Re: Mémoires du "bled" durant le Protectorat

**christiane gérard** Dim 1 Juil - 16:35

Alain

Belle mariée et beau cortège.Maintenant on se déplace en voiture à grand renfort de klaxons

Lucien Calatayud Dim 1 Juil - 16:57

ANDRE,

Un peu plus haut tu dis ne pas comprendre le silence de certains de nos amis.
Eh bien je crois que cela mérite une explication : Apparemment aucun de nous n’étant différent des autres ; on peut donc facilement en conclure que chacun a pu entasser autant de souvenirs dans sa petite cervelle. Oui mais voilà ; à force d’engranger, certains « sous crânes » ne sont plus devenu que d' inextricables fouillis où plus rien ne se retrouve.

C’est pourquoi ceux qui se reconnaissent se doivent de procéder par ordre : Tout d’abord reclasser puis étiqueter puis ranger les choses par affinité sur des étagères distinctes de leurs mémoires, en se gardant bien de les entasser à nouveau pêle-mêle en véritable bric-à-brac.

Tout étant devenu comme par enchantement bien plus clair dans les têtes, il sera dès lors tout à fait plus facile d’en extraire l'un ou l'autre des souvenirs, de le poster dans l’une ou l’autre des rubriques de notre forum et de cliquer sur « envoyer », sans omettre surtout de remettre le souvenir à sa place dans sa mémoire.

Fastoch non ?

**christiane gérard** Dim 1 Juil - 17:11

Lucien

Je pense que Jimmy faisait allusion à nos amis du site qui ne font que passer,qui lisent mais ne se manifestent pas.C'est dommage car comme tu le dis, chacun a des souvenirs et souvent un message en entraine un autre.

Lucien Calatayud Dim 1 Juil - 18:04

Marie-Joëlle Cremault a écrit:alain , Lucien, beaucoup de nom cités me furent familiers. Je commence à comprendre et relier certaines personnes.
Me perdant dans les "Aïn", est dans cette école qu'a exercé Monsieur SOUMAGNE ? Merci.

Marie-Joëlle

Est-ce aux noms que j'ai cités bien plus avant ou à d'autres auxquels tu fais allusion? Ceux que j'énumérais, je le précise, sont tous des environs d'Aïn Taoujdat.

Lucien Calatayud Dim 1 Juil - 18:07

Lucien Calatayud a écrit:
christiane gérard a écrit:Lucien
Mais pourquoi veux-tu arrêter de nous conter ton village.Ta galerie de portraits est passionnante.Alors même si nous ne sommes pas nombreux à te lire ou à laisser un p'tit com c'est toujours interessant.

Christiane

Avant tout merci Christiane de me faire part de tes appréciations. Elles m'ont toujours été précieuses.

J'ai bien entendu eu plaisir à placer ça ou là de manière plus ou moin opportune un extrait de mes mémoires. Mais c'est tout autant par nécessité, me trouvant à cours d'idées et n'ayant rien de mieux à poster que dans un autre but. Ayant quelque peu épuisé mon répertoire de connaissances je n'ai plus grand chose à apprendre à nos amies (is) sur les choses du Maroc. Or tu ne l'ignores pas, notre forum compte plus de cent vingt membres et le plus grand nombre c'est évident n'est pas du tout intéressé par ce qui s'écarte du courant. Alors pourquoi l'importuner davantage? Et c'est pourquoi j'ai cru bien de prévenir en tout début de texte que cet extrait serait le dernier. Pour autant, la terre continuera encore de tourner dans le même sens.

Crémault Marie Joëlle Dim 1 Juil - 21:09

LUCIEN, merci de ta réponse.

