L'Armée Française durant le PROTECTORAT
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Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
JIMMY
Eh oui! C'était du temps où on était tenu de satisfaire à une obligation militaire. On ne rigolait pas tous les jours durant l'accomplissement de son service, la discipline n'était pas tendre souvent même appliquée de façon absurde, mais quelle belle fraternité naissait entre les jeunes d'un même contingent. J'étais seul pied-noir dans l'escadron et à chaque permission, j'invitais 1, 2, 3 parfois même 4 copains. Je prévenais ma mère et nous nous arrangions comme nous pouvions pour dormir. Et c'est ainsi qu'ayant raté un soir notre train de retour, tenu pour principal responsable, j'ai écopé de 4 ou 5 jours et autant de nuits de tôle. Pas marrant de se retrouver seul enfermé dans une complète obscurité, d'être contraint de pousser une gueulante pour pouvoir sortir pisser. Lorsqu'ils étaient de garde tout près de la tôle, copains me glissaient de temps à autre une cigarette allumée, chose strictement interdite. C'est pourquoi je rejetais la fumée par la minuscule lucarne, le seul éclairage dont je disposais.
Le nouvel an m'offre encore l'occasion de renouer contact avec les quelques copains du 1er RCA ceux qui tiennent encore le coup; de nous remémorer certains bons moments du passé, hélas de partager aussi notre tristesse à la suite de la disparitions de l'un des nôtres. Nous ne sommes plus que 6 sur la vingtaine de compagnons d'armes qui continuait d'entretenir des relations écrites ou téléphoniques, parfois même de nous retrouver réunis en compagnie de nos épouses. L'un d'entre eux a d'ailleurs été mon témoins de mariage.
Une autre forme de service militaire est envisagée. Il se déroulerait au cours des études secondaires. Celles et ceux qui ne les poursuivraient pas après les primaires en seront-ils exonérés?
Eh oui! C'était du temps où on était tenu de satisfaire à une obligation militaire. On ne rigolait pas tous les jours durant l'accomplissement de son service, la discipline n'était pas tendre souvent même appliquée de façon absurde, mais quelle belle fraternité naissait entre les jeunes d'un même contingent. J'étais seul pied-noir dans l'escadron et à chaque permission, j'invitais 1, 2, 3 parfois même 4 copains. Je prévenais ma mère et nous nous arrangions comme nous pouvions pour dormir. Et c'est ainsi qu'ayant raté un soir notre train de retour, tenu pour principal responsable, j'ai écopé de 4 ou 5 jours et autant de nuits de tôle. Pas marrant de se retrouver seul enfermé dans une complète obscurité, d'être contraint de pousser une gueulante pour pouvoir sortir pisser. Lorsqu'ils étaient de garde tout près de la tôle, copains me glissaient de temps à autre une cigarette allumée, chose strictement interdite. C'est pourquoi je rejetais la fumée par la minuscule lucarne, le seul éclairage dont je disposais.
Le nouvel an m'offre encore l'occasion de renouer contact avec les quelques copains du 1er RCA ceux qui tiennent encore le coup; de nous remémorer certains bons moments du passé, hélas de partager aussi notre tristesse à la suite de la disparitions de l'un des nôtres. Nous ne sommes plus que 6 sur la vingtaine de compagnons d'armes qui continuait d'entretenir des relations écrites ou téléphoniques, parfois même de nous retrouver réunis en compagnie de nos épouses. L'un d'entre eux a d'ailleurs été mon témoins de mariage.
Une autre forme de service militaire est envisagée. Il se déroulerait au cours des études secondaires. Celles et ceux qui ne les poursuivraient pas après les primaires en seront-ils exonérés?
Dernière édition par Lucien Calatayud le Ven 5 Jan - 17:20, édité 1 fois
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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HUGUETTE ROMERO- Messages : 3960
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Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Bataillon d'Infanterie
Les Bataillons d’Infanterie Légère d’Afrique (BILA), connus sous les surnoms de « Bat’ d’Af’ » et de Joyeux, étaient des unités relevant de l'Armée d'Afrique, composante de l’armée de terre française.
Ils regroupaient des militaires libérés (prisons militaires des divisions territoriales puis des régions de corps d'armée, pénitenciers, ateliers de travaux publics et du boulet) ou sanctionnés durant leur service (anciens disciplinaires, mais de 1832 à 1836 seulement).
Les BILA forment corps. Leurs soldats, souvent âgés, relevaient de 54 catégories judiciaires différentes, allant du délit de chasse ou de pêche à la tentative de meurtre. Dans leur plus grand nombre, les Joyeux sont des hommes affranchis dont la destinée est extrêmement variée. Leur seul point commun est le casier judiciaire non vierge.
Ce Corps devait être considéré comme "camp disciplinaire"...J'entends encore mon père parler de ces camps dont un se trouvait dans la région de Ksar Es Souk... (??????)
