Médiathèques, Bibliothèques, Presse

CONRAD-BRUAT Xavier a écrit:Ghis
Oui mais, nous, à Marseille, nous avons la plus grosse...

Et il a raison, le bougre.... La voici cette fameuse sardine qui a bouché le port...            
...

Comment est née la légende…. ??? En voici une version avérée…
La Sardine s’appelait en fait « Le Sartine »,   un imposant vaisseau de commerce construit en 1775 reconverti en bateau de guerre.
En 1779, Le Sartine revenait d’une série de combats avec les Anglais au large de Pondichéry. A son bord,  des prisonniers de guerre, il était désarmé et naviguait sous pavillon blanc, donc neutre, direction Marseille pour des échanges de prisonniers.
A l’arrivée à Marseille, le capitaine fit hisser le pavillon français pour des raisons incompréhensibles.
Les Anglais lancèrent alors une attaque contre lui et le coulèrent le 19 mai 1780 devant le port, ce qui eut pour effet de le boucher…
L'histoire, maintes fois racontée, a pris des allures de légende, puis de vaste blague, pour cause de mauvaise prononciation ! Le « Sartine » est devenu la « Sardine ».

Ghislaine Jousse-Veale a écrit:

CONRAD-BRUAT Xavier a écrit:Ghis
Oui mais, nous, à Marseille, nous avons la plus grosse...

La plus grosse quoi Xavier? ahaha

GHIS
Il était question de sardines. D'ailleurs ANDRE l'a exhibée. A quoi pensais-tu? A une araignée? Là nous sommes à Marseille et pas à Monaco.

Découvrir de belles photos du Maroc des années 1910 à 1930, les modes de vie, les festivités , les visites officielles, des villes et villages puisés dans "la Médiathèque de l'Architecture et de Patrimoine, Archives photographiques.

Deux ou trois photos, puis un lien qui permet d'ouvrir un album-photos aux thèmes quelquefois nostalgiques...

...Le général Lyautey visite les stands de la ville de Fès le 15/10/1916 - photo Schmitt-Rattié
Crédit photo Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, diffusion RMN

...Sidi-Yahia sur les bords de l'oued Sebou, convoi de ravitaillement sur araba (charrette marocaine) - Photographe Queste Paul - 1916.04.28

...La gare près de l'Oued-Jdida - Ligne de Fès, automotrice transportant les officiers et la poste - Photographe Queste  Paul - le 25/04/1925

La médiathèque de l’architecture et du patrimoine :
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La Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine (suie et fin)
Plus d'une centaine de photos toujours dans les mêmes périodes, mais traitant uniquement Meknès...

...les greniers de Meknès

...le sérail du Palais Jamaï à Meknès - Arlaud, Georges Louis (photographe) - vers 1925

...Meknès - Héri-es-Souani ou Dar el Ma (Le palais de l'eau) avec des enfants sous les arches - Arlaud, Georges Louis (photographe) - vers 1925
Ces arches devaient être les aqueducs situés à l'intérieur du Maghzen, côté est...démolis de nos jours.

La suite en 195 photos ... :
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Le Salon des livres et des arts élira domicile au Palais des institutions italiennes.
L’Institut français organise, du 6 au 10 mai 2015, la dix-neuvième édition du Salon des livres et des arts de Tanger. L’événement se déroulera au Palais des institutions italiennes autour du thème «Le rôle des femmes».

Les femmes d’Afrique, d’Europe et d’ailleurs partageront leurs expériences respectives lors de journées d’échanges et de débats, à travers des séances arabophones, anglophones, hispanophones et en italien. Parallèlement, dans le cadre de la promotion du livre et de la lecture, le Salon sera précédé et accompagné d’un travail pédagogique mené dans les établissements de l’Académie régionale de l’enseignement et de la formation (AREF).
Il sera sanctionné par la remise des prix aux plus méritants. En parallèle, la musique, les arts plastiques et la danse seront à l’honneur durant ce Salon où réflexion et plaisirs de la rencontre et de l’expérience esthétique seront appelés à se conjuguer. L’événement sera également ponctué par un hommage qui sera rendu à Nawal Moutawakil, première femme arabe et africaine à avoir remporté la médaille d’or olympique.

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Nous sommes tous des Meknassis, mais lui a été le plus célèbre d'entre nous..en 1974, alors Ministre des AE en visite officielle en Algérie.... remarquez les gros cendriers et le "havane" Boumedienne était fidèle à Castro...

La foire aux livres - Ouvrages a petits prix


Pour la troisième année consécutive, la médiathèque de l’Institut français d’Agadir organise sa “Foire aux livres” le samedi 9 mai de 10h à 17h30.
La médiathèque vous offre ainsi la possibilité d’acquérir à petits prix les ouvrages qui ont fait l’objet du “désherbage” annuel ! Vous pourrez dénicher toutes sortes d’ouvrages sur l’économie, les sciences sociales, la bande dessinée, le roman, les essais…
Pour faire de bonnes affaires, il faut venir tôt et farfouiller sans répit. Surtout, n’oubliez pas de venir avec vos sacs et cartons pour pouvoir tout remporter chez vous !
Samedi 9 mai de 10h à 17h30 à l’Institut français d’Agadir

Le pavillon du Maroc au World Showcase

Le pavillon du Maroc fait partie du World Showcase dans le parc à thème à Orlando dans l'État de Floride aux États-Unis. (construit en 1984)

Le pavillon du Maroc est principalement une réplique de la médina de Marrakech avec un minaret mais comprend aussi des évocations de Casablanca, Rabat et Fès. En dehors d'un grand réalisme dû au souci de détail de Disney, le pavillon comporte peu d'éléments à part des boutiques et des restaurants. Disney avait fait venir des artistes marocains pour réalisés les décors du pavillon, envoyé par le roi Hassan II.

La Cigogne Volubile 2015
Le printemps des livres jeunesse au Maroc



Dédiée aux jeunes lecteurs de 4 à 12 ans, La Cigogne volubile a pour objectif cette année de sensibiliser le jeune public aux questions d’écocitoyenneté et de biodiversité. Parce que la littérature jeunesse aide les plus jeunes à grandir et à construire leur regard sur le monde, parce qu’elle enchante leur univers et pose des questions sérieuses, petits et grands sont conviés à ouvrir grand leurs yeux et leurs oreilles et à participer aux nombreuses activités.
HALIMA HAMDANE est née au Maroc où elle fait des études de lettres et enseigne le français au collège puis au lycée. En 1986, elle s’installe en France.

BONJOUR
Ce que vous ne savez sûrement pas sur l'origine des noms des villes marocaines
Marrakech

L’origine du nom de Marrakech est un mixte de deux mots Tamazight Mour « pays » et Akouch « Dieu » ce qui signifie « la terre de Dieu ». Une autre interprétation donne « terre de parcours ».

Loin de cette version officielle, certains historiens disent que le mot Marrakech trouve son origine dans la composition de deux mots arabe mour « Passer » et Kouch « S’échapper ». Selon la légende, durant l’époque des caravanes, Marrakech était réputée pour être une localité qui rassemblait les voleurs de la région. Du coup, il ne fallait surtout pas tarder à Marrakech d’où son nom « Mour wa Kouch» « Passes et échappe toi ».

Rabat

L’origine du nom de la ville de Rabat remonte au 12e siècle, lorsqu’elle fut fondée par les Almohades. Rabat était à l’époque Ribat « Fortesse » et son nom vient de Ribat Al Fath, une appellation purement militaire qui signifie « le Camp de la victoire ».

Selon une version incertaine, le nom Rabat trouve son origine dans le mot arabe « Ribat » qui signifie « Attache ». D’après la légende, les bêtes étaient interdites de rentrer à Rabat par soucis d’hygiène, on devait donc les attacher en dehors des remparts, d’où le nom Ribate (Attache).

Casablanca

Casablanca était appelée à l’époque Anfa, selon la légende, elle aurait été fondée par les romains. Mais rien ne vient étayer cette version. Une autre hypothèse dit que l’origine de la ville serait berbère.

Selon les historiens, le nom d’Anfa apparaîtrait sous des orthographes diverses dans les portulans du 14 et 15e siècle notamment, Niffe, Anafa, Nafé…Certains disent que le mot Anfa découle du mot arabe Anf « Nez » et d’autres du mot berbère Anfa (sommet).

La transformation du nom d’Anfa à Casablanca reste incertaine, A en croire la légende, les Portugais auraient attaqué la ville. Impuissants, ses habitants auraient fuit vers Rabat et Salé. Casablanca était donc détruire et inhabitée durant 3 siècles et une seule maison blanche sur le port était restée intacte. Les marins et les pirates appelaient ce bout de colline « Casablanca » à cause de la bâtisse blanche.

Fès

La version des anciens auteurs (Abou Bakr ben Mohammed er-Razi et Ibn Abi Zar) dit que l’origine du nom de Fès est liée à la découverte d’une pioche (Fä’s) en arabe, lors du creusement des fondations de la ville.

Une autre version dit que l’origine du nom de la ville de Fès serait liée à une métathèse. A en croire cette version, un ancien moine chrétien aurait révélé à Idris 1er l’emplacement où sera construite la ville, et dans ce même emplacement existait une ancienne ville nommée Saf dans les habitants étaient portés disparus. La métathèse Saf en Fès serait donc à l’origine du nom de la ville.

Meknès

L’origine du nom de la ville de Meknès est liée à la tribu amazighe Meknassa, qui signifie en tamazight « les guerriers ». En 711, plusieurs membres de cette tribu auraient pris part à la conquête de l’Andalousie aux côtés de Tariq ibn Ziyad.

Essaouira

Le nom de la ville d’Essaouira trouve son origine dans deux interprétations différentes. La première interprétation dit que Souira désigne une petite forteresse entourée de murailles, Souira serait donc le diminutif de Sour (roche en arabe).

La deuxième interprétation dit que le mot Essaouira trouve son origine dans le mot Tasaouira et ses variantes ( Saouira, At’souira, Atassouira) qui signifie image, tableau… Et qui fait référence à la disposition de la ville : la bien conçue, la bien dessinée…

Kenitra

Le nom de la ville Kenitra signifie en arabe « petit pont » et trouve son origine dans la construction d’un ponceau sur l’oued Fouarat. De 1932 à 1956 Kenitra porta le nom de port-Lyautey, puis après l’indépendance, elle reprendra son nom d’origine.

Bonjour et merci Huguette
On ne retiendra surement  pas tous ces détails mais leur lecture était intéressante.
Un rappel:
Meknès
L’origine du nom de la ville de Meknès est liée à la tribu amazighe Meknassa, qui signifie en tamazight « les guerriers ». En 711, plusieurs membres de cette tribu auraient pris part à la conquête de l’Andalousie aux côtés de Tariq ibn Ziyad.

Selon une autre légende, l'endroit étant réputé favoriser la naissance de garçons, c'est là que les femmes venaient mettre au monde leurs enfants On disait :
"C'est là que les mecs naissent" :lol!: :lol!: :lol!:

Je suis entrain de lire un livre ou on parle un peu de la Campagne du Maroc mais c'est en anglais et on parle de ce Prince Aage de Danemark qui avait joint la Legion etrangere et je suis donc allee faire des recherches dans l'internet au sujet de cet homme mais en francais bien sur et voici:



"A la suite de la banqueroute de la banque à laquelle il avait confié la gestion de sa fortune, le prince Aage décide avec l’accord de son père de rejoindre les rangs de la Légion Étrangère française. Il se sent attiré par ce corps d’élite. L’Afrique du Nord est en ébullition et le Maroc en guerre. Comme l’avait avant lui le Lieutenant Selchauhansen, Aage de Danemark fait une demande auprès de son oncle, le roi, pour obtenir l’autorisation de servir en France. Le 18 décembre 1922, le roi du Danemark l’autorise à quitter l’armée danoise pour rejoindre la Légion Étrangère. Après une négociation entre les gouvernements français et danois, Aage de Danemark est engagé en conservant son rang de capitaine à titre étranger. Le Général Buat, chef d’état major de l’armée française, met le Prince à la disposition du Maréchal Lyautey, résident général de France et commandant supérieur des Troupes du Maroc. C’est le maréchal qui doit décider de son affectation dans un des corps de la Légion présents au Maroc.

Embarqué à Marseille à destination de Casablanca, le Prince Aage de Danemark se présente au Maréchal Lyautey auquel il demande de lui accorder le commandement d’une compagnie de légionnaires. Il est affecté au 2ème Régiment étranger d’infanterie, dont la portion centrale est stationnée à Meknès et dont les bataillons poursuivent la pacification du pays au Moyen Atlas. En 1923, l’ensemble du régiment est engagé au Sud de Taza contre les tribus Ait-Tseghouchen et Marmoucha, dont les guerriers non seulement se défendent vigoureusement, mais savent également mener des contre-attaques très violentes que seule la farouche résistance des légionnaires permet de repousser. Au cours de ces engagements, le Prince est de toutes les actions du régiment et se fait remarquer par son courage. Le 29 décembre 1923, blessé à la jambe gauche, il reçoit une première citation à l’ordre de l’Armée qui souligne sa volonté de «se dépenser sans compter, aussi bien dans la troupe qu’au sein de l’état-major, lors des combats de Bou-Arfa , du Bou-Khamouj et d’El-Mers». Il reçoit la Croix de Guerre.

Détaché en 1924 à la 1ère Compagnie montée, officier de Légion, combattant et bâtisseur, il conçoit les plans d’un poste et en dirige l’exécution.

En 1925, il est nommé à l’état-major du général commandant les troupes d’occupation du Maroc. Ce poste sédentaire ne l’empêche pas de participer activement à la guerre du Rif contre Abd-el-Krim. Au combat du djebel Bibane, il obtient une deuxième citation pour «avoir fait preuve du plus beau courage et s’être porté volontaire pour toutes les missions périlleuses, en portant des ordres aux unités engagées en première ligne sous le feu le plus violent». Pour cette action, il obtient une seconde citation à l’ordre de l’armée, le 28 juin 1925.

Le 31 octobre 1925, il rentre en France pour suivre les cours de la 48ème promotion de l’Ecole Supérieure de Guerre. Sa formation est interrompue de décembre 1925 à mars 1926, lorsque le ministère français des Affaires étrangères lui confie une mission de promotion aux Etats-Unis. Il suit les cours de l’Ecole de Guerre d’octobre 1926 à novembre 1928. A la fin de ceux-ci, il effectue dans les corps de métropole le stage que doivent accomplir les nouveaux brevetés et le 13 novembre 1928, il retourne au Maroc en qualité de stagiaire à l’état-major du commandant supérieur des troupes du Maroc. En 1929, il prend part aux opérations du Tadla, en particulier aux attaques sur Azarar-Fal et le piton des Cèdres qui sont, pour le commandement, l’occasion de lui décerner une troisième citation pour «avoir fait preuve des plus belles qualités militaires».

Début 1931, il est affecté à l’état-major de la 3ème Division de Cavalerie en France où il reste trois ans. Entre temps, il est promu officier de la Légion d’Honneur, le 25 janvier 1932. De retour au Maroc, il sert au 19ème Corps d’Armée puis au groupement motorisé opérant dans la région de l’Anti-Atlas sous les ordres du Colonel Trinquet. Il est encore engagé à la prise de Goulimine, du 8 au 10 mars.

Il retrouve la Légion au sein du 1er R.E.I. où, le 25 février, il est promu chef de bataillon. Le 3 juillet 1935, il rejoint le 3ème R.E.I. stationné à Fez. Commandant le 2ème Bataillon par intérim en 1935, il prend, le 17 novembre 1937, le commandement du 1er bataillon du 3ème Régiment Étranger d’Infanterie et parvient à marquer de sa personnalité sa formation en espérant pouvoir la mener au feu.

Il a la déception de ne pas faire partie du contingent du 3ème Régiment Étranger d’Infanterie, qui est dirigé sur Sidi-bel-Abbès pour être intégré en 1939 dans le corps qui doit partir en Finlande et qui, sous la dénomination de 13ème Demi-Brigade de la Légion Étrangère, sera envoyé en Norvège en 1940 et participera à la bataille de Narvik.[

Le 29 février 1940, dans la nuit qui précède le passage à Taza du train conduisant les légionnaires du 3ème R.E.I. à Sidi-Bel-Abbès, le Chef de bataillon Aage de Danemark décède subitement. La nouvelle, communiquée au détachement durant l’arrêt du train en gare de Taza, sème la consternation dans la troupe. Deux fois cité avec croix de guerre des Théâtres d’Opération Extérieurs, le prince Aage était Chevalier de la Légion d’Honneur, officier du même ordre, titulaire de la Médaille Coloniale avec agrafes «Maroc», «Maroc 1925», «Sahara» et «Afrique occidentale française». Il était également grand cordon de l’ordre de Léopold III, roi des Belges et commandeur du Ouissam alaouite.

Deux cérémonies eurent lieu en son honneur, l’une à Taza le dimanche 3 mars 1940, l’autre à Casablanca le lendemain, après que sa dépouille y eut été transférée. Le Prince Aage de Danemark est d’abord enterré au cimetière d’El-Hank à Casablanca, puis selon son vœu, sa dépouille est transférée sept ans plus tard, à Sidi-Bel-Abbès, la maison-mère.

En 1962, avant que la légion ne quitte l’Algérie, il est décidé que les restes de trois soldats seront symboliquement rapportés en France. La dépouille du prince Aage fut choisie comme représentant celles des officiers étrangers de la légion. Elle repose aujourd'hui près de celle du Général Rollet et du Légionnaire Zimmermann dans le carré du Légionnaire près du domaine «Capitaine Danjou» à Puyloubier dans les Bouches-du-Rhône.

En 1946, la compagnie montée du 4ème R.E.I., s’installe à Ksar es Souk où elle construit un camp qui prend le nom de «Aage de Danemark» en 1948."

Les ouvrages du Chef de bataillon Aage de Danemark

Bonjour Serge - J'ai des livres sur le Maroc que j'obtiens d'un magasin qui s'appelle Criterion a Vancouver. Il y en a jusqu'au plafond et ce sont des beaux livres, beaucoup de collections qui ont ete remis a ce grand libraire par des familles qui veulent se debarrasser de collections de livres d'une personne decedee etc.etc....Une partie des sous va a la societe du cancer et certains de ces livres appartenaient a un physicien de Vancouver et d'apres ce que j'ai compris il avait voyage et meme pratique en Afrique du Nord. Ces livres avaient  ete ecrits en anglais par divers ecrivains qui avaient fait des sejours au Maroc/Algerie et meme Tunisie. Bref certains que j'ai achete parlent beaucoup de cette campagne dont Andre a deja mis un tas d'articles sur ce sujet. Perso je trouve cela interessant. Et ci-dessus ces pages sur ce Prince m'avait bien interesse et j'avais ete fouiller dans l'internet.

L’anti-manuel des Cahiers du cinéma
Écrit par Mohammed Bakrim
Le nouveau manuel du scénario

Cela me rappelle l’histoire de celui qui a écrit un livre pour défendre la thèse que les «les livres sont inutiles». C’est en effet l’équation qui se pose depuis de longues dates à la revue Les cahiers du cinéma dans son rapport au scénario.