Mémoires du "bled" durant le Protectorat
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Re:Mémoires de blédards
ALAIN
Ou bien des Lucky Strike ? ou Pall Mall ? ou Peter Stuyvesant ?
Ou bien des Lucky Strike ? ou Pall Mall ? ou Peter Stuyvesant ?
MOLL Serge- Messages : 3767
Date d'inscription : 10/03/2011
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Localisation : Bedoin Vaucluse
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
SERGE
Rien ne vaut une bonne pipe de St Claude évidemment.
Rien ne vaut une bonne pipe de St Claude évidemment.
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
ALAIN
On dit ça, mais c"était avant !!!!
On dit ça, mais c"était avant !!!!
MOLL Serge- Messages : 3767
Date d'inscription : 10/03/2011
Age : 85
Localisation : Bedoin Vaucluse
LUCIEN
Bonjour Lucien, heureux d'avoir de tes nouvelles. Francis DEYDIER, va super bien, il travaille toujours et espère te revoir un jour (pas trop lointain)
cruz otero marie carmen- Messages : 91
Date d'inscription : 13/11/2011
Age : 79
Localisation : MOULAY bOUSSELHAM
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Tant qu'elle ne se casse pas... ︎MOLL Serge a écrit:ALAINOn dit ça, mais c"était avant !!!!Grostefan Alain a écrit:SERGE
Rien ne vaut une bonne pipe de St Claude évidemment.
CONRAD-BRUAT Xavier- Messages : 6240
Date d'inscription : 12/09/2012
Age : 85
Localisation : Toulouse
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
et pas trop tard...
Mon frère aîné connaissait Francis, même génération,
Moi, j'étais copain avec Michel, je crois que c'était son jeune frère, "c'était" car il n'est plus,
et j'ai eu à faire des affaires avec un jeunot, Patrick, je crois que c'est son fils.
Mon frère aîné connaissait Francis, même génération,
Moi, j'étais copain avec Michel, je crois que c'était son jeune frère, "c'était" car il n'est plus,
et j'ai eu à faire des affaires avec un jeunot, Patrick, je crois que c'est son fils.
CONRAD-BRUAT Xavier- Messages : 6240
Date d'inscription : 12/09/2012
Age : 85
Localisation : Toulouse
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Bonjour Marie-Carmen et j'ai honte. Cela fait un moment que je ne t'ai ecrit, mais bezeff occupee...ahahah..Et les fistons? Toujours en Espagne. Te rappelles-tu du nom de la fille chez qui j'etais restee en 2008 a MB, c'etait la maison de ses parents... Est-ce qu'elle habite toujours la?? Et les Sanchez? Continues-tu ton superbe travail avec les animaux?? Que se passe t'il de neuf a MB??
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12842
Date d'inscription : 18/10/2010
Age : 84
Localisation : Vancouver, Colombie Britannique
GHISLAINE
Moi aussi j'ai honte, j'aurai pu te faire un petit mot, tous les jours je me disais qu'il fallait que je le fasses et les jours passaient.....passaient. Tout va bien à Moulay qui a repris son calme après un été chaud et plus que plein de gens de tous genres.
Le nom de famille c'est LADUREE et elle c'est Caline qui est très fatiguée en ce moment avec un oedème pulmonaire.
Les SANCHEZ sont toujours à Moulay et vont bien.
Bisous
Le nom de famille c'est LADUREE et elle c'est Caline qui est très fatiguée en ce moment avec un oedème pulmonaire.
Les SANCHEZ sont toujours à Moulay et vont bien.
