Cultes et Edifices Religieux au Maroc

Ouais, Jean Claude...
Je compte sur toi.... J'ai donc procédé au changement de titre dans la page précédente. A te relire...
     La 1ère église dans la caserne de Bou Denid...

Oujda

            J'ai retrouvé dans mes dossiers 2 photos de la belle église d'Oujda. Je la rajoute ici, pour compléter les collections éventuellement.  Je ne me souviens pas avoir entendu le père Gérard Garcia en parler, à notre dernière visite chez lui, mais il me semble qu'il y a séjourné...
      Autre église d'Oujda - Saint Louis d'Anjou
Eglise St Antoine à Oujda

  La petite Kouba de Settat à l'extérieur des remparts. mes recherches m'ont fait savoir qu'une qoubba est, en Afrique du Nord, un mausolée de saint, composé d'une partie cubique, coiffé d'une coupole, généralement sphérique ou ogivale, symbole d'importance du saint. Le mot signifie « coupole » et provient de la racine latine cap, capo qui veut dire « sommet ».
En principe, le Kouba est un monument élevé sur la tombe d'un marabout.

 1914 - une église installée sur les lieux même de la Médina de Marrakech. C'est la 2 fois que je découvre cette CPA. (voir page 31)

Le père Charles de Foucault

  Charles de Foucauld, né le 15 septembre 1858 à Strasbourg et mort le 1ᵉʳ décembre 1916 à Tamanrasset, est un officier de cavalerie de l'armée française devenu explorateur et géographe, puis religieux catholique, prêtre, ermite et linguiste.
EL GOLEA en 1958
La tombe du Père de FOUCAULD
Après 1962 la croix sera détruite
  1905 - Tamanrasset - l'hermitage du désert où le Père de Foucault se confina
      La tombe de Charles de Foucault. 1962 à G. de nos jours à D. Le Père Charles de Foucauld, assassiné à Tamanrasset le 1er décembre 1916. 
Hermitage de Pierre de Foucault à Béni-Abbès , 1901-1905. Photo aérienne de 1928.
De Charles de Foucauld, reste l’image de l’ermite du Sahara. Cette vocation connut sa genèse au Maroc. Là, aux confins du grand désert, le souvenir de l’officier explorateur demeure vivace. En suivant ses traces de Tanger à Tissint, on emprunte son improbable cheminement vers un Dieu qu’il méconnaît encore.

    Au cœur du Maroc profond, voici l’église Sainte-Barbe de Khouribga devenue théâtre municipal  de nos jours.
 Casablanca - Eglise des Père Franciscains

  L'église de St François, Casablanca

Eglise des sts martyrs  - Marrakech
Une église située au plein cœur du quartier de Guéliz en face de la mosquée.
L’église catholique des Saints-Martyrs reste, depuis sa création, un exemple de tolérance inter-religieuse qui fait partie intégrante du patrimoine de la ville ocre.
L’Église des Saint-Martyrs fut construite en 1928 et inaugurée en décembre 1931.
 Dessinée par l’architecte et urbaniste français Henri Prost, répondant aux programmes du maréchal Lyautey (1er résident marocain) pour diriger les services d’architecture du Protectorat au Maroc.

Sources églises
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Un officier de Tirailleurs à Marrakech envoie le récit suivant « Une messe célébrée au camp »
Camp de Marrakech, 25 septembre 1913.
« La messe sera célébrée demain à 7h30, au Guéliz » (Rapport du commandant du camp du Guéliz) - J’irai !
Il m’est sans doute arrivé quelquefois, en France, de manquer la messe. Mais ici rien ne m’empêche d’y assister, et puis, une certaine curiosité me pousse à voir ce qu’est une messe au camp.
À 7h30, je me dirige vers l’allée des Souks. C’est près de là m’a-t-on dit, que se trouve l’église. Je cherche vainement, je m’enquiers; enfin, l’on m’indique une baraque en planches que rien, d’ailleurs, ne différencie de ses voisines. C’est là pourtant La Chapelle, à côté de laquelle passerait pour une cathédrale la plus pauvre église du plus pauvre hameau de France.

       Au fond, la tour de la Basilique    
1937 - L'autel de la cathédrale de Casablanca

Extrait de l’Église catholique au Maroc sous le protectorat français - Rabat-Paris-Rome ou le heurt des logiques (1912-1956)
de Moussa Marguich

L’histoire de l’Église catholique au Maroc est étroitement liée à l’occupation française. Mais la présence des franciscains au Maroc est beaucoup plus ancienne que la domination du pays par la France et l’Espagne.

Henry Koehler en fait le récit dans son ouvrage : L’Église… Pour encourager les efforts et le dynamisme observés avant le protectorat, la Congrégation de la Propagande (Propaganda fide), chargée du gouvernement des missions, avait par le décret du 10 août 1859 érigé la Mission du Maroc en Préfecture apostolique confiée au collège franciscain de Saint-Jacques de Compostelle.

Anastase Goudal, Histoire de la Mission franciscaine à Meknès…. En 1908, le pape Pie X élève la Préfecture apostolique du Maroc au rang de Vicariat apostolique siégeant à Tanger. Son premier titulaire, Mgr Francisco Cervera étend sa juridiction sur l’ensemble du pays, sauf Ceuta et Mélilla qui appartiennent aux diocèses de Cadix et de Malaga. 

Alexandre Pons, La nouvelle Église d’Afrique ou le catholicisme…
L’établissement du Protectorat français change profondément la donne et crée des conditions favorables à l’installation d’un clergé français destiné à répondre aux besoins spirituels de la population française. Mais, au moment où la France intervient dans les affaires chérifiennes, les franciscains espagnols sont déjà bien implantés et possèdent, dans la zone française, une station avec église et missionnaires, dans chacun des ports ouverts au commerce européen. Cet héritage renforce la position de l’Espagne au Maroc et la rend intraitable sur ses droits ecclésiastiques. Ceci malgré son engagement par l’accord du 27 novembre 1912, qui prévoit par l’article 8 l’avenir de l’organisation religieuse.

Sources : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Marrakech (suite et fin)

    La 1ère chapelle militaire dans las 1ers jours du protectorat
 L'église des Saints Martyrs, avant, après... ◄◄Située dans le quartier de Guéliz, l’église catholique des Saints Martyrs demeure, depuis sa création, un exemple de tolérance inter-religieuse. Made in Marrakech a mené quelques recherches pour vous livrer l’histoire de ce lieu de culte, qui fait partie intégrante du patrimoine de la ville ocre. Toujours en fonction de nos jours.
Dans le quartier du Ghéliz
           ◄◄ l'église du Guéliz réhabilitée de nos jours.
▲▲ Intérieur de la 1ère chapelle vue en tête de liste. 1918

L'église de Petitjean, de nos jours Sidi Khacem

L'église de Taza

Casablanca
 Casablanca - Eglise du Sacré Coeur
 Eglise N.D.

 L'église de Khouribga

Eglise de Rabat

La Cathédrale
autre vue de la Basilique St Pierre de Rabat, en 1951

  Eglise de Khénitra
Eglise de Berkane

Photo envoyée par Mme Evelyne Dunan, prise le 1er novembre 2022. On peut juger de l'état parfaitement entretenu par les services meknassis.

Nombreux sont celles et ceux qui ont connu la plage et le village de Moulay Bousselhem. Mais peu en connaissent l'histoire. En voici donc le résumer:                                                                                                           Moulay Bousselham tire son nom de son saint patron (des milliers de personnes viennent se recueillir chaque année dans ce village). D'après une croyance populaire, Moulay Bouselham, « homme au selham » — « homme à la cape » — était venu d'Égypte avant de se fixer aux abords de la Merja Zerga. Il est mort lors  de la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] en 1578 à Oued al-Makhazin. D'autres saints se sont installés dans la région et aujourd'hui pas moins de sept peuvent être comptés dispersés dans le village.                                                                                                                                                             Avis donc à celles et ceux qui y retournent. Plutôt que vous faire bronzer, faites absoudre vos péchés dans la prière. Ce ne sont pas les lieux saints qui manquent.

Ce serait la 1ère église de Fès.

Alain, C'est l'église de St François d'Assises de Fès de la photo précédente.

Elle est surprenante.  Elle a déjà fait l'objet d'une discussion, ce me  semble...??
""Première église (1919-1920):
La première église de la Ville Nouvelle fut édifiée vers 1919-1920 sur le lot n°92 du secteur de villas d’Aïn Khèmis. ""

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