Les Bataillons d’Infanterie Légère d’Afrique (BILA), connus sous les surnoms de « Bat’ d’Af’ » et de Joyeux, étaient des unités relevant de l'Armée d'Afrique, composante de l’armée de terre française.
Ils regroupaient des militaires libérés (prisons militaires des divisions territoriales puis des régions de corps d'armée, pénitenciers, ateliers de travaux publics et du boulet) ou sanctionnés durant leur service (anciens disciplinaires, mais de 1832 à 1836 seulement).
Les BILA forment corps. Leurs soldats, souvent âgés, relevaient de 54 catégories judiciaires différentes, allant du délit de chasse ou de pêche à la tentative de meurtre. Dans leur plus grand nombre, les Joyeux sont des hommes affranchis dont la destinée est extrêmement variée. Leur seul point commun est le casier judiciaire non vierge.
Ce Corps devait être considéré comme "camp disciplinaire"...J'entends encore mon père parler de ces camps dont un se trouvait dans la région de Ksar Es Souk... (??????)
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Régiment du Génie
Le 21e régiment du génie (ou 21e RG) est un régiment de génie de l'armée française.
Créé en avril 1917, ce régiment avait pour seul but de soulager l'administration du 1er régiment du génie. La nouvelle unité porte le no 21. Le 21e régiment du génie fut dissous à la fin de la campagne.
La création temporaire du 21e régiment du génie (1er juillet 1917 au 30 septembre 1919), eut pour but de répartir les unités du 1er régiment du génie en deux groupes ; mais, par la suite, il y eut des modifications, certaines compagnies ont compté aux deux régiments : il en résulte qu'il est difficile de séparer les deux subdivisions des 1er et 21e régiments du génie.
Il est formé avec les compagnies des 5e, 22e, 30e et 40e bataillons. Il administre également des compagnies d'ouvriers et des compagnies d'électriciens d'Armée (Cie EL)
En 1919, le Dépôt (militaire) est à Montpellier. La dissolution du 21e RG est décidée.
le 21ème bataillon du Génie à Casablanca...
le 50ème Génie à Meknès, au camp des Oliviers. "C'est la QUILLE"...
Le 21e régiment du génie (ou 21e RG) est un régiment de génie de l'armée française.
Créé en avril 1917, ce régiment avait pour seul but de soulager l'administration du 1er régiment du génie. La nouvelle unité porte le no 21. Le 21e régiment du génie fut dissous à la fin de la campagne.
La création temporaire du 21e régiment du génie (1er juillet 1917 au 30 septembre 1919), eut pour but de répartir les unités du 1er régiment du génie en deux groupes ; mais, par la suite, il y eut des modifications, certaines compagnies ont compté aux deux régiments : il en résulte qu'il est difficile de séparer les deux subdivisions des 1er et 21e régiments du génie.
Il est formé avec les compagnies des 5e, 22e, 30e et 40e bataillons. Il administre également des compagnies d'ouvriers et des compagnies d'électriciens d'Armée (Cie EL)
En 1919, le Dépôt (militaire) est à Montpellier. La dissolution du 21e RG est décidée.
le 21ème bataillon du Génie à Casablanca...
le 50ème Génie à Meknès, au camp des Oliviers. "C'est la QUILLE"...
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Les Bataillons de Chasseurs d'Afrique
Les Bataillons de chasseurs d'Afrique sont des régiments de cavalerie de l'armée française, dont le 12ème est actuellement basé au camp de Canjuers. Il contribue à la formation de l'arme blindée de cavalerie.
Dans la Campagne du Maroc, Le régiment de Chasseurs est engagé contre des nationalistes marocains à Taddert en 1907, à Sarrat en 1908, à Seitat en 1909. En 1911, il est à nouveau engagé à Bou-Zine, Meknès, puis Tiflet. De juin à septembre 1912 le 1er escadron participe au sein de la colonne Gouraud aux opérations du dégagement de Fez. Le 7 septembre 1912 le 4e escadron au sein de la colonne Mangin participe à la prise de Marrakech. Les opérations se ralentissent peu à peu jusqu’au début de la seconde guerre mondiale.
1876 - Bataillon de Chasseurs d'Afrique à Biskra (Algérie)
1913 - 11(ème Bataillon de Chasseurs à pied
1913 - Le 208ème Chasseurs Alpins
1913 le 8 juillet à Meknès
1913 en août - Groupe de Chasseurs d'Afrique à Meknès
Les Bataillons de chasseurs d'Afrique sont des régiments de cavalerie de l'armée française, dont le 12ème est actuellement basé au camp de Canjuers. Il contribue à la formation de l'arme blindée de cavalerie.