Bisous
cruz otero marie carmen- Messages : 91
Date d'inscription : 13/11/2011
Age : 79
Localisation : MOULAY bOUSSELHAM
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Ghis et Marie Carmen
Non! Non! Pas ça les filles! J'ai placé deux extraits espérant vous faire rire et voilà que je ne vous tire que des regrets ! Aller; séchez vos larmes, pressez bien vos mouchoirs et retrouvez vos sourires! :lol!:
Non! Non! Pas ça les filles! J'ai placé deux extraits espérant vous faire rire et voilà que je ne vous tire que des regrets ! Aller; séchez vos larmes, pressez bien vos mouchoirs et retrouvez vos sourires! :lol!:
Lucien Calatayud- Messages : 5485
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 94
Localisation : Bouniagues (Dordogne)
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Bon à savoir

"Sur les champs de bataille à l’époque napoléonienne, il n’était pas rare que les soldats soient gravement blessés par balles, coups de sabre ou de baïonnette, ou encore par *éclats d’obus… Face à ces blessures, les chirurgiens militaires décidaient régulièrement d’amputer les patients.
En effet, à l'époque, les antibiotiques n'existaient pas et l’amputation était le seul moyen pour éviter qu'une blessure ne s'infecte et que le membre ne se gangrène. Mais au début du XIXe siècle, l’anesthésie n’existe pas... Les patients pouvaient être soulagés par une bonne rasade d'eau-de-vie, malheureusement, cela ne suffisait pas à atténuer la douleur. Pour étouffer leurs cris, on leur plaçait alors une *pipe en terre cuite entre les dents pour qu’ils la mordent et ne crient pas.
Si l'amputation se passait mal et que l'opéré décédait, les muscles de sa mâchoire se décontractaient, libérant la pipe qui tombait par terre et se brisait. En passant de vie à trépas, le pauvre soldat avait donc cassé sa pipe. La métaphore, d’abord utilisée dans le jargon militaire, s’est ensuite étendue au langage courant."
Source Le Net
*Je me doute bien que ce n'est pas "par éclats de rires".
* Ne pas confondre avec l'animal fabuleux appelé "pie-panthère".

"Sur les champs de bataille à l’époque napoléonienne, il n’était pas rare que les soldats soient gravement blessés par balles, coups de sabre ou de baïonnette, ou encore par *éclats d’obus… Face à ces blessures, les chirurgiens militaires décidaient régulièrement d’amputer les patients.
En effet, à l'époque, les antibiotiques n'existaient pas et l’amputation était le seul moyen pour éviter qu'une blessure ne s'infecte et que le membre ne se gangrène. Mais au début du XIXe siècle, l’anesthésie n’existe pas... Les patients pouvaient être soulagés par une bonne rasade d'eau-de-vie, malheureusement, cela ne suffisait pas à atténuer la douleur. Pour étouffer leurs cris, on leur plaçait alors une *pipe en terre cuite entre les dents pour qu’ils la mordent et ne crient pas.
Si l'amputation se passait mal et que l'opéré décédait, les muscles de sa mâchoire se décontractaient, libérant la pipe qui tombait par terre et se brisait. En passant de vie à trépas, le pauvre soldat avait donc cassé sa pipe. La métaphore, d’abord utilisée dans le jargon militaire, s’est ensuite étendue au langage courant."
Source Le Net
*Je me doute bien que ce n'est pas "par éclats de rires".
* Ne pas confondre avec l'animal fabuleux appelé "pie-panthère".
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Une belle photo du bled.... Le Zerhoun au fond.... D'après le libellé, que je n'ai pas écrit, on devrait être dans la région de Meknès (???????)
Dernière édition par Admin le Mar 14 Mar - 8:54, édité 2 fois
_________________
Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Je passais par les fermes d'antan....
Photo appartenant à la Médiathèque du Patrimoine...
Photo appartenant à la Médiathèque du Patrimoine...
_________________
Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Salut tout le monde
Un petit extrait de mes mémoires.
La rançon du modernisme
Cela faisait deux ou trois années que nous avions l’eau à volonté dans la maison et à l’abreuvoir.
C’était sans doute trop beau car, en ces tous débuts d’un été torride, plus un moindre souffle de vent n’aidant à reconstituer les réserves nous eûmes beau tourner et retourner les robinets dans un sens et dans l’autre, plus une goutte ne tombait.