OU, QUAND, COMMENT? Formuler nos compliments. Je pense, que, Christiane me comprendra : parfois l'on aimerait bien.... mais devant, l'indifférence, ou le manque de délicatesse des autres (Christiane, notre première et unique rencontre) on ne sait comment agir, alors, on peut préférer se faire petit ou disparaître.
Toi même Lucien, nos mails ont du, non se perdre, mais une erreur dans l'envoi.....alors maintenant, dis moi, qui avait écrit l'homme du bled, qui, venant à Meknès remontait la grande avenue???? sur d'autres sites , nous avions des pseudo, Je ne me rappelle que du très beau texte,d'une sensibilité et si vrai.
J'aurais aimé être une artiste.....oui, à succès??? oh non ! simplement savoir transcrire des sentiments , des sensations, l'émotion de rencontres (oh , non, pas amoureuses) humaines, mes sensations devant la nature , la richesse du vocabulaire d'un...un trou...sulskid..?? dans le parfum.
LUCIEN, ne te fais pas prier, ne me dis pas, car tu sais très bien la valeur de ton écriture, trop te flatter te vexe, t'ignorer te contrarie.
J'ai parfois l'impression que tu en sais un peu plus que tu ne le dis sur moi ou m famille,alors tu sais que la brosse à reluire, n'a jamais existé, chez nous.
Tu es un homme libre, mais ne laisse pas tes écrits tomber dans l'oubli, ou alors fais un blog.
Trop d'orgueil n'a d'égal que trop de modestie. Trop d'orgueil : vite découvert , oublie l'orgueilleux et ne faisons plus attention à ses dires . Résultat nul. Mais trop de modestie empèche un être de se révéler. Ne crois pas que je n'ai pas retenu ton cursus scolaire et ton idiot de prof de français....non, seulement je lis, mais je lis avec attention.
Tu aurais du naître dans une famille juive. , qui t'aurait fait prendre conscience de ce que tu es réellement>.> Du mellah, ils ont des enfants chercheurs, etc.
Ah! les "maudits" (c'est canadiens) catholiques, devaient surtout ne pas faire de leurs enfants des orgueilleux, mais des modestes, quand ce n'était pas les diminuer ou les abaisser .
Alors.. à toi...ose..

Ghislaine Jousse-Veale Lun 2 Juil - 3:56

Bonjour - - Desolee pour le match et ce sera pour une autre fois - Lucien - Je croyais que c'etait seulement les femmes qui aimaient se faire prier . Les extraits de tes livres sont excellents et ils sont lus par plusieurs de nous. Je voudrais bien ecrire aussi bien que toi. Dans un post que tu as mis apres nous avoir fait partager un chapitre de ton livre, tu demandais des critiques. Mais pourquoi? Personnellement je ne me permettrai jamais de critiquer quelqu'un qui fait mieux que moi en plus...Continue Lucien, tes ecrits sont tres interessants et tu nous decris une vie de village que pas mal de nous n'avons pas connu d'ailleurs, vivant en ville.

Grostefan Alain Lun 2 Juil - 9:30

MARIE-JO
J'ai relevé en parcourant les posts de chacune et chacun que tu as cité Monsieur SOUMAGNE. Il n'était pas directeur de l'école d'Aïn-Taoujdate mais directeur du secteur scolaire d'Aïn-Taoujdate. La différence est que l'un (M.SANSON) dirigeait l'école européenne et l'autre (M. SOUMAGNE) dirigeait le secteur des écoles musulmanes. Il avait eu un malaise en conduisant sa voiture, s'était arrêté sur le côté et était décédé sur son siège. Crise cardiaque. Encore une page d'histoire du village qui se tourne et plutôt tristement.

Grostefan Alain Lun 2 Juil - 9:39

LUISA MANZONI
J'ai grand plaisir à te lire sur le site. J'espère que vous allez bien tous les deux. J'ai peu de nouvelles du "grand sifflet" alias Guy VIDEAU. Si ce n'est pas moi qui l'appelle je n'aurais jamais de ses nouvelles. Tu temps de Jeannette les relations téléphoniques étaient plus fréquentes. Tu te souviens à Meknès avec ses soupes de "feignants" comme elle disait...C'était l'bon temps.
Amitiés à vous deux.
Alain

Lucien Calatayud Lun 2 Juil - 9:41

Mais c'est tout autant par nécessité, me trouvant à cours

"Pardon! tout le monde aura su rectifier la faute, j'en suis sûr.