Dans la Campagne du Maroc, Le régiment de Chasseurs est engagé contre des nationalistes marocains à Taddert en 1907, à Sarrat en 1908, à Seitat en 1909. En 1911, il est à nouveau engagé à Bou-Zine, Meknès, puis Tiflet. De juin à septembre 1912 le 1er escadron participe au sein de la colonne Gouraud aux opérations du dégagement de Fez. Le 7 septembre 1912 le 4e escadron au sein de la colonne Mangin participe à la prise de Marrakech. Les opérations se ralentissent peu à peu jusqu’au début de la seconde guerre mondiale.
1876 - Bataillon de Chasseurs d'Afrique à Biskra (Algérie)
1913 - 11(ème Bataillon de Chasseurs à pied
1913 - Le 208ème Chasseurs Alpins
1913 le 8 juillet à Meknès
1913 en août - Groupe de Chasseurs d'Afrique à Meknès
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Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Le Général Gaston Alix
César, Lucien, Gaston Alix (1854 - 1920) est un général de division français et chef de corps de la Légion étrangère.
- Engagé au 59e régiment d'infanterie de ligne en 1872, il entre à Saint-Cyr le 25 oct. 1873. À sa sortie de l’école, il est nommé sous-lieutenant au 6e bataillon de chasseurs à pied le 1er octobre 1875.
- Muté à la Légion, il rejoint le 1er RE à Sidi bel-Abbès le 14 janvier 1892. Désigné pour effectuer un séjour « aux colonies », il débarque au Tonkin le 14 mars 1893 et passe au bataillon du 2e RE, le 4 mai 1893
- En Algérie de 1910 à 1911, il combat à Keddou le 26 mai 1910, dirige les opérations en territoire des Beni Guil puis les opérations contre les Ait ben Chaouen en mai et juin 1910, puis à Bou Denib de février à juin 1911.
- Il est nommé commandant des troupes françaises au Maroc, le 28 septembre 1911 durant l'affaire d'Agadir. Promu au grade de général de division le 23 mars 1912,il dirige encore les combats de Teniet el Baal, le 26 mai 1912, de Sougal 20 avril 1913, l’occupation de M’Çoun en mai et le combat d’Aïn el Arba le 28 mai 1913.
- Il reçoit le commandement du 13ème corps d’armée, le 30 octobre 1913, poste qu’il occupe à la mobilisation.
1909, la colonne du Haut Guir
1909, visite aux blessés
1916,
Les décorations du gél Alix
Françaises
Chevalier de la Légion d’honneur le 11 juillet 1896 - Commandeur de la Légion d’honneur le 10 décembre 1912 - Grand officier de la Légion d'honneur 25 décembre 1916 - Médaille coloniale avec agrafes « Tonkin », « Maroc », « Tunisie » - Médaille commémorative de l'expédition de Chine (1901) - Médaille commémorative du Maroc avec agrafes « Haut Guir » et Maroc.
Etrangères
Officier de l’Ordre royal du Cambodge
Officier de l’ordre impérial du Dragon d’Annam,
Commandeur avec plaque de l’Ordre de l'Étoile de Kara-Georges avec épées de Serbie,
Grand cordon de l’ordre du Nichan Hafidien,
Grand cordon du Ouissam alaouite,
Grand cordon du Nichan Iftikhar,
Médaille du Mérite militaire chérifien.
César, Lucien, Gaston Alix (1854 - 1920) est un général de division français et chef de corps de la Légion étrangère.
- Engagé au 59e régiment d'infanterie de ligne en 1872, il entre à Saint-Cyr le 25 oct. 1873. À sa sortie de l’école, il est nommé sous-lieutenant au 6e bataillon de chasseurs à pied le 1er octobre 1875.
- Muté à la Légion, il rejoint le 1er RE à Sidi bel-Abbès le 14 janvier 1892. Désigné pour effectuer un séjour « aux colonies », il débarque au Tonkin le 14 mars 1893 et passe au bataillon du 2e RE, le 4 mai 1893
- En Algérie de 1910 à 1911, il combat à Keddou le 26 mai 1910, dirige les opérations en territoire des Beni Guil puis les opérations contre les Ait ben Chaouen en mai et juin 1910, puis à Bou Denib de février à juin 1911.
- Il est nommé commandant des troupes françaises au Maroc, le 28 septembre 1911 durant l'affaire d'Agadir. Promu au grade de général de division le 23 mars 1912,il dirige encore les combats de Teniet el Baal, le 26 mai 1912, de Sougal 20 avril 1913, l’occupation de M’Çoun en mai et le combat d’Aïn el Arba le 28 mai 1913.
- Il reçoit le commandement du 13ème corps d’armée, le 30 octobre 1913, poste qu’il occupe à la mobilisation.