Que n’aurions-nous alors troqué le bel enchevêtrement de cornières et de tringles contre la vieille pompe qui avait fini ses jours sur le tas de ferrailles! Et, pour ajouter au désarroi des femmes, pas une présence d’homme aux environs des bâtiments à l’heure où elles avaient l’habitude de se ravitailler. On envisagea bien de recourir au bon vieux seau mais encore aurait-il fallu être en mesure de déplacer l’énorme dalle de béton qui obstruait depuis peu la bouche du puits. Ne restait donc que la folle solution préconisée par le patron le jour de la mise en fonction de l’éolienne : Grimper tout au faîte et tenter de faire tourner l’hélice. Mais à cette heure, seul notre jeune et brave Abdallah se trouvait dans les parages. Appelé à la rescousse, il s’était presque fâché et nous avait déclaré tout de go :
« Quoi ? Moi, monter jusque là haut ? Vous pensez vraiment que je suis assez fou pour le faire ? À tout choisir, je préfèrerais cent fois descendre tout au fond du puits, remplir et remonter chacun de vos seaux. Ne comptez surtout pas sur moi. L’eau ne manque pas dans le grand bassin du parc? Les bêtes la boivent bien ?»
C’était pourtant vrai que depuis le début de la pénurie, l’abreuvoir des bêtes n’était plus ravitaillé que d’une eau verte apportée du bassin d’irrigation.
En période de vacances scolaires, ce qui était le cas, sitôt le déjeuner avalé, je ne tardais jamais à disparaître quelque part dans la nature ; le plus souvent au plus profond du fameux parc où je retrouvais deux jeunes gamines à peu près de mon âge avec lesquelles nous étions noués un peu secrètement d’amitié.
Ce n’est donc que par un pur hasard que j’assistais au véritable concert de lamentations des femmes. Je les regardais tourner désespérément en rond autour du puits, un bidon ou une cruche vide à la main, ne sachant à quel saint se vouer.
Prudent, je me dis qu’il valait mieux ne pas trop m’attarder dans cette cour, des fois qu’il vienne à l’idée de l’une ou l’autre de me supplier de grimper au faîte de la fameuse tour de fer nommée « éolienne ». J’amorçais donc discrètement un recul quand, dans mon dos j’entends une voix, celle de maman me dire:
« En t’agrippant bien aux barreaux, tu pourrais peut-être arriver à nous dépanner ? »
Un petit extrait de mes mémoires.
La rançon du modernisme
Cela faisait deux ou trois années que nous avions l’eau à volonté dans la maison et à l’abreuvoir.
C’était sans doute trop beau car, en ces tous débuts d’un été torride, plus un moindre souffle de vent n’aidant à reconstituer les réserves nous eûmes beau tourner et retourner les robinets dans un sens et dans l’autre, plus une goutte ne tombait.
Que n’aurions-nous alors troqué le bel enchevêtrement de cornières et de tringles contre la vieille pompe qui avait fini ses jours sur le tas de ferrailles! Et, pour ajouter au désarroi des femmes, pas une présence d’homme aux environs des bâtiments à l’heure où elles avaient l’habitude de se ravitailler. On envisagea bien de recourir au bon vieux seau mais encore aurait-il fallu être en mesure de déplacer l’énorme dalle de béton qui obstruait depuis peu la bouche du puits. Ne restait donc que la folle solution préconisée par le patron le jour de la mise en fonction de l’éolienne : Grimper tout au faîte et tenter de faire tourner l’hélice. Mais à cette heure, seul notre jeune et brave Abdallah se trouvait dans les parages. Appelé à la rescousse, il s’était presque fâché et nous avait déclaré tout de go :
« Quoi ? Moi, monter jusque là haut ? Vous pensez vraiment que je suis assez fou pour le faire ? À tout choisir, je préfèrerais cent fois descendre tout au fond du puits, remplir et remonter chacun de vos seaux. Ne comptez surtout pas sur moi. L’eau ne manque pas dans le grand bassin du parc? Les bêtes la boivent bien ?»
