Mémoires du "bled" durant le Protectorat
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Mémoires du blédards.....
Puisque il livrait son raisin à la cave d"Aïn-Lorma il s'agit de DENIS FAGES car cette cave était la plus proche pour lui. L'une de ses filles (Nicole) est l'épouse de feu Claude SANDEAUX. Quant à Pierre FAGES il a créé l'Union-Labour dont il était le directeur. Mon frère (décédé l'an dernier) s'occupait du sous-solage pour épierrer le terrain en vue de planter de la vigne. Pour cela ils avaient acheté de très gros tracteurs Allis Chalmer.
Grostefan Alain- Messages : 14146
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Remettre au goût du jour, par exemple, la vie des blédards de notre époque, c'est l'un des thèmes qui fait partie de mes préférences....
Notre Lulu est un poète, un sage.... Dans un cercle un peu plus fermé qu'avant, pourquoi pas se retrouver, vous, les blédards et nous autres, dans ce lieu de rendez vous....????
Pour ouvrir les débats, j'ai retrouvé ce tracteur....En attendant.....
1938 Renault AFV
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Ca alors? Je jurerais que c'est un croisement entre un vieux Lanz à crampons des années 30 avec un Ferguson pneumatique des années 50. Y'a des vieux qui sont performants. Serge qui a évolué dans ce milieu "mécanique" devrait pouvoir confirmer mes dires.
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Quelqu'un peu me dire si j'ai déjà posté dans l'un ou l'autre des sites du RDLB l'extrait de mes Mémoires intitulé "L'olivaison"?
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
On ne doit pas être beaucoup à posséder des extraits de livres ou de documents venant de toi.... Pour ma part, j'en possède une trentaine dans mes dossiers, classés, répertoriés...
Certains de 2009 (2...), datant du LDO...
J'ai bien celui des "Mémoires, Au domaine des mimosas", 3 chapitres en 7 pages intitulés "l'Olivaison", datant du 12 juin 2011, 17h.40, pour être précis.... Malheureusement pas présents sur le Forum des Blédards ni ailleurs, à ma connaissance...
Suis à ta disposition pour une mise au point de toutes ces archives... C'est toi qui voit...
Dernière édition par Admin le Ven 7 Aoû - 12:34, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
J'ai posé la question afin d'éviter une répétition. Je vais donc pouvoir placer l'extrait en question mais en le fragmentant, histoire d'entretenir le "suspens".
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Voici donc un fragment de l'extrait en question. Que celles et ceux qui n'apprécient pas le fassent savoir en cliquant simplement sur "je n'aime pas". Trois "contre" et je stoppe, sans rancune aucune.
D’inquiétantes nuées d’étourneaux
Les splendeurs de la nature à peine à leur apogée et les voilà en proie aux humeurs maussades de l’arrière saison. Certaines parcelles du vignoble étaient les premières à s’abandonner docilement à ces inexorables métamorphoses. Rougeoyantes par endroits, presque totalement dénudées en d’autres, elles découvraient ça et là leurs inextricables enchevêtrements sarmenteux. Et, comme voulant précipiter cette action destructive, des tourbillons subits arrachaient, emportaient et dispersaient ça et là leurs avulsions comme autant de lambeaux de l’œuvre céleste.
L’heure était alors au rendez-vous des étourneaux, ces joyeux passereaux migrants à reflets de métal. Ils arrivaient par petits groupes on ne savait de quels endroits pour bientôt ne former qu’une seule et même volée. De jour en jour plus dense, plus effrontée, plus imprévisible, elle s’élançait à l’assaut des nues passant de longs moment à folâtrer, à s’étirer, à se compacter, à soudainement éclater telle une gerbe d’artifice, n’en finissant plus de tracer tout un tas de surprenantes et curieuses arabesques dans le bleu du ciel. Tandis que, rusée et patiente, une buse, toujours la même, se laissait paisiblement glisser juste au dessus de la turbulence. Malheur alors à l’imprudent qui se détachait du gros de la troupe. Happé avec la fulgurance d’un éclair, il était emporté. Et, ni ses efforts désespérés, ni ses cris déchirants ne parvenaient à le libérer des serres du prédateur. Quelques plumes ne tardaient alors à se balancer dans le vide, tandis que grisée, la fluide mouvance continuait de s’en donner à satiété.