1909, la colonne du Haut Guir
1909, visite aux blessés
1916,
Les décorations du gél Alix
Françaises
Chevalier de la Légion d’honneur le 11 juillet 1896 - Commandeur de la Légion d’honneur le 10 décembre 1912 - Grand officier de la Légion d'honneur 25 décembre 1916 - Médaille coloniale avec agrafes « Tonkin », « Maroc », « Tunisie » - Médaille commémorative de l'expédition de Chine (1901) - Médaille commémorative du Maroc avec agrafes « Haut Guir » et Maroc.
Etrangères
Officier de l’Ordre royal du Cambodge
Officier de l’ordre impérial du Dragon d’Annam,
Commandeur avec plaque de l’Ordre de l'Étoile de Kara-Georges avec épées de Serbie,
Grand cordon de l’ordre du Nichan Hafidien,
Grand cordon du Ouissam alaouite,
Grand cordon du Nichan Iftikhar,
Médaille du Mérite militaire chérifien.
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Les Bataillons d’Infanterie Légère d’Afrique (BILA)
Plus connus sous les surnoms de « Bat’ d’Af’ » et de "Joyeux", étaient des unités relevant de l'Armée d'Afrique, composante de l’armée de terre française.
Ils regroupaient des militaires libérés (prisons militaires des divisions territoriales puis des régions de corps d'armée, pénitenciers, ateliers de travaux publics et du boulet) ou sanctionnés durant leur service (anciens disciplinaires, mais de 1832 à 1836 seulement).
Historique du 3e Bataillon d'Infanterie Légère d'Afrique
Quelques lignes de son historique.
Le 23 octobre 1917, les 4e , 6e compagnies et la 2e S. M. passent du Groupe Mobile de Meknès au Groupe Mobile de Bou-Denib, où elles sont détachées.
Le 4 novembre, la 2 ème Cie caserne à Meknès.
23 décembre 1928 : Le Bataillon, sous les ordres du Capitaine LEGRAND et composé des 2e , 4e , 5e et 6e compagnies, S. H. R. A., 3e et 4e sections de mitrailleuses, quitte Meknès le 23 décembre pour Fez.
Le 1 er janvier 1919, il arrive par étapes à Oudjda où il séjourne jusqu'au 26 janvier.
Le 27, il s'embarque à destination de Colomb-Béchar qu'il atteint le 30.
Sources : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Plus connus sous les surnoms de « Bat’ d’Af’ » et de "Joyeux", étaient des unités relevant de l'Armée d'Afrique, composante de l’armée de terre française.
Ils regroupaient des militaires libérés (prisons militaires des divisions territoriales puis des régions de corps d'armée, pénitenciers, ateliers de travaux publics et du boulet) ou sanctionnés durant leur service (anciens disciplinaires, mais de 1832 à 1836 seulement).
Historique du 3e Bataillon d'Infanterie Légère d'Afrique
Quelques lignes de son historique.
Le 23 octobre 1917, les 4e , 6e compagnies et la 2e S. M. passent du Groupe Mobile de Meknès au Groupe Mobile de Bou-Denib, où elles sont détachées.
Le 4 novembre, la 2 ème Cie caserne à Meknès.
23 décembre 1928 : Le Bataillon, sous les ordres du Capitaine LEGRAND et composé des 2e , 4e , 5e et 6e compagnies, S. H. R. A., 3e et 4e sections de mitrailleuses, quitte Meknès le 23 décembre pour Fez.
Le 1 er janvier 1919, il arrive par étapes à Oudjda où il séjourne jusqu'au 26 janvier.
Le 27, il s'embarque à destination de Colomb-Béchar qu'il atteint le 30.
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Les Bataillons de Chasseurs Alpins durant la Campagne du Maroc
(Suite du message du 17 janvier 2018, 17h.09)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] En 1912, après des tractations de marchand de tapis avec l'Allemagne, la France impose un Protectorat au Maroc qui devient ainsi une nouvelle Colonie. L'Armée française a du mal à "pacifier" la population, et, à la demande du Général Lyautey, des troupes alpines sont envoyées au Maroc afin de combattre les rebelles localisés dans les montagnes de l'Atlas.
Débarquement du 14ème BCA au Maroc en 1913
Artillerie de Montagne en 1912 dans le Rif
Rapide historique
Le 7ème bataillon de chasseurs a acquis au cours de l’épisode célèbre de Sidi-Brahim en 1845, son identité et sa réputation et se sera illustré sur de nombreux théâtres de conflit, notamment lors de la guerre de Crimée et la prise de Sébastopol, lors de la guerre du Mexique sous le Second Empire, ou encore lors de la campagne du Maroc au début du XXème siècle.
En 1913, le 7ème prend part à la campagne du Maroc au cours de laquelle il a l'occasion de combattre sous les ordres du général Lyautey.
Les Chasseurs Alpins "guitounent" dans la région de Casablanca en 1913
(à suivre...)
