Jeux, Souvenirs et Articles d'Ecoles 2

 
 

Des jouets...???? Y'en a pour les garçons, les filles ou les deux ensemble.... Quant il n'y en a plus, y'en a encore...!!! dit-on...??? Eh bien non.... Y'en aura plus...!!! j'ai vidé mon sac à jouets...J'aimerais bien retrouver le jeu du Nain Jaune. Tous les soirs, l'hiver, avec mon père.... des vraies batailles.

   
Un cosy.... Il n'y en aura plus de meubles comme celui ci....  j'avais 18 ans quand j'ai abandonné le mien à Meknès. Une épicerie...: c'est beau comme là-bas, dit... !!!  et l'incontournable "Waterman", l'encre des écoliers appliqués...

Pour changer un peu de la routine, ce soir on est allé acheter "Le Petit Marocain" et "La Vigie Marocaine"...pour le père...Y'a NIMBUS dans les pages "Humour"...On rigole...ou pas....



Aujourd'hui "Arthur et Zoé", les diaboliques "PIM,PAM,POUM, et "PECOS BILL"

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Pécos Bill.....Mythe ou Humain...???  L'homme qui parlaient aux oreilles des coyotes, pendant que sa fiancée (Jane, je crois...) l'appelait du haut des nuages...
      Pécos Bill est un cow-boy américain apocryphe, dont on est peu sûr de l'authenticité du personnage, immortalisé dans de nombreuses légendes et histoires du far-west américain durant la période de l'expansion vers l'Ouest du territoire américain.
Selon la légende, Pécos Bill est né au Texas dans les années 1830. Benjamin d'une famille de 18 enfants, se déplaçait avec sa famille dans un wagon couvert quand il tomba à leur insu près de la rivière Pécos (qui lui donnera son surnom). Il est alors recueilli et élevé par une meute de coyotes. Des années plus tard, il est retrouvé par son vrai frère, qui réussit à le convaincre qu'il n'est pas un coyote.... Jeune, il m'a fait rêver comme beaucoup d'autres, dans les années 1949/50....

Un des trois volets de la trilogie de Pagnol... Fanny...Il faut avoir le sens de l'humour quand on prend de l’âge…!!!
Il semblerait que cela soit une excellente thérapie. Donc, autant ne pas trop s’en priver, car le temps passe vite…et demain… ???
Si cela ne guérit pas tous les maux, au moins, il a le mérite de faire rire.... ou sourire.
...Et comme entrée en fanfare, rien de tel que l'ami NIMBUS de notre âge tendre pour ouvrir les débats...

Le professeur Nimbus est le personnage d'un comic strip français « muet » en quatre images. Il a été créé et dessiné par André Daix (de son vrai nom André Delachanal) en 1934. Avec plus de 13 000 aventures sur près de 60 ans, le Professeur Nimbus fut la série la plus publiée dans les quotidiens français, et la plus populaire.
Il apparaît quelquefois dans quelques uns de nos illustrés... Mais c'est dans les pages de la Vigie Marocaine et le Petit Marocain , que nous faisons le mieux connaissance de cet individu rigolo, venu de France...

Ils sont trop bons tous ces DUBOUT...

DUBOUT...???  C'était ça...!!! inimitable...!!!
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Avec l'accent  qui c'est l'épicière ?
Zizi

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ALAIN

Ca rappelle la série d'images que j'ai postées relative à l'histoire de France, je crois me souvenir.

Alain ROSSO a écrit:Avec l'accent  qui c'est l'épicière ?
Zizi

Qui est cette épicière, demande ZIZI...??? L'épicerie en elle même rappelle de vagues souvenirs de celle de la Famille MAS... en face de chez toi. Trop bons souvenirs...
On est pas chez "Ali", non plus... Celui de la rue Pierre curie était un peu trop "cafoutche" comme on dit dans le midi. Il y avait aussi la toute petite épicerie , rue de Bordeaux, non loin du coiffeur Fajardo (j'ai retrouvé le fils de ce coiffeur, Manuel... Il habite Brives...), non loin non plus du bistrot qui faisait coin, entre l'ave Lyautey et l'ave de Bordeaux...Café "Le Félix", je pense, ou bien Exartier....??? (peut être le proprio...???)
Il y avait pas mal de "soussis" dans notre coin...

C'est une épicière bien avant les Soussis ,je ne pense pas non plus à l'épicerie fine à l'angle de la galerie du cinema ABC (MAS) ,
je crois qu'elle était avenue de la gare ,mais c'est flou.
Zizi

     
La plus rapide des filles au saut à la corde était Madeleine Lloret.... En plus, comme coiffure, elle avait les plus belles tresses de l'école....

