Jeux, Souvenirs et Articles d'école 1

Bonsoir à tou(te)s,
Les garçons aussi pratiquaient l'art (!) du tricotin et jouaient aux osselets.
Je me souviens qu'avec les mètres de cordonnets que nous fabriquions mes cousines confectionnaient de petites couvertures pour les lits de leurs poupées.
Pour les osselets, les plus prisés étaient les "vrais", en os! Que de parties, que de criailleries et de disputes! On y jouait surtout à la ferme, lorsqu'il pleuvait et que l'on ne pouvait pas sortir.

Amitiés.
Jean RIOTTE

C'est à Meknès-Plaisance, au Collège Saint-Philippe de Néri (les Oratoriens), que j'ai le plus pratiqué ce jeu. De la 6ème à la 4ème. Surtout en 4ème.
Je n'ai jamais su d'où pouvait venir ce jeu et ce que pouvait signifier "tchintcha la fava". Si des spécialistes peuvent nous éclairer...
L'estaque... c'est à Port-Lyautey que j'ai connu ma grande période "estaque". Celle que tu nous montres était le dernier modèle sorti, le plus sophistiqué. Faute d'oliviers on se contentait d'un manche en V sur lequel étaient directement fixés les élastiques noirs des chambres à air de camion qui avaient la réputation d'être les plus solides. Au bout des élastiques le morceau de cuir ou de grosse toile pour placer le projectile.
A l'époque j'habitais un quartier militaire constitué de villas et petits immeubles de 2 étages. Nous quadrillions littéralement l'espace que nous nous partagions par groupes de 2 à 3 "chasseurs". Nous y passions des après-midis entières... Puis on se réunissait dans le jardin d'une villa inoccupée, on mettait le produit de la chasse en commun et après avoir sommairement plumé et vidé les volatiles, nous les faisions cuire sans faire trop de fumée pour ne pas se faire repérer par des parents!!! En dépit d'une cuisson elle aussi sommaire, nous avalions çà de bon coeur et HEU-REUX!
Amitiés.
Jean

André bonsoir,
Comme tu as perdu le tiens je te donne le miens je n'en ai plus besoin,regarde la date,je l'ai passé a 14 ans,et mon frére l'a passé en même temps que moi lui a 16 ans , pour faire plaisir à mon pére , nous étions au lycée M.I, lui a été reçu le premier de tout le Maroc et moi le deuxième a 1/2 point.
Par la même occasion je t'offre mes brevets sportifs je ne pourrais plus courrir le 1.000 mètre en 3 mn01.
Amitiés Adrien Paul

Bonjour à tou(te)s,
Salut François,
Photographie très intéressante car l'on voit la Place du Caméra (place de Gaulle à l'époque?) avant que le Café REX (toile à grosses rayures) et le Salon de thé-pâtisserie BAGATELLE (rayures plus fines à gauche) ne soient surélevés de 2 ou 3 étages.
On voit également le début de la rue de MARSEILLE (aujourd'hui, rue piétonne) et la terrasse du POKER d'AS. Avec une bonne paire de lunettes (type lunettes en bois/plexiglass rayé) on devrait apercevoir le kanoune du marchand de brochettes!
Amitiés.
Jean RIOTTE.

              Quant aux garçons, cet objet s'impose...

L'estac, le lance pierres, la tire boulettes...On trouvait les élastiques carrés aux baraques de CHICAGO...Je me souviens revenir de la "petite source"  avec les piafs que l'on avait zigouillé (le terme est dur mais on s'exprimait ainsi) accroché par la ceinture du pantalon tout autour de la taille, pendant lamentablement... On n'était pas peu fier... Je revois un certain Claude, frère de RIQUET, qui lui, "attrapait" les moineaux à la glu.

Re-,
Salut Jimmy,
Il m'est impossible de répondre à ta question.
A Meknès je ne fréquentais pas les bars!
ZITOUNE, arrête de rigoler grassement dans ton coin et dans mon dos. Tu crois que je ne t'entends pas?    à défaut de te voir.
@ +
Jean.

André bonsoir



Pour ton estaque, le manche est pas mal , le cuir est bon mais pour les attaches tu repasseras me voir je te montrerai comment en fait ,les rois de  de l'estaque sans contestations on peut dire que c'était les frères Fajardo rue de la gare,  mon copain Cordova et moi même nous n'étions pas mauvais, mais moi j'avais un avantage sur tout le monde , les projectiles de temps a autre les billes en terre mais surtout ceux que je fabriquais dans l'atelier de mon père a la poinsonneuse 1cm de diamètre et 5mn d'épaisseur encore un deuxième avantages en plus des piafs sans trop se fatiguer tout les soirs dans les eucalliptus en face de la maisons c'était des milliers de bergeronettes qui venaient dormir le complet etait vite fait , je cite encore deux artistes de la rue branly tu connais peut être les fréres Salas ,François et Michel moi mon estaque je l'avais toujours dans mon cartable.
pour la glue je te donnerai la recette de fabrication et le mode d'emploie plus tard là aussi c'est tout un art.
à bientôt Adrien

Christiane - En effet jouer a la marelle... donc ca se joue encore) ou sauter a la corde est beaucoup plus "civilise" qu'attraper des petits oiseaux avec de la glue...ahahah  Tiens a mon prochain coup de telephone a mes cousins d'Ifrane pour savoir si eux aussi pratiquaient ce sport...En tous les cas ils ne l'ont jamais fait en face de moi. Nous allions tous pecher des petites truites dans les ruisseaux de la foret de Jaba.

André
Une histoire vérédique qui nous est arrivée a Fernand Gabel et moi.
Qn allait au champs de tir dérrière L'école , tout les 50m il y avait une porte pour accéder aux cibles 50m 100m 150m 200m et un fossé de protection pour ceux qui instalaient les cibles nous on passait sous les portes pour aller récupérer les balles qui tombées dans le fossé ,un projectile idéal pour la tireboulette une fois en sortant un militaire (peut être un bleu) nous a fait les somations d'usages il était à 100m nous on s'est barré dans le champs de blé lui il nous a tiré dessus avec un PM dans les blés c'était comme des milliers de balles on s'en ai sorti avec une peur bleu mais le champs de tir c'était terminé.
quand je pense aux conneries qu'on a fait (bien pire) j'en ai des sueurs froides
au plaisir de vous lire.
adrien

La toupille n'est pas conforme, il fallait couper la carotte la décorée et changer la pointe pour jouer à casse toupille ou au cercle chacun mettais une pièce de 5 franc (anciens) en allu
chacun son tour de jouer,on pouvait la prendre dans la main tant qu'elle tournait et la faire tomber de haut.
amitiés Adrien