(Suite du message du 17 janvier 2018, 17h.09)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] En 1912, après des tractations de marchand de tapis avec l'Allemagne, la France impose un Protectorat au Maroc qui devient ainsi une nouvelle Colonie. L'Armée française a du mal à "pacifier" la population, et, à la demande du Général Lyautey, des troupes alpines sont envoyées au Maroc afin de combattre les rebelles localisés dans les montagnes de l'Atlas.
Débarquement du 14ème BCA au Maroc en 1913
Artillerie de Montagne en 1912 dans le Rif
Rapide historique
Le 7ème bataillon de chasseurs a acquis au cours de l’épisode célèbre de Sidi-Brahim en 1845, son identité et sa réputation et se sera illustré sur de nombreux théâtres de conflit, notamment lors de la guerre de Crimée et la prise de Sébastopol, lors de la guerre du Mexique sous le Second Empire, ou encore lors de la campagne du Maroc au début du XXème siècle.
En 1913, le 7ème prend part à la campagne du Maroc au cours de laquelle il a l'occasion de combattre sous les ordres du général Lyautey.
Les Chasseurs Alpins "guitounent" dans la région de Casablanca en 1913
(à suivre...)
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Les Bataillons de Chasseurs Alpins durant la Campagne du Maroc
(Suite et fin du message du 17 janvier 2018, 17h.09)
Le 24e bataillon de chasseurs (Bataillon de la Garde) est une unité militaire dissoute de l'infanterie alpine française (chasseurs alpins) 24ème BCA, puis de l'infanterie mécanisée, devenu 24ème GCP qui participa notamment aux deux conflits mondiaux.
De 1912 à 1914, au Maroc, les 7ème et 14ème ont par leur tenue, inspiré au maréchal LYAUTEY, la page sur l'esprit chasseur qu'il rédigera plus tard et justifièrent la septième inscription au Drapeau.
Les Alpins (7ème et 14ème) embarquent en septembre 1912 à Marseille, destination Casablanca. Zones d'activité : Settat, El-Borouj, Meknès, Mechelen, Fez.
Le 25/10/1913, les Alpins sont rappelés en France, contre l'avis du Général Lyautey.
En 1925, la révolte monte au Maroc. Le Maréchal Lyautey reçoit 5 bataillons de chasseurs alpins : le 15ème, 23ème, 24ème, 25 et 27ème… Le 7ème et le 13ème sont envoyés en Tunisie.
7ème Bat. de Chasseurs, la Coloniale du colonel Brabant, Maroc guerre du Rif - Croix de guerre - Croix de guerre avec palme - Insignes du 24ème BCA, à pied et alpin.
(Suite et fin du message du 17 janvier 2018, 17h.09)
Le 24e bataillon de chasseurs (Bataillon de la Garde) est une unité militaire dissoute de l'infanterie alpine française (chasseurs alpins) 24ème BCA, puis de l'infanterie mécanisée, devenu 24ème GCP qui participa notamment aux deux conflits mondiaux.
De 1912 à 1914, au Maroc, les 7ème et 14ème ont par leur tenue, inspiré au maréchal LYAUTEY, la page sur l'esprit chasseur qu'il rédigera plus tard et justifièrent la septième inscription au Drapeau.
Les Alpins (7ème et 14ème) embarquent en septembre 1912 à Marseille, destination Casablanca. Zones d'activité : Settat, El-Borouj, Meknès, Mechelen, Fez.
Le 25/10/1913, les Alpins sont rappelés en France, contre l'avis du Général Lyautey.
En 1925, la révolte monte au Maroc. Le Maréchal Lyautey reçoit 5 bataillons de chasseurs alpins : le 15ème, 23ème, 24ème, 25 et 27ème… Le 7ème et le 13ème sont envoyés en Tunisie.
7ème Bat. de Chasseurs, la Coloniale du colonel Brabant, Maroc guerre du Rif - Croix de guerre - Croix de guerre avec palme - Insignes du 24ème BCA, à pied et alpin.
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Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Armée Française - Histoire du Mulet.
histoire résumée du rôle, de l’emploi et des conditions d’utilisation du mulet dans l’Armée française, notamment lors des campagnes coloniales (1830-1930), dans les Alpes (1870-1940) et durant la Seconde Guerre Mondiale.
La sobriété, la robustesse et la sûreté de pied, propres au mulet ont, de tous temps, retenu l’attention de l’usager militaire.
En effet, après les premiers balbutiements de l’artillerie de montagne avec l’adoption en 1828 du canon de 12, tracté ou porté par des mulets, il faut attendre les leçons tirées des premières expéditions coloniales, puis l’apparition de la menace d’hostilités en montagne, pour voir les états-majors des pays alpins incorporer officiellement et significativement les mulets dans les effectifs militaires.