Pardon aussi pour les précédentes de même que pour les futures."

Comme quoi, les carences en ortho ne font pas forcément obstacle à la composition de rimes.

**Admin** Lun 2 Juil - 10:09

christiane gérard a écrit:Lucien
Je pense que Jimmy faisait allusion à nos amis du site qui ne font que passer,qui lisent mais ne se manifestent pas.C'est dommage car comme tu le dis, chacun a des souvenirs et souvent un message en entraine un autre.

LUCIEN,
C'est bien comme le dit CHRISTIANE, que je faisais allusion à tous nos inscrits qui viennent nous visiter sans pour le moins, nous saluer...Pour certains, pas une seule fois....Personne n'est forcément obligé de le faire.... Mais, ce serait une façon de nous confirmer leur intérêt à notre journal....

C'est dit, on n'en parlera plus, surtout ici ...

Par contre, je retiens ta proposition de modifier le titre de cette rubrique par...: "Nos villages et nos quartiers d'enfance", par exemple....
Si quelqu'un à une proposition à nous faire dans ce sens là, c"est avec plaisir qu'elle sera considérée, tant il est vrai que cela crée des ouvertures différentes. Parler du "Quartier Industriel", 'Quartier de l'oeuf", "Cours des Miracles", La Boucle, Place d'Armes, l'OCLM, El Hédim, le Quartier Millerand, le Marché, Maroleau et centre ville, la Touraine.....etc....

Quant à toi, mon p'tit bonhomme, il est hors de question de t'arrêter en si bon chemin...Je compte sur toi, LUC-YVON-LUCIEN....Je sais que tu possèdes encore des écrits comme l'olivaison, un évènement à faire date, Monsieur Tabiste, une histoire de puits....Je sais tout sur toi, mon p'tit père...!!! Attention , je ne te forces pas la main pour autant...OK...???

Merci pour tout, à tous ceux qui participent de quelque manière que ce soit à la vie de notre Journal.

Crémault Marie Joëlle Lun 2 Juil - 18:55

merci ALAIN
je ne rajeunis pas , je ne lis pas la date de la photo d'école, le jeune garçon blond, qui fait le pendant de monsieur SAN.SON, n'est-ce pas déjà un futur instituteur

AH LUC YVON !!!ce devait être son style, le même que Lucien. le blédard qui remonte l'avenue.
mais quelle sensibilité, mais quel caractère "à mauvais caractère, coeur généreux" j'ajouterai à grande sensibilité, homme écorché.

qu'est-ce que vous croyez, l'orthographe, science des anes, mais aussi un manque de relecture quand le téléphone sonne et que l'on veut envoyer une réponse, ou alors dyslexie , les dyslexiques seraient plus intelligents que la moyenne!!! chacun y trouve son compte. et tout simplement des fautes, Pitié ce qui compte c'est le texte.

Invité Lun 27 Aoû - 13:41

Permettez-moi chers amis de vous raconter une petite anecdote, une vraie !
Aït Ya'zem, au temps du protectorat français:
A chaque fin de journée, les ouvriers agricoles faisaient la queue pour récupérer leur salaire quotidien.
Tout le monde attendait avec impatience Msiou Boussa et Msiou Boustifa.

Boustifa n'était autre que Monsieur GROSTEFAN, le patron le propriétaire de la ferme, et Boussa était Monsieur Poncin son comptable.
Les pauvres ouvriers, dont la plupart n'ont jamais été à l'école, n'arrivaient pas à prononcer les diphtongues ON et AN.

A cette occasion, je salue à un certain Boustifa de notre forum, notre cher camarade.

Lucien Calatayud Lun 27 Aoû - 14:56

Cher ami Abdel

J'ai longtemps habité aux Aït Ya'zem. J'ai même travaillé quelques années dans la propriété que dirigeait mon père. Sans vouloir contester ce que tu nous dis, Je puis t'affirmer que "chez-nous" la paye se faisait par quinzaine. Exception faite bien entendu lorsque pour une raison ou pour une autre, un employé non sédentaire réclamait son compte.

Grostefan Alain Lun 27 Aoû - 15:49

ABDEL

Ton histoire est comme celle de l'ordre - dans l'armée - donné par le colonel et qui arrivait au bas de l'échelle hiérarchique complètement déformé.

1) Mon père (Grostéfan Emile) était appelé "M'siou Mil" par les ouvriers. Il était simple commis, même pas gérant. S'il avait été propriétaire j'aurais maintant un chateau dans l'Oise et un Riad à Marrakech etc.. Les ouvriers étaient payés chaque quinzaine (jeudi de bonne heure pour pouvoir aller au souk) et avaient droit à du blé. La ferme s'appelait ferme TATTET, sise au lieu dit "Chez Maria" et lieu-dit "Aïn-Chkef, pas celui de Fès.. Tu peux vérifier.

A suivre...(je dois sortir. 1000 excuses)

Je reprends mon histoire: 20h45) J'étais chez IKEA...

2) Mon frère (Grostéfan André) était employé lui aussi dans une ferme du côté de Sebaa-Aïoun. Il n'était pas propriétaire. Simple mécanicien agricole doublé d'un savoir-faire en agriculture. C'est bien possible que c'est lui que les ouvriers appelaient M. BOUSTIFA (de GROSTEFAN à BOUSTIFA il n'y a qu'un pas qui a été vite franchi). Voilà. J'ai connu un certain M. PONSIN à Meknès; une villa vers la goutte de lait. il avait une jolie fille.

Voilà la vérité rétablie.

Amicalement

Alain GROSTEFAN

Lucien Calatayud Lun 27 Aoû - 17:09

ALAIN

Si c'était chez TATTET, on n'est plus du tout dans la région des Aït Ya'zem mais dans celle d'Aïn Taoujdat. Il se trouve que j'ai habité les deux régions et même au village.

Crémault Marie Joëlle Lun 27 Aoû - 21:20

Mais Alain, tu passes par Marseille, , si tu avais eu la ferme, tu aurais fait comme bcp, , travaillé encore plus, skrirat ou rose marie au moment des vendanges???, instit, oh, non, comme l'a dit Lucien, tu aurais pris la fuite, ou si tu étais resté sur une ferme t'appartenant, tu aurais tout réinvesti, agrandissant ton vignoble, et tu aurais perdu comme les autres ......regarde un riad, un chateau? alors qu'un immeuble loué casa, pfitt, pauvre femme qui s'est retrouvée locataire où elle était propriétaire.
Vas dans le calvados jouer au loto, c'est presque plus sûr que de travailler la terre au maroc à une certaine époque
Ca y est j'ai une vraie piste pour les enfants "GRASSET. "ils étaient bien de notre région.le chateau en Bordelais a été revendu il y a bien longtemps, je l'ai aperçu dans un film sur la tv, sur une histoire romancée de la vie des domaines du bordelais.La dernière grande rencontre en france dans les années 70, c'était pour le mariage du fils KHOOLEN/FERRARI. Sûrement les dernières grandes retrouvailles des colons de Meknès, ensuite, ce sont les enterrements qui ont commencés...
On ne nous dit....pas tout

Grostefan Alain Lun 27 Aoû - 21:43

LUCIEN

Oui c'était la ferme TATTET.. Jean TATTET, un géant (2,08m) étant le propriétaire, M. ISMAN Edmond le gérant et mon père le commis (l'homme à tout faire et peu rétribué).
Quant à mon frère il a travaillé chez M. FAGES Pierre et ensuite chez Mme THIEDEY dont la ferme jouxtait celle des LALLEMAND (après l'école d'Agriculture).

Invité Mar 28 Aoû - 13:40

Chers amis Lucien et Alain,
Merci pour vos précisions.

Alain
L'anecdote que j'ai raconté plus haut m'a été racontée par le fils de M Poncin qui avait effectivement une villa vers la goutte de lait (Route de Moulay Idriss). Il enseignait au lycée Lalla Amina (ex Lycée Poeymirau). Il était également comptable. Probablement le Boustifa en question etait un parent à toi.