Autant d’alerte et d’incitations en tout cas à ne plus différer la cueillette des olives. Parce que, si divertissante soit-elle, pareille invasion ne se révélait pas moins fort préoccupante. Ses dégâts dans l’oliveraie étaient considérables. Certes ce n’était pourrait-on dire qu’une production accessoire, encore que l’exploitation ne comptait pas moins d’un bon millier d’arbres, en majorité plantés tout en bordure du vignoble ainsi que de chaque côté de son allée centrale.
Année après année à même époque, chaque olivier exposait crânement ses fruits charnus comme autant de rubis violacés suspendus à leurs fins pédoncules. Sans doute était-ce là l’explication la plus vraisemblable du fidèle rendez-vous migratoire de nos passereaux. Toujours est-il que son nombre allant sans cesse croissant, cette présence finissait par prendre une tournure de fléau.
Jusque là, entre deux envols, nos sansonnets avaient ingéré les quelques vestiges des vendanges. Ils avaient picoré quelques graines plus ou moins digestes, avaient remué des tas de feuilles sèches afin d’y débusquer quelques larves et quelques insectes. Et tandis que les moins expérimentés hasardaient de timides coups de bec dans la chair amère des fruits, les doyens eux se laissaient volontiers fasciner par les olives d’une maturité bien plus avancée. Le nombre croissant de noyaux décharnés restés suspendus à leurs attaches préludait la voracité qui n’allait plus tarder de s’emparer de nos importuns visiteurs. Une boulimie qui jour après jour allait les conduire à défier tout danger, à causer des dégâts difficilement estimables. Chassés d’un côté à grands bruits de gamelles, de tôles et autres objets sonores, la volée jaillissait dans un même épouvantable fracas de battements d’ailes et de cris confus pour aussitôt s’abattre et se fondre effrontément un peu plus loin dans le feuillage d’un autre arbre. Si gracieuses petites bêtes hier encore, cette multitude n’était plus que « sales bestioles » saisies d’une même gloutonnerie d’olives.
Le soir venu, lasse de batifoler sur fond de coucher de soleil, tel un bolide qui fonçait sur la terre, toute la volée s’abattait et se fondait dans l’un des puissants eucalyptus qui couronnaient les bâtiments. Tout le feuillage s'en trouvait alors vivement agité.
Aux grands maux les grands moyens. Le fusil décroché, deux cartouches engagées, nous ne prenions pas même la peine d’ajuster les tirs. Pan ! Pan ! Chaque détonation qui secouait l’univers vous provoquait une véritable hécatombe de volatiles. Tués net, la plupart s’écrasaient presque à nos pieds, cependant que d'autre continuaient de lutter désespérément contre le vide qui les aspirait. A bout de force ils se laissaient chuter sans rien comprendre à ce qui leur arrivait. Puisant alors dans le peu de vigueur et de sang qui les tenait encore en vie, traînant l’aile ou la patte, ils se terraient quelque part. Terrifiés, saignants et tout tremblants, ils jetaient des regards suppliants.
Cela étant, quelle merveilleuse aubaine pour les coutumiers de la maraude. C’était pourrait-on dire devenu une tradition pour quelques voisins que de venir secouer les arbres les plus proches de leurs habitations. La présence d’étourneaux étant censée justifier les délestages, comment ne pas se saisir de l’occasion?
Pas dupes, nous parvenions sans mal à distinguer les dommages imputables aux uns de ceux causés par les autres. Quoi qu’il en soit, vertes ou noires, entières ou cassées, en macération dans de grandes jarres ou en longs et patients saumurages dans des caisses qui dégorgeaient l’amertume, nos olives avaient de tout temps fait le régal des amateurs d’amuse-gueules.
