Les Autres Transports
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CONRAD-BRUAT Xavier
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Grostefan Alain- Messages : 14146
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CONRAD-BRUAT Xavier- Messages : 6240
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Re: Les Autres Transports
Dernière édition par Admin le Sam 19 Jan - 20:29, édité 2 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
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Re: Les Autres Transports
...Encore plus beau, Xavier....le 125 cm3 FORMICHINO (1954 - 1960)
MOTEUR: deux temps bi-cylindre horizontal - Cylindrée: 124,68 cm3 à existé aussi en 150 cm3 en 1958
Le nombre de fois où l'on a pu râler, nous z'ôtres les piétons de l'avenue à voir passer ces engins de folie (pour l'époque) conduits par des potes en complet-veston, cravaté et chaussé à souhait...Dur, dur pour être gagnant à la chasse aux filles...
MOTEUR: deux temps bi-cylindre horizontal - Cylindrée: 124,68 cm3 à existé aussi en 150 cm3 en 1958
Le nombre de fois où l'on a pu râler, nous z'ôtres les piétons de l'avenue à voir passer ces engins de folie (pour l'époque) conduits par des potes en complet-veston, cravaté et chaussé à souhait...Dur, dur pour être gagnant à la chasse aux filles...
Dernière édition par Admin le Ven 25 Sep - 17:22, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Les Autres Transports
ALAIN...
Tu as froid...??? Pas trop de dégâts tout de même à Châlons...??? As tu résolu ton Pb d'ordi...???
...mariage savant et intelligent d'une demie moto et d'une demi charrette...
Tu as froid...??? Pas trop de dégâts tout de même à Châlons...??? As tu résolu ton Pb d'ordi...???
...mariage savant et intelligent d'une demie moto et d'une demi charrette...
Dernière édition par Admin le Mer 22 Fév - 15:49, édité 1 fois
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Re: Les Autres Transports
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Re: Les Autres Transports
Les charrettes perturbent la circulation
Les charrettes tirées par les mulets constituent toujours un moyen de transport de prédilection pour une grande partie de la population. En effet, pour se déplacer d’un quartier à un autre, beaucoup préfèrent prendre une cariole.
Pour se déplacer dans les petits quartiers et les petites villes, beaucoup de gens prennent les charrettes tirées par les mulets. Inconscients des dangers qu’ils encourent, ils les préfèrent au bus ou aux taxis, qui sont pourtant des moyens de transport sûrs et confortables.
A Azrou... Photos prises d'un "cimetière" à charrettes enlevées lors de rafles... (à charrettes)
...
.......
Les charrettes tirées par les mulets constituent toujours un moyen de transport de prédilection pour une grande partie de la population. En effet, pour se déplacer d’un quartier à un autre, beaucoup préfèrent prendre une cariole.
Pour se déplacer dans les petits quartiers et les petites villes, beaucoup de gens prennent les charrettes tirées par les mulets. Inconscients des dangers qu’ils encourent, ils les préfèrent au bus ou aux taxis, qui sont pourtant des moyens de transport sûrs et confortables.
A Azrou... Photos prises d'un "cimetière" à charrettes enlevées lors de rafles... (à charrettes)
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Dernière édition par Admin le Ven 25 Sep - 17:22, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Les Autres Transports
Pour continuer le sujet sur le Pb de la circulation dans les villes relaté par Abdelwarreh Rmiche, ci après, une vidéo prise à OUJDA, qui fait mention d'une rafle des charrettes, lesquelles sont entreposées dans un endroit clos, attendant peut être leur démolition... Le début de la fin des charrettes au Maroc...??? ce serait dommage...!!!
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Dernière édition par Admin le Mar 22 Mar - 20:43, édité 3 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Les Autres Transports
Ces drôles de voitures d'avant guerre...
... Engin militaire ...pour la guerre en dentelle...
... Engin militaire ...pour la guerre en dentelle...
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Les Autres Transports
Le transport pour les enfants...
..
..
Dernière édition par Admin le Mar 17 Avr - 20:14, édité 2 fois
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Re: Les Autres Transports
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Re: Les Autres Transports
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Re: Les Autres Transports
C'était peut être dans ce car que...