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]             [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Leçon de morale qui serait importante de remettre au goût du jour...
Un clic sur les 2 photos....

Le jeu du mouchoir
           Les enfants se disposent en cercle, assis au sol, tournés vers l'intérieur du cercle. L'un d'eux, muni d'un mouchoir, court autour du groupe et lâche ce mouchoir derrière l'un de ses partenaires.
Les participants n'ont pas le droit de regarder derrière eux avant que le coureur ne les dépasse.  Un enfant qui s'aperçoit qu'il a reçu le mouchoir doit le prendre, se lever et rattraper le coureur  avant qu'il ne regagne sa place.
Si le coureur parvient à faire le tour et à s'asseoir à la place devenue libre, l'autre enfant devient le coureur.  Sinon il reste coureur.
"Évidemment, le plus amusant pour le coureur est de parvenir à faire le tour complet  et à rejoindre l'étourdi qui a oublié de regarder derrière son dos" 

Mais on jouait aussi à une ronde "LE FERMIER DANS SON PRÉ" et le fermier prenait sa femme, puis son enfant, puis la souris, puis le fromage, pauvre fromage, il était battu !!      
                       
On avait aussi 1 . 2 . 3 . SOLEIL. On se retournait et si on voyait un joueur bouger on le renvoyait au fond...

On avait aussi "MERE VEUX-TU?" on demandait combien de pas et le joueur faisait autant de pas que 'la mère" lui demandait...

Les Billes

Un peu d'histoire
Les Francs ne faisaient pas que la guerre, ils savaient aussi se montrer joueurs : la preuve, le mot bille vient du terme francique bikkil. Bien plus tôt, les Grecs anciens utilisaient déjà des osselets ou des olives, qu'ils nommaient tropa et qu'ils lancaient dans des trous.
Les Romains, eux, se servaient de noix, ou de noisettes, c'était le jeu de l'orca. Quant aux égyptiens, rappelle Charles Desbois dans son atelier de Mirabel et Blacons, ils se faisaient enterrer avec des billes : la plus ancienne aurait six mille ans. Au Moyen-åge aussi on jouait, à la gobille en terre ; plus tard, elle est devenue bille en perdant son préfixe.
Les billes ont suivi bien sûr le cours de l'histoire et des techniques, avec l'apparition de billes en porcelaine, en Bohème au XVIIe siècle, et en verre au XIXe siècle. Mais qu'elles soient taillées dans la pierre, puis soigneusement polies, qu'il s'agisse de délicates agates ou qu'elles possèdent les reflets mordorés de l'Ïil-de-chat, elles sont passées entre les doigts des écoliers du monde entier. Bref, entre les billes et les enfants, c'est une histoire qui dure, par delà les frontières : en Angleterre, on les appelle marbles car elles ont été réalisées un temps en marbre ; aux USA, selon la taille, on lance des kabolas, des steelies, jumbos, etc... Et rien, ni les pogs un temps, ni les tagamoshi ou les jeux vidéo ne semblent pouvoir un jour les faire disparaître

     On retrouvait "Nimbus" sur presque tous les quotidiens marocains de l'époque.... Il était censé être très rigolo. Le professeur Nimbus était le personnage français d'une bande dessinée français « muet » en quatre images. Il a été créé et dessiné par André Daix (de son vrai nom André Delachanal) en 1934.

Salut JIMMY

Trois petites choses:
La première concernant le jeu du mouchoir. En tournant, on devait chanter : "Il court il court le furet…"
La deuxième, les billes n'étaient pas en porcelaine mais soit disant des agates, une sorte de calcédoine. En réalité ce n'était que du verre marbré.
La troisième est une petite aventure qui m'est arrivée. J'étais tout nouveau quand à la gare de Petitjean on voit débarquer un bonhomme. Les collègues qui avaient l'air de le connaître  disent: "Encore lui, Nimbus!". Comme je m'étonnais, on me précise :" C'est un ingénieur de la direction à Rabat". L'homme en question rentre dans notre bureau et se pointe devant moi. Je me lève et croyant que c'était son nom, je luis dis " Mes respects monsieur Nimbus". J'ai alors cru que le chef de service qui était tout près et qui voulait me présenter allait s'évanouir. Il ne savait plus où se mettre. L'ingénieur lui n'a pas sourcillé, il m'a serré la main et est aussitôt ressorti. Ce n'est que là que j'ai réalisé qu'il n'avait qu'un ou deux poils sur le caillou.