Autant de raisons qui nous obligèrent cette année encore à précipiter l’olivaison.
A ce stade du récit, je pose la question : Stop ou encore ?
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Admin, Grostefan Alain, Jean-claude Brotons et parera michele aiment ce message
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Pour notre grand plaisir, le 1er chapitre extrait de son livre "L'Olivaison", dont il a été question en amont...
Lucien est le "Vétéran Senoir" de notre "Roi de la Bière" depuis le 04/05/2020...J'avais l'intention de le mentionner avant hier, dans cette rubrique..... Et puis, la mémoire "Docteur" .....
Mais, voilà qui est fait.... j'ai rattrapé mon oubli... Un Bon Anniversaire, Lucien, malgré mon retard..... Et puis sans se fatiguer, on va attendre la prochaine décennie...
En co re, en co re...!!!
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Encore, Encore,Encore, Encore,Encore, Encore,Encore, Encore, Encore, Encore,Encore, Encore,Encore, Encore,Encore, Encore.......
Grostefan Alain- Messages : 14146
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Très tôt donc ce matin là, bâches, seaux, comportes, gaules, en bref, tout l’habituel nécessaire, fut délogé de son lieu de remisage. Une demi-douzaine de femmes ayant répondu avec la même spontanéité et le même enthousiasme à l‘offre de travail, elles s’en étaient allées chahutant vers l’endroit le plus éloigné de la propriété, celui le plus vulnérable. Comme de coutume, le chantier avait été placé sous la houlette de l’ouvrier le plus à même de conduire ce genre de tâche. Il se devait de disposer d’un minimum d’autorité mais aussi de suffisamment de souplesse et d’adresse pour grimper aux arbres et manier la gaule.
Ma présence n’étant en rien indispensable pour le démarrage d’un tel modeste chantier, j’avais laissé la petite escouade s’enfoncer à pied dans l’épaisse nappe de brouillard qui ce matin-là s’était lentement posée.
Il était néanmoins encore tôt quand, me rendant sur place, je m’étais à mon tour immergé dans les brumes devenues d’une opacité palpable. Totalement isolé dès les premiers pas dans la nappe, rien ne pouvait se distinguer à plus d’une enjambée. Tous mes sens supplétifs en éveil j’avançais néanmoins guidé par ma seule parfaite connaissances des lieux.
Des voix féminines et des bruits étouffés n’ayant cependant pas tardé à me parvenir, c’est sans trop d’encombres, que j’avais pu enfin atteindre l'équipe.
Quelques bâches avaient été soigneusement étalées sous deux ou trois oliviers, les comportes que l’on avait pris soin de transporter et de déposer la veille sur place étaient réparties ça et là à des distances sensiblement équivalentes. Le dirigeant secouait vigoureusement les branches, faisant tomber des rafales d’olives sur la toile humide et raidie par le froid. Accroupies ou agenouillées et enveloppées dans d'épaisses couvertures de laine, les femmes s’activaient autant que le permettait l’engourdissement de leurs doigts. Partout flottait déjà dans l’air la forte et caractéristique odeur sécrétée par les fruits malmenés. Une odeur pénétrante qui imprégnait le plus profond des cavités nasales, une odeur qui s’incrustait même dans les vêtements et qui vous poursuivait tout au long de la journée.
Une habitude installée depuis longtemps consistait, dès le commencement des cueillettes d’agrumes ou d’olives, à procéder à une estimation approximative des promesses de récolte. Pour rudimentaire qu’elle pouvait paraître, la méthode ne s’avérait pas moins d’une fiabilité tout à fait satisfaisante. Notamment dans l’appréciation de la production de l’orangeraie. Force était pourtant de reconnaître qu’il n’en était plus de même pour celle des olives dont l’imprécision se révélait année après année tout aussi déplorable. Sans que nous soyons en mesure de déterminer de façon formelle les raisons des écarts. Non seulement cela revêtait quelque chose de vexant vis-à-vis des patrons, mais de surcroît, nous éprouvions un sentiment d’impuissance pour le moins frustrant. Certes, les dégâts causés par les passereaux ajoutés à ceux de la rapine pouvaient expliquer en partie ces différences ; mais de là à leur attribuer l’entière explication! Nos pronostics n’étaient donc plus avancés aux patrons qu’avec d’extrêmes réserves. Á l’annonce de nos chiffres on pouvait d’ailleurs lire sur leur visage la même immense perplexité.