82ème Régiment d'Afrique - Artillerie de montagne
Ravitaillement à El hajeb avec l'aide des mules
Attelage de mules... la colonne est embourbée.... (ph Schmitt)
1907 - campagne à Kasba Tadla
Sources : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
à suivre...
histoire résumée du rôle, de l’emploi et des conditions d’utilisation du mulet dans l’Armée française, notamment lors des campagnes coloniales (1830-1930), dans les Alpes (1870-1940) et durant la Seconde Guerre Mondiale.
La sobriété, la robustesse et la sûreté de pied, propres au mulet ont, de tous temps, retenu l’attention de l’usager militaire.
En effet, après les premiers balbutiements de l’artillerie de montagne avec l’adoption en 1828 du canon de 12, tracté ou porté par des mulets, il faut attendre les leçons tirées des premières expéditions coloniales, puis l’apparition de la menace d’hostilités en montagne, pour voir les états-majors des pays alpins incorporer officiellement et significativement les mulets dans les effectifs militaires.
82ème Régiment d'Afrique - Artillerie de montagne
Ravitaillement à El hajeb avec l'aide des mules
Attelage de mules... la colonne est embourbée.... (ph Schmitt)
1907 - campagne à Kasba Tadla
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à suivre...
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Armée Française - Histoire du Mulet. 2
1830 -1930 : les campagnes coloniales
Lors de la conquête de l’Algérie (1830-1850) les difficultés rencontrées dans la pénétration des reliefs et les contraintes climatiques associées à la nécessité de recourir aux ressources locales, avaient conduit le commandement à utiliser ânes et mulets
comme « échelon de transport » ces animaux de bât étant alors conduits et entretenus par des supplétifs autochtones
1908 groupe de montagne" au Maroc
1975 : fin de la présence des mulets dans l’Armée française
1909 - Manœuvre d'artillerie de montagne
Passage difficile d'une colonne
Pendant plus d’un siècle le mulet, équidé sobre, robuste et de pied sûr, s’est révélé un auxiliaire précieux de l’Armée française. Il l’a accompagnée chaque fois que le terrain ou le climat éprouvaient les hommes.
1909 - Convoi de ravitaillement sur des chemins difficiles
1911 - Campagne du Maroc.... Arrivée d'un convoi à Dar Chaffaï
1830 -1930 : les campagnes coloniales
Lors de la conquête de l’Algérie (1830-1850) les difficultés rencontrées dans la pénétration des reliefs et les contraintes climatiques associées à la nécessité de recourir aux ressources locales, avaient conduit le commandement à utiliser ânes et mulets
comme « échelon de transport » ces animaux de bât étant alors conduits et entretenus par des supplétifs autochtones
1908 groupe de montagne" au Maroc
1975 : fin de la présence des mulets dans l’Armée française
1909 - Manœuvre d'artillerie de montagne
Passage difficile d'une colonne
Pendant plus d’un siècle le mulet, équidé sobre, robuste et de pied sûr, s’est révélé un auxiliaire précieux de l’Armée française. Il l’a accompagnée chaque fois que le terrain ou le climat éprouvaient les hommes.
1909 - Convoi de ravitaillement sur des chemins difficiles
1911 - Campagne du Maroc.... Arrivée d'un convoi à Dar Chaffaï
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Armée Française - Histoire du Mulet. suite et fin...
- En Algérie, la dispersion des postes, conséquence de la stratégie de quadrillage entraîne en terrain montagneux de nombreux problèmes de ravitaillement. A partir de 1954, sept compagnies muletières encadrées par les régiments du Train dispersent sur le terrain plus de 2000 mulets.
Evacuation des blessés
Inspiré des techniques utilisées par les algériens pour leurs propres blessés lors de la conquête de l’Algérie, l’Armée française met en jeu un harnachement adapté au transport des blessés par les mulets lors de la guerre de Crimée (1854-1855). Cet équipement consiste en la fixation au bât standard soit de deux civières pliantes soit de deux sièges à structure métallique baptisés cacolets placés de part et d’autre du dos de l’animal.
En 1925, adoption du 75 de montagne « Schneider » d’un poids de 650 kg répartis sur 7 mulets. Par temps de neige, le canon est éventuellement arrimé sur un traîneau luge « Gielly » tiré par un mulet, souvent aidé par les servants.
chargement d'une pièce de canon...
En 1934 deux canons sont en dotation, le 75 de montagne et un 155 court « Schneider » qui n’est plus porté par des mulets mais tracté par un camion ou un engin spécialisé.
mars 1912 - convoi de réquisition à Taourirt
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UTILISATION DU MULET DANS L’ARMEE FRANCAISE par Claude Milhaud* et Jean-Louis Coll**
- En Algérie, la dispersion des postes, conséquence de la stratégie de quadrillage entraîne en terrain montagneux de nombreux problèmes de ravitaillement. A partir de 1954, sept compagnies muletières encadrées par les régiments du Train dispersent sur le terrain plus de 2000 mulets.
