quant à lui commençait visiblement à se ressentir d’ankyloses.

La messe achevée, c’est dans le plus complet désordre que le cortège entreprit de suivre la route qui menait au cimetière européen situé à quelques distances de l’agglomération. Etiré à n’en plus voir le bout, le convoi s’était mis à suivre au pas du vieux canasson attelé à une charrette convertie pour la circonstance en corbillard. Les plus proches avançaient, silencieux têtes baissées, déconcentrés par les irritants grincements des moyeux autant que par les crissements des cerclages métalliques sur les graviers des bas côtés. Sous son voile noir pudiquement rabattu sur le visage, la veuve paraissait perdue dans des pensées. Cette procession marquait-elle un terme à l’enfer qu’elle endurait depuis leur union? L’air tout aussi égaré, frères et soeur encadraient la mère. Le reste du cortège suivait, échangeant on ne sait quelles remarques qui les faisaient sourire. Paraissant vouloir se démarquer des autres, le bout du défilé avançait à quelques distances du gros du cortège. Il y régnait un climat tout à fait bizarre, d’une drôlerie fort dérangeante. Il ne se décelait ni accablement, ni compassion ; rien en tous cas qui puisse un tant soi peu refléter un climat de deuil. On parlait tout simplement, comme on avait l’habitude de le faire en toute autre banale circonstance. Blaguant, riant, laissant en de rares instants retomber un lourd silence, l'on se bornait tout simplement à suivre sans ne se préoccuper le moins du monde de ce qui se passait tout derrière le cercueil.



Voilà, ce sera tout

Re-,
Un électricien pénètre dans la salle de soins d'un Hôpital pour la maintenance.
Il regarde les patients branchés à divers appareils et leur dit:
- Respirez à fond !... je vais changer un fusible !

Un âne crève devant une église. Une semaine plus tard le cadavre est toujours là !
Le prêtre appelle le maire. Celui-ci, grand adversaire du curé lui répond:
- N'appartient-il pas à Dieu de s'occuper des morts ?
- Tout à fait ! dit le curé... mais il est de mon devoir de prévenir la famille !!!

Souvenirs... Souvenirs...
- Comme nous étions heureux il y a 15 ans, ma chérie !
- Mais nous ne nous connaissions pas il y a 15 ans !
- Justement, ma chérie, justement !
Amitiés,
Jean.

Rudy
Tu copieras 100 fois "je ne recopierai pas les blagues de mes petites camarades "
Celle-ci je l'avais mise le 25 octobre !!!!!!!!!!! :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: