Divertissements, Humour 4

ALAIN

Moi pas comprendre à quoi tu fais allusion.
LUCIEN

Toi pas comprendre??? Si les vaches avaient des ailes et qu'elles "bousaient" au-dessus de nos têtes, nous n'aurions pas besoin de béret basque.
Un vol d'étourneaux est déjà très salissant.

ALAIN

C'est ton "Oh que oui" que je n'ai pas compris. Comme ça a l'air d'une réponse ou plutôt d'une approbation, j'ai donc cherché plus haut à qui ça s'adressait ou à quoi tu faisais allusion. Parce que pour ce qui est de l'histoire , c'est moi qui l'ai placée il y a très longtemps. Il s'agissait d'un moine qui avait reçu la fiente sur sa tonsure et qui s'était aussitôt agenouillé pour remercier Dieu d'avoir fait en sorte que ...

Humour cinglant anglais
CHURCHILL fit un jour la remarque suivante à son George Bernard SHAW (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence):
« À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. »
Réplique de SHAW :
« À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. »

Faible femme...
Cette dame s'amuse à écrabouiller une pastèque avec ses cuisses en quelques secondes. Je ne sais pas si elle cherche chaussure à son pied.

Qu'est-ce que c'est?

Alsacien vs Lorrain
A Metz, Seppi l'alsacien se présente dans un bar et s'installe devant le comptoir.
> > Le patron le salue et lui dit :
> > - Bonjour Monsieur, qu'est-ce que vous prenez ?
> > Seppi répond spontanément :
> > - Un amer bière... merci !
> > Il boit cul sec et se dirige immédiatement vers la sortie.
> > Le patron l'interpelle :
> > - Hé Monsieur, vous n'avez pas réglé l'addition !
> > Seppi se retourne et dit :
> > - Mais je ne vous ai rien demandé, c'est vous qui m'avez demandé "qu'est-ce que vous prenez ?".
> > Faudrait pas me prendre pour un imbécile sous prétexte que je suis alsacien !
> > Chez nous, si on vous invite à boire, on paye pas.
> > Pour éviter le scandale devant ses autres clients, le patron furieux, laisse l'alsaco sortir et finit par oublier cette histoire.
> >
> > Un mois plus tard, Seppi l'alsacien refait son apparition dans le bar,
> > et cette fois, le patron qui se rappelle la triste mésaventure, reste muet.
> > Seppi reste immobile devant le comptoir pendant de longues minutes.
> > Il finit par faire signe au patron qui jubile et dit :
> > - Alors Seppi ?
> > - Je voudrais des cacahuètes !
> > Le patron :
> > - D'accord mais vous allez payer cette fois ?
> > Et Seppi sort 1 euro de sa poche et répond :
> > - Évidemment puisque je vous les ai commandées...
> > Une fois son assiette de cacahuètes servie, Seppi commence à les écraser une par une avec une cuillère pour en faire de la poudre puis une boule avec un peu d'eau.
> > Étonné, le patron interroge :
> > - Je peux vous demander ce que vous faites ?
> > Seppi explique :
> > - Oui, je pile des cacahuètes pour aller à la pêche, ça me sert d'appât.
> > Cette technique fonctionne très bien pour les gros poissons !
> > Curieux, le patron demande :
> > - Ah bon ? Et qu'est-ce que vous prenez ?
> > Et Seppi répond spontanément :
> > -Un Amer bière... comme la dernière fois. Merci

Horrible
C’est un braqueur qui arrive dans une banque.
> > Il tient tout le monde en respect avec une arme et exige l'accès au coffre-fort.
> > Il ressort quelques instants plus tard avec plusieurs sacs de billets.
> > Il regarde alors un client droit dans les yeux et lui demande :
> > > - "Tu as vu quelque chose ?"
> > Le client répond :
> > - "Oui, vous avez...."
> > Il n'a pas le temps de finir sa phrase qu'il est abattu d'une balle entre les deux yeux.
> > Le malfaiteur regarde le client à côté de lui droit dans les yeux, et lui repose la même question :
> > - "Et toi, tu as vu quelque chose ?"
> > Le client répond :
> > > - "Moi, non. Mais ma femme, elle, a tout vu !''

Le petit gars a besoin de 150$ pour acheter des jeux vidéo. Ça fait des mois qu'il harcèle ses parents qui refusent. "Tu n'auras pas un cent tant que tes résultats scolaires ne seront pas bons". En désespoir de cause le petit gars décide d'écrire à Dieu.

"Cher bon Dieu. Si tu es bon, si tu existes, si tu es puissant et si gentil, tu vas m'envoyer 150$ pour acheter des jeux vidéo. Je t'aime beaucoup."

Et le petit gars adresse sa lettre à Dieu, Canada. Émues, les autorités postales envoient la lettre au secrétaire de Jean Chrétien, qui la montre au premier ministre. Impressionné par le fait que le petit gars ait choisi le Canada comme lieu de résidence de Dieu, Jean Chrétien ordonne qu'on lui envoie 10$.

Le petit gars reçoit la lettre et répond immédiatement.
"Cher Dieu, merci pour ton 10$ mais il ne fallait pas répondre via le gouvernement car les maudits fonctionnaires ont tout gardé pour eux."