STOP OU ENCORE?
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Stop ou encore?
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
C'EST PROBABLEMENT LE MASQUE QUI EMPÊCHE DE LIRE PUISQUE SON RÔLE EST DE MASQUER. ET PUISQUE C'EST MASQUÉ C'EST DONC ILLISIBLE.
CQFD.
Grostefan Alain- Messages : 14146
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Différentes raisons font qu'on se détache plus ou moins des sites ou forums:
- Pour certains, une déficience oculaire. Ceux-là sont pardonnables. Et on ne peut malheureusement que compatir.
- Pour d'autres, la Flemme. Elles ou ils ne lisent plus. Là, c'est plus inquiétant. Maurice Barres a dit: "Tout livre a pour collaborateur son lecteur". Jules Renard lui a dit:" L'écrivain écrit pour être aimé. Il est lu sans pouvoir l'être.
- Pour d'autres encore, une dépendance au smartphone. Ceux-là semblent ignorer qu'on n'est pas accro que de drogues.
- Pour d'autres enfin, une totale indifférence à ce qui se passe hors de leurs murs. C'est "Parlez-moi de moi, y'a qu'ça qui m'intéresse" comme a si bien écrit Roger Arthur.
En conclusion: Ainsi va la vie et c'est bien dommage!
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Je perçois un peu d'amertume en toi voire de la lassitude. Nous n'allons pas lâcher le morceau pour autant. Nous allons raisonner en *
Mohicans : s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là.
*"Le dernier des Mohicans" est un roman historique américain. De là un dessin humoristique est né.
Deux Mohicans se rencontrent. Le premier dit "moi Mohican". Le second dit "Moi Mohican". Le premier sort un revolver et tue l'autre puis il déclare "Moi denier des Mohicans".
Grostefan Alain- Messages : 14146
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Alain ,Lucien
Zizi
Alain ROSSO- Messages : 1229
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Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
Toi tu es un vrai meknassi. J'ai remarqué que ta mémoire recèle une quasi infinité de détails très précis. Un peu comme notre regretté Richard BRANDLIN que l'on qualifiait d'encyclopédie sur "pattes". Alors que moi - par exemple - je n'ai qu'une vue globale sur Meknès. Je ne t'arrive donc pas à la cheville à ce sujet.
Grostefan Alain- Messages : 14146
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la Chevaliére
Meugin Pierre- Invité
Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat
On habitait assez loin l'un de l'autre et pourtant notre N° de téléphone était tout proche l'un de l'autre puisque nous avions le 107 à Aït Yazem. Les standardistes disaient " Le 107 à Yazem".
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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Meugin Pierre- Messages : 72
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Alain
Merci Alain , comme tu le sais les services municipaux dirigeait la ville et les fonctionnaires étaient ministère de l'intérieure ,mon père de par sa situation participait et avait toutes les informations de Meknès et de la région,de cette situation j'ai très jeune je savais beaucoup de choses.Mais je ne sais pas tout.Grostefan Alain a écrit:ZIZI
Toi tu es un vrai meknassi. J'ai remarqué que ta mémoire recèle une quasi infinité de détails très précis. Un peu comme notre regretté Richard BRANDLIN que l'on qualifiait d'encyclopédie sur "pattes". Alors que moi - par exemple - je n'ai qu'une vue globale sur Meknès. Je ne t'arrive donc pas à la cheville à ce sujet.
Zizi
Alain ROSSO- Messages : 1229
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