L'Armée Française durant le PROTECTORAT
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Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Dernière édition par Admin le Dim 18 Nov - 23:06, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
1901-1935 : la Légion étrangère au Maroc
(par Pierre Soulié, chargé de recherches au centre de documentation de la Légion étrangère)
Un dossier bien construit résumant l’histoire du 2è REI intervenant au Maroc.
Un clic sur ce lien pour les intéressés du déroulement de l’historique des interventions militaires de 1901 à 1935 au Maroc, qui ont aboutit à la signature du Protectorat jusqu’à la pacification du pays, ceci agrémenté de quelques CPA de l’époque.
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La Légion au Maroc en 1901
1901-1907 — les débuts de l’intervention de la légion au Maroc
La colonne d’Igli
Combat d’El-Moungar
Le colonel Lyautey commandant de la subdivision d’Aïn-Sefra
1907-1919 — la Légion et les débuts de la pacification
Le débarquement de Casablanca
Hostilité de l’Allemagne
La révolte de Fès
Le protectorat et le général Lyautey, résident général de France au Maroc
Liaison entre le Maroc occidental et oriental
Le programme du général Lyautey
La Légion au Maroc pendant la Première Guerre mondiale
La Légion au Maroc en 1907[/center]
1910 - Le 2ème REI à BouDenib
1909 - La Légion traversant un oued
Mai 1911 - le siège de Fès ou le tritel manqué
La Légion dans la pacification, 1920-1935
La reprise de la pacification
Fin de la pacification
1933 - La Légion au Djebel Saghro
Fin de la pacification
Après le rapatriement en métropole des divisions prêtées aux troupes du Maroc, le commandement doit réorganiser ses formations et déterminer l’ordre des priorités à donner aux secteurs restant à pacifier. Pour accéder aux confins algéro-marocains depuis Fès et Meknès au nord et Marrakech au sud et immobiliser les rebelles, il faut disposer de pistes capables de supporter la circulation de camions équipés de roues à bandages pleins. Deux pistes principales sont mises en chantier : la première relie Meknès et Fès à Ksar-es-Souk et au Tafilalet en passant par Midelt et la vallée du Ziz ; la seconde va de Marrakech à Ouarzazate en passant par le col du Tizi N’Tichka.
Elle permettra d’accéder à la vallée du Draa au sud et, vers le nord, en remontant la vallée du Dades, de rejoindre Ksar-es-Souk. Entre Midelt et Ksar-es-Souk existait une piste praticable uniquement par des fantassins et des convois d’animaux : passant par Rich, Gourrama et Bou-Denib, elle avait une longueur de trois cents kilomètres, alors qu’en suivant le cours de l’oued Ziz, la distance n’est que de cent cinquante kilomètres, mais il faut percer un tunnel dans la cluse du Foum-Zabel.
La route de Midelt à Ksar-es-Souk fut étudiée par la direction du génie de Meknès ; sa réalisation fut l’œuvre d’unités des 2e et 3e REI. Quant au tunnel, il fut percé entre le 24 juillet 1927 et le mois de mai 1928 par la compagnie de sapeurs pionniers du 3e rei (sur les cartes éditées par l’Institut géographique du Maroc, ce tunnel est toujours appelé « tunnel du Légionnaire ».
1938 - La Légion à Ksar es Souk
Le Lt Colonel Legrand passe en revue la Légion dans la vallée du Ghir.
Résumé
Les problèmes de la sécurité des confins algéro-marocains et la volonté française de contrôler l’ensemble du Maghreb sont à l’origine de l’emploi de la Légion dans la pacification du Maroc.
Sous les ordres de Lyautey, elle s’y battit continuellement, participant ainsi au maintien de l’ordre et à la construction de routes et de postes dans tout le pays. Elle est l’instrument de l’installation du Protectorat.
Attention : Pour plus de complément d'information sur l'historique complet, revoir le lien ci dessous...