Nous sommes en 1930. Sur le trajet d'Oujda à Fes, quelques jours après ma naissance.
Extrait de mes mémoires:
Le car allait maintenant bon train. Amorphes, certains occupants sommeillaient, d’autres feuilletaient un journal, tirant avec une sorte de délice sur leur cigarette, sur leurs pipes ou sur un gros cigare, ne se souciant le moins du monde des toussotements de passagères incommodées par les épais rejets de fumées. De son côté, confiant, le chauffeur laissait tranquillement son véhicule dévorer du macadam. La forte déclivité qu’il avait entamée en milieu de parcours ne présentait somme toute rien d’exceptionnel pour un pilote aussi éprouvé. Cela faisait des années qu’il parcourait ce même trajet qui plus est au volant du même engin. Ayant tout de même légèrement appuyé par simple précaution son pied sur la pédale de freinage, voilà qu’il se rend compte que nulle réaction ne s’en suivait. Le système ne répondait plus du tout. Saisi d’effroi, il n’en souffle cependant mot à personne. S’agrippant à sa direction, il maintient sans effort son car au beau milieu de la chaussée. Sans doute alors se persuadait-il qu’il ne pouvait s’agir là que d’un simple et très occasionnel disfonctionnement, qui avait toutes chances de se rétablir. En homme averti, prenant toujours garde de n’affoler personne, ayant atteint le plus bas de la descente, plutôt que de tenter par quelque autre moyen de freinage de stopper son car, il pousse tout au contraire le moteur à son plein régime l’obligeant ainsi à gravir à très vive allure la pente raide du flan opposé. Le nouveau plat recouvré, il hasarde quelques nouvelles poussées sur la pédale du frein. En vain ; l'incident persistant, la tentative demeure bien évidemment inopérante. Et tandis que, ne se doutant de rien, quelques femmes minaudaient devant le bébé, comblant la maman de compliments, que d’autres conversaient bruyamment et que d’autres encore continuaient de froisser les pages de leur canard, empestant l’entourage de fumées, sans nulle tergiversation, le chauffeur dirige tout droit son véhicule sur une grosse pierre laquelle tombée d’un charroi était demeurée sur le rebord de la chaussée.
« Ce ne peut être là que le fait d’une providence s’était-il dit ».
Certes, le choc parvint à stopper l'engin. Mais combien de passagers soulevés de leurs sièges s’étaient retrouvés le cul sur le plancher, que de crânes projetés contre la tôle du toit s’étaient retrouvés meurtris, que de valises délogées des portes bagages avaient échoué sur des têtes ! En bref une indicible confusion qui n’était pas prête de s’effacer des mémoires. Hurlements, plaintes, implorations adressées au Ciel, tout se confondait. S’apercevant tout soudainement que son bébé ne se trouvait plus dans ses bras, saisie d’épouvante, la jeune maman vous pousse de son côté un tel hurlement de détresse, qu’ameutés et oublieux de leurs propres maux, la plupart des passager, plus ou moins amochés se précipitent auprès de celle qui, au bord de la défaillance cherchait partout son rejeton. Mais alors que l’on s’attendait au pire, alors que les plus ferventes des femmes se signaient déjà, priant pour le repos de l’âme de l’innocente créature cruellement arrachée des bras de sa mère, probablement expulsée au travers de l’une des vitres restées baissées, c’est bientôt un grand fou rire qui s’empare brusquement de l’assistance. Jeté tout droit dans les airs, bébé s’était tout bonnement retrouvé dans les filets des bagages à mains, juste au dessus de la maman. Il y gesticulait nerveusement ne paraissant aucunement apprécier le piètre confort de simples lattes de bois. D’une pâleur extrême, l’on crut que la mère ne s’en remettrait plus. C’est tout juste si on l’entendit chuchoter:
« Mais ça n’en finira donc pas ? Qu’ai-je donc fait pour mériter pareilles frayeurs ? Il me les aura toutes faites ce petit. Après la broche avalée, ce saut. C’en est trop ! Je ne pourrai rien supporter d’autre ! »
Et que dire du chauffeur ? Non remis de ses émotions et encore tout tremblotant et bégayant craignant au surplus de se voir saisir par le col et malmené, il entreprit au plus vite d’expliquer les raisons qui le conduirent à provoquer un tel cahot. Des paroles qui lui valurent une avalanche de louanges et de remerciements. L’on n’en finissait plus de vanter la sagesse de sa décision, son professionnalisme ainsi que le sang froid dont il avait fait preuve.