C’était pourtant vrai que depuis le début de la pénurie, l’abreuvoir des bêtes n’était plus ravitaillé que d’une eau verte apportée du bassin d’irrigation.
En période de vacances scolaires, ce qui était le cas, sitôt le déjeuner avalé, je ne tardais jamais à disparaître quelque part dans la nature ; le plus souvent au plus profond du fameux parc où je retrouvais deux jeunes gamines à peu près de mon âge avec lesquelles nous étions noués un peu secrètement d’amitié.
Ce n’est donc que par un pur hasard que j’assistais au véritable concert de lamentations des femmes. Je les regardais tourner désespérément en rond autour du puits, un bidon ou une cruche vide à la main, ne sachant à quel saint se vouer.
Prudent, je me dis qu’il valait mieux ne pas trop m’attarder dans cette cour, des fois qu’il vienne à l’idée de l’une ou l’autre de me supplier de grimper au faîte de la fameuse tour de fer nommée « éolienne ». J’amorçais donc discrètement un recul quand, dans mon dos j’entends une voix, celle de maman me dire:
« En t’agrippant bien aux barreaux, tu pourrais peut-être arriver à nous dépanner ? »
Lucien Calatayud- Messages : 5485
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 94
Localisation : Bouniagues (Dordogne)
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
LUCIEN
Finalement es-tu grimpé là-haut? Et pour pomper l'eau il faut faire tourner assez vite l'éolienne.
A la ferme nous avions l'éolienne mais pas seulement. Nous avions aussi un moteur à essence qui actionnait la pompe du puits. Ce même moteur servait également à charger des batteries qui nous fournissaient l'électricité dans l"habitation. Je parle évidemment de la ferme du patron car pour nous - les Grostéfan - logions dans l'ancienne gare de la voie de 60 et là ni eau ni électricité. Un haquet tiré par un mulet nous apportait l'eau du puits et la lumière c'était la lampe à pétrole.
Finalement es-tu grimpé là-haut? Et pour pomper l'eau il faut faire tourner assez vite l'éolienne.
A la ferme nous avions l'éolienne mais pas seulement. Nous avions aussi un moteur à essence qui actionnait la pompe du puits. Ce même moteur servait également à charger des batteries qui nous fournissaient l'électricité dans l"habitation. Je parle évidemment de la ferme du patron car pour nous - les Grostéfan - logions dans l'ancienne gare de la voie de 60 et là ni eau ni électricité. Un haquet tiré par un mulet nous apportait l'eau du puits et la lumière c'était la lampe à pétrole.
Dernière édition par Grostefan Alain le Mar 9 Fév - 21:43, édité 1 fois
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
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Localisation : Talence 33400
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
ALAIN
Oui! il m'a bien fallu le faire puisque personne ne voulait s'aventurer dans ces hauteurs. Mais j'en avais tellement pris l'habitude que cela ne me gênais pas. Et puis il n'y avait pas d'efforts à exercer, l'hélice tournait très facilement. Ce qu'il faut retenir dans tout ça, c'est que je n'avais que treize ou quatorze ans tout au plus. Mais comme j'étais assez casse-cou et que j'aimais bien étonner mon entourage...
L'histoire continue bien sûr.Parce que si je montais fréquemment à plus de 20 mètres, il m'a fallu aussi descendre à plus de 20 mètres tellement l'eau était devenue puante. Et là, non plus personne n'avait voulu s'aventurer. Les ouvriers eux avaient peur des Djinns. Ils pensaient qu'on les avait enfermés en plaçant une dalle en ciment et que l'un d'eus avait pu mourir. Quant à moi, je ne savais pas trop ce que j'allais trouver ni où ça allait me conduire. Ce qui fait que je n'en menais pas large en descendant avec pour seul éclairage et seule alerte contre les gaz toxiques.
Mais "aujourd'hui" ça fait partie de mes mémoires...
Oui! il m'a bien fallu le faire puisque personne ne voulait s'aventurer dans ces hauteurs. Mais j'en avais tellement pris l'habitude que cela ne me gênais pas. Et puis il n'y avait pas d'efforts à exercer, l'hélice tournait très facilement. Ce qu'il faut retenir dans tout ça, c'est que je n'avais que treize ou quatorze ans tout au plus. Mais comme j'étais assez casse-cou et que j'aimais bien étonner mon entourage...
L'histoire continue bien sûr.Parce que si je montais fréquemment à plus de 20 mètres, il m'a fallu aussi descendre à plus de 20 mètres tellement l'eau était devenue puante. Et là, non plus personne n'avait voulu s'aventurer. Les ouvriers eux avaient peur des Djinns. Ils pensaient qu'on les avait enfermés en plaçant une dalle en ciment et que l'un d'eus avait pu mourir. Quant à moi, je ne savais pas trop ce que j'allais trouver ni où ça allait me conduire. Ce qui fait que je n'en menais pas large en descendant avec pour seul éclairage et seule alerte contre les gaz toxiques.
Mais "aujourd'hui" ça fait partie de mes mémoires...
Lucien Calatayud- Messages : 5485
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 94
Localisation : Bouniagues (Dordogne)
Re:Mémoires de blédards
ALAIN
J'ai connu aussi mais moins longtemps que toi la même vie que toi. Nous avions un puits près de notre humble demeure et nous remontions l'eau à l'aide d'un treuil. Je me souviens quand mon frère et moi allions jouer chez Delmas,monsieur Delmas nous demandait ainsi qu'à deux de ses fils d'actionner la pompe Japy pour remplir un petit château d'eau
J'ai connu aussi mais moins longtemps que toi la même vie que toi. Nous avions un puits près de notre humble demeure et nous remontions l'eau à l'aide d'un treuil. Je me souviens quand mon frère et moi allions jouer chez Delmas,monsieur Delmas nous demandait ainsi qu'à deux de ses fils d'actionner la pompe Japy pour remplir un petit château d'eau
MOLL Serge- Messages : 3767
Date d'inscription : 10/03/2011
Age : 85
Localisation : Bedoin Vaucluse
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Avec Lucien...., c'est le retour du conteur...
On retrouve notre doyen, toujours aussi vert..; pas le vert de l'eau du puits, mais un beau vert de printemps.... de 90 printemps...
Merci Luc Yvon..
On retrouve notre doyen, toujours aussi vert..; pas le vert de l'eau du puits, mais un beau vert de printemps.... de 90 printemps...
Merci Luc Yvon..
Dernière édition par Admin le Mar 14 Mar - 8:55, édité 3 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
SERGEMOLL Serge a écrit:[b]ALAINJe me souviens quand mon frère et moi allions jouer chez Delmas,monsieur Delmas nous demandait ainsi qu'à deux de ses fils d'actionner la pompe Japy pour remplir un petit château d'eau.
Tu habitais à côté de chez Mr Delmas? Le prof de gymnastique que j'ai bien connu à Poeymirau?
Lucien Calatayud- Messages : 5485
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 94
Localisation : Bouniagues (Dordogne)
Re:Mémoires de blédards
Oui Lucien, tout à côté, à un carrefour de chemins de terre. Lui à un angle et moi à un autre, au milieu de nulle part.
MOLL Serge- Messages : 3767
Date d'inscription : 10/03/2011
Age : 85
Localisation : Bedoin Vaucluse
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Dernière édition par Admin le Jeu 26 Mar - 21:02, édité 2 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Un p'tit tour dans les fermes aux alentours de Meknès en 1915... ça repose un peu...!!!
▲▲photo Joseph Miquel - 1915 - dans la région de Meknès ▲▲
▲▲photo Joseph Miquel - 1915 - dans la région de Meknès ▲▲
Dernière édition par Admin le Mar 14 Mar - 8:56, édité 2 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
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