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(par Pierre Soulié, chargé de recherches au centre de documentation de la Légion étrangère)
Un dossier bien construit résumant l’histoire du 2è REI intervenant au Maroc.
Un clic sur ce lien pour les intéressés du déroulement de l’historique des interventions militaires de 1901 à 1935 au Maroc, qui ont aboutit à la signature du Protectorat jusqu’à la pacification du pays, ceci agrémenté de quelques CPA de l’époque.
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La Légion au Maroc en 1901
1901-1907 — les débuts de l’intervention de la légion au Maroc
La colonne d’Igli
Combat d’El-Moungar
Le colonel Lyautey commandant de la subdivision d’Aïn-Sefra
1907-1919 — la Légion et les débuts de la pacification
Le débarquement de Casablanca
Hostilité de l’Allemagne
La révolte de Fès
Le protectorat et le général Lyautey, résident général de France au Maroc
Liaison entre le Maroc occidental et oriental
Le programme du général Lyautey
La Légion au Maroc pendant la Première Guerre mondiale
La Légion au Maroc en 1907[/center]
1910 - Le 2ème REI à BouDenib
1909 - La Légion traversant un oued
Mai 1911 - le siège de Fès ou le tritel manqué
La Légion dans la pacification, 1920-1935
La reprise de la pacification
Fin de la pacification
1933 - La Légion au Djebel Saghro
Fin de la pacification
Après le rapatriement en métropole des divisions prêtées aux troupes du Maroc, le commandement doit réorganiser ses formations et déterminer l’ordre des priorités à donner aux secteurs restant à pacifier. Pour accéder aux confins algéro-marocains depuis Fès et Meknès au nord et Marrakech au sud et immobiliser les rebelles, il faut disposer de pistes capables de supporter la circulation de camions équipés de roues à bandages pleins. Deux pistes principales sont mises en chantier : la première relie Meknès et Fès à Ksar-es-Souk et au Tafilalet en passant par Midelt et la vallée du Ziz ; la seconde va de Marrakech à Ouarzazate en passant par le col du Tizi N’Tichka.
Elle permettra d’accéder à la vallée du Draa au sud et, vers le nord, en remontant la vallée du Dades, de rejoindre Ksar-es-Souk. Entre Midelt et Ksar-es-Souk existait une piste praticable uniquement par des fantassins et des convois d’animaux : passant par Rich, Gourrama et Bou-Denib, elle avait une longueur de trois cents kilomètres, alors qu’en suivant le cours de l’oued Ziz, la distance n’est que de cent cinquante kilomètres, mais il faut percer un tunnel dans la cluse du Foum-Zabel.
La route de Midelt à Ksar-es-Souk fut étudiée par la direction du génie de Meknès ; sa réalisation fut l’œuvre d’unités des 2e et 3e REI. Quant au tunnel, il fut percé entre le 24 juillet 1927 et le mois de mai 1928 par la compagnie de sapeurs pionniers du 3e rei (sur les cartes éditées par l’Institut géographique du Maroc, ce tunnel est toujours appelé « tunnel du Légionnaire ».
1938 - La Légion à Ksar es Souk
Le Lt Colonel Legrand passe en revue la Légion dans la vallée du Ghir.
Résumé
Les problèmes de la sécurité des confins algéro-marocains et la volonté française de contrôler l’ensemble du Maghreb sont à l’origine de l’emploi de la Légion dans la pacification du Maroc.
Sous les ordres de Lyautey, elle s’y battit continuellement, participant ainsi au maintien de l’ordre et à la construction de routes et de postes dans tout le pays. Elle est l’instrument de l’installation du Protectorat.
Attention : Pour plus de complément d'information sur l'historique complet, revoir le lien ci dessous...
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Dernière édition par Admin le Jeu 11 Avr - 14:18, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
HUGUETTE ROMERO a écrit:
Huguette,
Parti à la relecture de tous les posts, je revu cette vidéo que tu as placée en 2014, qui m'avait beaucoup plu à cette époque...
Je la remets à la page car elle fait partie des souvenirs assez prenants de cette période des zouaves ainsi que tous les régiments de l'armée d'Afrique...
Dernière édition par Admin le Mar 20 Nov - 14:10, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
ANDRE.
MERCI......
C'EST VRAI INTÉRESSANTE CETTE VIDEO ......
MERCI......
C'EST VRAI INTÉRESSANTE CETTE VIDEO ......
HUGUETTE ROMERO- Messages : 3960
Date d'inscription : 27/10/2010
Age : 81
Localisation : PONTAULT COMBAULT 77
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Dernière édition par Admin le Mar 26 Oct - 13:08, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Le Général Naulin - 1870/1932
Campagne du Riff - Le Général Naulin, commandant en chef salue le drapeau du 1er Zouaves.
Général Stanislas NAULIN - membre du Conseil Supérieur de la Guerre - Grand’Croix de la légion d’Honneur - Croix de Guerre
sources - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Campagne du Riff - Le Général Naulin, commandant en chef salue le drapeau du 1er Zouaves.
Général Stanislas NAULIN - membre du Conseil Supérieur de la Guerre - Grand’Croix de la légion d’Honneur - Croix de Guerre
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
HUGUETTE ROMERO- Messages : 3960
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Localisation : PONTAULT COMBAULT 77
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Pénétration des armées de 1912 à 1916
Colonne de la haute Moulouya, équipée de chars Renault FT. Cet engin été le véhicule de combat blindé et chenillé le plus efficace de la Première Guerre mondiale. Environ 3 700 chars FT sortirent d'usine en dix-huit mois, la plupart fabriqués chez Renault, mais aussi chez Berliet, SOMUA et Delaunay-Belleville.
Le camp Desnœud à Boroudj, près de Settat
Le 2ème zouaves à Taourirt. 1907 : En août, deux sections de mitrailleuses du 2e zouaves participèrent au corps expéditionnaire chargé de réprimer la révolte de Casablanca.
la nouba des tirailleurs. musique indigène... (Une caractéristique de La Nouba est sa tenue orientale, qui rappelle l’uniforme des anciens tirailleurs algériens créé vers 1840. L’origine de ces troupes remonte aux corps arabes et turcs constitués par les français après la conquête d’Alger (1830), avec des volontaires, des contingents fournis par différents chefs locaux, ou avec des les troupes organisées des divers beys vaincus par les Français.)
Le 14/09/1905, Félix envoie une carte à sa maman, du fort de Rottenbourg près Rabat (wouaff....)
1915 - Convoi ravitailleur dans le Rif
1910 - Occupation de la zone de Taourirt de la Légion dirigée le Cdt Fesch, qui rayonne jusqu'à la Moulouya...De fait, à toutes les étapes de la conquête, on trouve les tentes de la Légion.
Colonne de la haute Moulouya, équipée de chars Renault FT. Cet engin été le véhicule de combat blindé et chenillé le plus efficace de la Première Guerre mondiale. Environ 3 700 chars FT sortirent d'usine en dix-huit mois, la plupart fabriqués chez Renault, mais aussi chez Berliet, SOMUA et Delaunay-Belleville.
Le camp Desnœud à Boroudj, près de Settat
Le 2ème zouaves à Taourirt. 1907 : En août, deux sections de mitrailleuses du 2e zouaves participèrent au corps expéditionnaire chargé de réprimer la révolte de Casablanca.
la nouba des tirailleurs. musique indigène... (Une caractéristique de La Nouba est sa tenue orientale, qui rappelle l’uniforme des anciens tirailleurs algériens créé vers 1840. L’origine de ces troupes remonte aux corps arabes et turcs constitués par les français après la conquête d’Alger (1830), avec des volontaires, des contingents fournis par différents chefs locaux, ou avec des les troupes organisées des divers beys vaincus par les Français.)
Le 14/09/1905, Félix envoie une carte à sa maman, du fort de Rottenbourg près Rabat (wouaff....)
1915 - Convoi ravitailleur dans le Rif
1910 - Occupation de la zone de Taourirt de la Légion dirigée le Cdt Fesch, qui rayonne jusqu'à la Moulouya...De fait, à toutes les étapes de la conquête, on trouve les tentes de la Légion.
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
De ci delà, quelques photos-témoins des débuts du Protectorat dans les années 1920/25...
vers 1910 - Aïn Taforalt - La Maison "Bendanoun et Charbit", fournisseurs de l'Armée.
Le camp d'Aïn Bordja près Casablanca...Le cercle de sous-officiers.
Toujours le camp d'Aïn Bordja - Dépôt des isolés coloniaux - Le Camp Militaire d'Ain Bordja est situé dans la région Grand Casablanca.
vers 1910 - Aïn Taforalt - La Maison "Bendanoun et Charbit", fournisseurs de l'Armée.
Le camp d'Aïn Bordja près Casablanca...Le cercle de sous-officiers.
Toujours le camp d'Aïn Bordja - Dépôt des isolés coloniaux - Le Camp Militaire d'Ain Bordja est situé dans la région Grand Casablanca.
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Pierre sculptée par la Cie des Sapeurs du 3RI de la légion datée 34/35
Le 3ème régiment étranger d’infanterie (le 3e REI) est le régiment le plus décoré de la Légion étrangère. Il a été créé en 1920 et est héritier du régiment de marche de la Légion étrangère (RMLE).
Ici en Indochine.... on trouvera le 3ème RI en Algérie en 1954...
Le 3ème régiment étranger d’infanterie (le 3e REI) est le régiment le plus décoré de la Légion étrangère. Il a été créé en 1920 et est héritier du régiment de marche de la Légion étrangère (RMLE).
Ici en Indochine.... on trouvera le 3ème RI en Algérie en 1954...
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Histoire de cacolets
Le cacolet est une sorte de bât, constitué de deux sièges à dossier, en osier, fixés sur une armature adaptée au dos de l'animal porteur (cheval, mulet, âne, etc.), pour le transport de deux personnes de part et d'autre. Il a été utilisé dans les Pyrénées, d'où le nom est originaire, jusqu'au début du XIXème siècle pour le transport de deux personnes.
Par extension, dans le domaine militaire et sanitaire, le cacolet a eu une utilisation courante jusqu'à l'apparition des véhicules automobiles spécialisés, et dans les zones d'accès difficile : c'est un panier à dossier, placé sur un mulet ou chameau et servant à transporter les malades ou les blessés.
Le cacolet dans l'Armée...
Cacolet pour belles personnes endimanchées.....
Le cacolet est une sorte de bât, constitué de deux sièges à dossier, en osier, fixés sur une armature adaptée au dos de l'animal porteur (cheval, mulet, âne, etc.), pour le transport de deux personnes de part et d'autre. Il a été utilisé dans les Pyrénées, d'où le nom est originaire, jusqu'au début du XIXème siècle pour le transport de deux personnes.
Par extension, dans le domaine militaire et sanitaire, le cacolet a eu une utilisation courante jusqu'à l'apparition des véhicules automobiles spécialisés, et dans les zones d'accès difficile : c'est un panier à dossier, placé sur un mulet ou chameau et servant à transporter les malades ou les blessés.
Le cacolet dans l'Armée...
Cacolet pour belles personnes endimanchées.....
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
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un clic sur les photos
un clic sur les photos
Transports des blessés militaires.... Cacolets sur des mulets, ambulances militaires hippomobiles sur laquelle on peut lire "Service des Ambulances - Voiture d'Administration des Corps de Quartiers"
Dernière édition par Admin le Mer 1 Fév - 14:29, édité 2 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
L'armée d'Afrique libère Marseille...