Bonne journée

René Hermitte Mar 28 Aoû - 14:36

Salut Abdel
Je me suis laissé dire que le PONCIN dont tu parles avait été proviseur au Lycée Poéymirau...
A plus

Grostefan Alain Mer 29 Aoû - 11:06

ABDEL

Salam âlik. Ce M. PONSIN dont tu parles s'y connait peut-être en comptabilité mais ne semble pas connaître grand-chose à l'histoire des fermes. Confondre le propriétaire avec le commis c'est faire preuve de légèreté voire d'ignorance. Chi bass ma kan. ça me rappelle certains journalistes qui lancent des "nouvelles" non vérifiées.

Es-tu au courant du piège tendu par le "Petit Marocain" à "L'Opinion"? Sinon je la conterai.

Tu sais comment m'appelaient les ouvriers? "Ali oueld l'koumiss dial Isman". Et à la cave coopérative c'était "M'siou Alane". Ma mère c'était "Mme Mil". "Manirouze" c'était ma soeur (Marie-Rose). C'était normal et non choquant. Les relations étaient très bonnes.

Amicalement

Alain

Lucien Calatayud Mer 29 Aoû - 11:19

ALAIN

Je traduis puisque tu ne l'as pas fait:

Ali (au lieu de Alain) fils du commis de Isman.

On attend que tu nous rappelle le piède tendu par le journal. J'ai dû le savoir mais...

Grostefan Alain Jeu 30 Aoû - 11:41

LUCIEN

A la demande générale du seul LUCIEN voici l'histoire vraie.

Le quotidien « l’Opinion » piégé par le quotidien « Le Matin du Sahara » (ex-Le Petit Marocain). Cela se passe en 1972.

Le Matin du Sahara se faisait piquer ses informations qui étaient reproduites par divers quotidiens du Maroc et en particulier par l’Opinion.

Le Matin du Sahara eut l’idée d’entrainer ses « copieurs » sur « La lutte pour son indépendance du peuple de l’ile de CLIPPERTON, Clipperton étant une possession française dans le Pacifique. Et le poisson mordit à l’hameçon. C’était à qui faisait le papier le plus virulent contre cette France coloniale et dominatrice alors que le peuple de l’ile souffrait etc…

C’est le journal Le Monde qui découvrit le canular. Comment ? Tout simplement parce que l’ile de Clipperton n’est qu’un tout petit atoll inhabité sauf par les goélands et autres mouettes !

Quelle honte pour les « fraudeurs. Ils n’avaient même eu l’idée de se renseigner sur cette ile.

Ci-dessous :
Ce qu’on peut lire sur le net citant l’Opinion

Historique de l’ile de Clipperton

1) « En 1972, le journal “L'Opinion” publie un reportage intitulé : “L'île de Clipperton ; une colonie française en gestation” faisant état des communiqués violemment anticolonialistes du MIC, Mouvement pour l'Indépendance de Clipperton. Ces articles seront repris dans quelques journaux et même dans des quotidiens marocains avant qu’on ne s’aperçoive à la lecture du quotidien Le Monde qu’il ne s’agit que d’un canular ! »

2)L’ile de CLIPPERTON

L'île de Clipperton, aussi appelée Clipperton ou encore île de la Passion, est une possession française composée d'un unique Atoll britanique situé dans l'Océan Pacifique 12 000 kilomètres de la France Métropolitaine et 1 280 kilomètres à l'ouest du Mexique

Seul atoll corallien de cette partie de l'Océan Pacifique, l'île de Clipperton a une forme sub-circulaire de douze kilomètres de circonférence. La superficie des terres émergées n'est que de 1,7 km² et le point culminant est un rocher volcanique de 29 mètres d’altitude, qui émerge du lagon.

Le sol de l'atoll est constitué de graviers et sables coralliens souvent cimentés de Guano. La houle importante dans cette région rend tout débarquement périlleux.

CLIPPERTON vue par satellite
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Contenu sponsorisé