Evacuation des blessés
Inspiré des techniques utilisées par les algériens pour leurs propres blessés lors de la conquête de l’Algérie, l’Armée française met en jeu un harnachement adapté au transport des blessés par les mulets lors de la guerre de Crimée (1854-1855). Cet équipement consiste en la fixation au bât standard soit de deux civières pliantes soit de deux sièges à structure métallique baptisés cacolets placés de part et d’autre du dos de l’animal.
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Dans le premier cas, les blessés sont transportés assis, dans le second couchés.
un clic sur chaque photo...
Dans le premier cas, les blessés sont transportés assis, dans le second couchés.
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En 1925, adoption du 75 de montagne « Schneider » d’un poids de 650 kg répartis sur 7 mulets. Par temps de neige, le canon est éventuellement arrimé sur un traîneau luge « Gielly » tiré par un mulet, souvent aidé par les servants.
chargement d'une pièce de canon...
En 1934 deux canons sont en dotation, le 75 de montagne et un 155 court « Schneider » qui n’est plus porté par des mulets mais tracté par un camion ou un engin spécialisé.
mars 1912 - convoi de réquisition à Taourirt
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UTILISATION DU MULET DANS L’ARMEE FRANCAISE par Claude Milhaud* et Jean-Louis Coll**
Dernière édition par Admin le Dim 24 Juin - 15:35, édité 5 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Les Compagnies Muletières
Armée Française - Histoire du Mulet.
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Convoi de ravitaillement du 2ème bataillon d'infanterie légère d'Afrique
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Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Drapeaux et fanions du GTM
ORIGINE DU DRAPEAU Par Daniel SORNAT.
La question de l’attribution d’un drapeau aux Goums Mixtes Marocains n’a été posée qu’à la fin de la guerre. Jusqu’en 1939, n’étant ni « embataillonés » et ni « enrégimentés » les Goums ne pouvaient prétendre avoir la garde d’un drapeau et encore moins après l’armistice de 1940 quand ils furent camouflés en Mehallas chérifiennes.
Fanion du 2ème GTM - avers Fanion du 1er GTM - avers
Fanion du 2ème GTM - revers Fanion du 1er GTM - reversORIGINE DU DRAPEAU. Par Daniel SORNAT.
La question de l’attribution d’un drapeau aux Goums Mixtes Marocains n’a été posée qu’à la fin de la guerre. Jusqu’en 1939, n’étant ni « embataillonés » et ni « enrégimentés » les Goums ne pouvaient prétendre avoir la garde d’un drapeau et encore moins après l’armistice de 1940 quand ils furent camouflés en Mehallas chérifiennes.
Le 2 mars 1945, le général Guillaume demande qu’un étendard (sic) soit attribué aux quatre Groupes de Tabors Marocains (GTM). Il souhaite que cet étendard passe de GTM en GTM selon le même cérémonial que pour les Chasseurs. Sa demande n’est pas favorablement accueillie par le ministère qui argue que les goums appartiennent aux Mehallas Chérifiennes.
Le 8 mai, le général Guillaume revient à la charge en rappelant : « si les Goums Marocains ne sont pas des troupes régulières au sens propre, il n’en reste pas moins que ce sont des troupes françaises soumises à une réglementation particulière, qu’ils appartiennent au ministre de la Guerre et qu’ils sont régis par l’IM 6709 du 15/2/37.
Ce serait une grave erreur de considérer les Goums Marocains comme des troupes chérifiennes et à ce titre leur refuser d’avoir leur étendard ». Le ministère reconnaît alors que l’argument avancé pour refuser un drapeau est « dénué de tout fondement, les goums ayant toujours appartenu à l’administration de la Guerre ».
Sources à suivre : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Par le capitaine (er) Michel BARBAIZE.
ORIGINE DU DRAPEAU Par Daniel SORNAT.
La question de l’attribution d’un drapeau aux Goums Mixtes Marocains n’a été posée qu’à la fin de la guerre. Jusqu’en 1939, n’étant ni « embataillonés » et ni « enrégimentés » les Goums ne pouvaient prétendre avoir la garde d’un drapeau et encore moins après l’armistice de 1940 quand ils furent camouflés en Mehallas chérifiennes.
Fanion du 2ème GTM - avers Fanion du 1er GTM - avers
Fanion du 2ème GTM - revers Fanion du 1er GTM - revers
La question de l’attribution d’un drapeau aux Goums Mixtes Marocains n’a été posée qu’à la fin de la guerre. Jusqu’en 1939, n’étant ni « embataillonés » et ni « enrégimentés » les Goums ne pouvaient prétendre avoir la garde d’un drapeau et encore moins après l’armistice de 1940 quand ils furent camouflés en Mehallas chérifiennes.