" Une section du 7° RTA, sous les ordres du capitaine GAGEAN, vient d'entrer dans Marseille occupée. Ce sont les premiers libérateurs et ils pénètrent dans Marseille par le quartier de La Viste.
La population libérée leur réserve un accueil enthousiaste... Ils "venaient des colonies pour défendre le pays..."
Ils ne savaient pas que moins de 2 décennies plus tard, ils reviendraient, cette fois-ci en "rapatriés" et que l'accueil serait tout autre... "
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" Une section du 7° RTA, sous les ordres du capitaine GAGEAN, vient d'entrer dans Marseille occupée. Ce sont les premiers libérateurs et ils pénètrent dans Marseille par le quartier de La Viste.
La population libérée leur réserve un accueil enthousiaste... Ils "venaient des colonies pour défendre le pays..."
Ils ne savaient pas que moins de 2 décennies plus tard, ils reviendraient, cette fois-ci en "rapatriés" et que l'accueil serait tout autre... "
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: L'Armée Française durant le PROTECTORAT
Les costumes
De 1900 jusqu’au milieu des années 1930, la France s’engage militairement au Maroc, et y conduit des campagnes. L’Espagne, quant à elle, mène des campagnes dans le nord du pays.
En 1911, l’Armée Française occupe Meknès et l’envahit avec l’armée, les civils, les services administratifs, hospitaliers et toutes les intendances qui gèrent les besoins de toutes ces administrations. La médina accueille tout ce nouveau monde…
C’est ainsi qu’après l'occupation de Meknès par les troupes françaises au début de juin 1911 dans les quartiers des Oliviers, situé à l’extérieur des remparts de Dar El Maghzem, les premiers Européens, les Soeurs franciscaines, l’hôpital militaire St LOUIS, le colonel Poeymirau, la municipalité , les services administratifs s'installent en Médina, notamment dans les rues Rouamzine, Dar Smen, le fort de Dar Beïda (les zouaves )...,
Mais…qui étaient-ils ces soldats… ??? Quels corps d’armée… ??? A quoi ressemblaient-ils… ???
J’ai trouvé le « mensuel du Petit Manchot qui égratigne un peu les costumes de nos soldats sans pour autant les modifier…
L'ARMEE FRANCAISE AU MAROC en 1911-1912 - Dessin de R. Tugot
Sources : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Hebdomadaire N° 27 du 19-03-2010
Allez, on se régale un peu...!!!
à suivre...[/b]
De 1900 jusqu’au milieu des années 1930, la France s’engage militairement au Maroc, et y conduit des campagnes. L’Espagne, quant à elle, mène des campagnes dans le nord du pays.
En 1911, l’Armée Française occupe Meknès et l’envahit avec l’armée, les civils, les services administratifs, hospitaliers et toutes les intendances qui gèrent les besoins de toutes ces administrations. La médina accueille tout ce nouveau monde…
C’est ainsi qu’après l'occupation de Meknès par les troupes françaises au début de juin 1911 dans les quartiers des Oliviers, situé à l’extérieur des remparts de Dar El Maghzem, les premiers Européens, les Soeurs franciscaines, l’hôpital militaire St LOUIS, le colonel Poeymirau, la municipalité , les services administratifs s'installent en Médina, notamment dans les rues Rouamzine, Dar Smen, le fort de Dar Beïda (les zouaves )...,
Mais…qui étaient-ils ces soldats… ??? Quels corps d’armée… ??? A quoi ressemblaient-ils… ???
J’ai trouvé le « mensuel du Petit Manchot qui égratigne un peu les costumes de nos soldats sans pour autant les modifier…
L'ARMEE FRANCAISE AU MAROC en 1911-1912 - Dessin de R. Tugot
Sources : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Hebdomadaire N° 27 du 19-03-2010
Allez, on se régale un peu...!!!
à suivre...[/b]
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
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