Le 2 mars 1945, le général Guillaume demande qu’un étendard (sic) soit attribué aux quatre Groupes de Tabors Marocains (GTM). Il souhaite que cet étendard passe de GTM en GTM selon le même cérémonial que pour les Chasseurs. Sa demande n’est pas favorablement accueillie par le ministère qui argue que les goums appartiennent aux Mehallas Chérifiennes.
Le 8 mai, le général Guillaume revient à la charge en rappelant : « si les Goums Marocains ne sont pas des troupes régulières au sens propre, il n’en reste pas moins que ce sont des troupes françaises soumises à une réglementation particulière, qu’ils appartiennent au ministre de la Guerre et qu’ils sont régis par l’IM 6709 du 15/2/37.
Ce serait une grave erreur de considérer les Goums Marocains comme des troupes chérifiennes et à ce titre leur refuser d’avoir leur étendard ». Le ministère reconnaît alors que l’argument avancé pour refuser un drapeau est « dénué de tout fondement, les goums ayant toujours appartenu à l’administration de la Guerre ».
Sources à suivre : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Par le capitaine (er) Michel BARBAIZE.
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Drapeaux et Fanions du GTM
Nombreux sont les Français, officiers, sous-officiers, hommes de troupe, qui ont servi dans les goums mixtes marocains, non seulement, au cours de la Seconde guerre mondiale, mais aussi sur le sol marocain, depuis l'année 1908 où ils furent constitués pour la première fois. Ce fut une troupe incomparable encadrée par des hommes de valeur, les officiers des Affaires indigènes. D'abord supplétifs, puis réguliers, les goums marocains ont réuni des guerriers qui ont magnifiquement contribué à la victoire de 1945. Ils ont vécu une extraordinaire aventure. Leur histoire constitue l'un des chapitres les plus prenants des fastes de l'Armée française.
Source : texte de Pierre Rubira
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Nombreux sont les Français, officiers, sous-officiers, hommes de troupe, qui ont servi dans les goums mixtes marocains, non seulement, au cours de la Seconde guerre mondiale, mais aussi sur le sol marocain, depuis l'année 1908 où ils furent constitués pour la première fois. Ce fut une troupe incomparable encadrée par des hommes de valeur, les officiers des Affaires indigènes. D'abord supplétifs, puis réguliers, les goums marocains ont réuni des guerriers qui ont magnifiquement contribué à la victoire de 1945. Ils ont vécu une extraordinaire aventure. Leur histoire constitue l'un des chapitres les plus prenants des fastes de l'Armée française.
Source : texte de Pierre Rubira
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
JIMMY
Je n'ai pas compris la signification de: "Il souhaite que cet étendard passe de GTM en GTM".
Je suppose qu'il faut: "en GMI". Mais...
Un de mes cousins a effectué toute une carrière dans les Goums. En Indochine les Viets ont retenu une bonne partie de son régiment prisonniers pendant plus de cinq ans.
Je n'ai pas compris la signification de: "Il souhaite que cet étendard passe de GTM en GTM".
Je suppose qu'il faut: "en GMI". Mais...
Un de mes cousins a effectué toute une carrière dans les Goums. En Indochine les Viets ont retenu une bonne partie de son régiment prisonniers pendant plus de cinq ans.
Dernière édition par Lucien Calatayud le Jeu 2 Aoû - 14:34, édité 1 fois
Lucien Calatayud- Messages : 5485
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 94
Localisation : Bouniagues (Dordogne)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Salut Lulu,
J'avais bien compris dans le sens propre de la phrase.... "Il passe cet étendard de groupe de tabor en groupe de tabor".... au fur et à mesure de leur changement, ou, à la création de nouveaux groupes... y'a pas d'ambiguïté...
Par contre, ton cousin qui a fait carrière dans les "Doums" devait certainement se trouver au raz des pâquerettes.... wouaf...wouaff...
Laisse tomber... je corrigerai plus tard...
J'avais bien compris dans le sens propre de la phrase.... "Il passe cet étendard de groupe de tabor en groupe de tabor".... au fur et à mesure de leur changement, ou, à la création de nouveaux groupes... y'a pas d'ambiguïté...
Par contre, ton cousin qui a fait carrière dans les "Doums" devait certainement se trouver au raz des pâquerettes.... wouaf...wouaff...
Laisse tomber... je corrigerai plus tard...
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Le 10ème Goum au Maroc.......
Le 10ème Goum à Souk Tlata avec le lieutenant Armand LAFITE
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Sources :http://www.ouarzazate-1928-1956.fr/armee/colonnes-de-pacification/vallee-du-draa/369-1930-1931-le-10eme-goum-a-agdz.html
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Dernière édition par Admin le Jeu 11 Avr - 14:14, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
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