PS: Le bébé est devenu un chibani.
Nous sommes en 1930. Sur le trajet d'Oujda à Fes, quelques jours après ma naissance.
Extrait de mes mémoires:
Le car allait maintenant bon train. Amorphes, certains occupants sommeillaient, d’autres feuilletaient un journal, tirant avec une sorte de délice sur leur cigarette, sur leurs pipes ou sur un gros cigare, ne se souciant le moins du monde des toussotements de passagères incommodées par les épais rejets de fumées. De son côté, confiant, le chauffeur laissait tranquillement son véhicule dévorer du macadam. La forte déclivité qu’il avait entamée en milieu de parcours ne présentait somme toute rien d’exceptionnel pour un pilote aussi éprouvé. Cela faisait des années qu’il parcourait ce même trajet qui plus est au volant du même engin. Ayant tout de même légèrement appuyé par simple précaution son pied sur la pédale de freinage, voilà qu’il se rend compte que nulle réaction ne s’en suivait. Le système ne répondait plus du tout. Saisi d’effroi, il n’en souffle cependant mot à personne. S’agrippant à sa direction, il maintient sans effort son car au beau milieu de la chaussée. Sans doute alors se persuadait-il qu’il ne pouvait s’agir là que d’un simple et très occasionnel disfonctionnement, qui avait toutes chances de se rétablir. En homme averti, prenant toujours garde de n’affoler personne, ayant atteint le plus bas de la descente, plutôt que de tenter par quelque autre moyen de freinage de stopper son car, il pousse tout au contraire le moteur à son plein régime l’obligeant ainsi à gravir à très vive allure la pente raide du flan opposé. Le nouveau plat recouvré, il hasarde quelques nouvelles poussées sur la pédale du frein. En vain ; l'incident persistant, la tentative demeure bien évidemment inopérante. Et tandis que, ne se doutant de rien, quelques femmes minaudaient devant le bébé, comblant la maman de compliments, que d’autres conversaient bruyamment et que d’autres encore continuaient de froisser les pages de leur canard, empestant l’entourage de fumées, sans nulle tergiversation, le chauffeur dirige tout droit son véhicule sur une grosse pierre laquelle tombée d’un charroi était demeurée sur le rebord de la chaussée.
« Ce ne peut être là que le fait d’une providence s’était-il dit ».
Certes, le choc parvint à stopper l'engin. Mais combien de passagers soulevés de leurs sièges s’étaient retrouvés le cul sur le plancher, que de crânes projetés contre la tôle du toit s’étaient retrouvés meurtris, que de valises délogées des portes bagages avaient échoué sur des têtes ! En bref une indicible confusion qui n’était pas prête de s’effacer des mémoires. Hurlements, plaintes, implorations adressées au Ciel, tout se confondait. S’apercevant tout soudainement que son bébé ne se trouvait plus dans ses bras, saisie d’épouvante, la jeune maman vous pousse de son côté un tel hurlement de détresse, qu’ameutés et oublieux de leurs propres maux, la plupart des passager, plus ou moins amochés se précipitent auprès de celle qui, au bord de la défaillance cherchait partout son rejeton. Mais alors que l’on s’attendait au pire, alors que les plus ferventes des femmes se signaient déjà, priant pour le repos de l’âme de l’innocente créature cruellement arrachée des bras de sa mère, probablement expulsée au travers de l’une des vitres restées baissées, c’est bientôt un grand fou rire qui s’empare brusquement de l’assistance. Jeté tout droit dans les airs, bébé s’était tout bonnement retrouvé dans les filets des bagages à mains, juste au dessus de la maman. Il y gesticulait nerveusement ne paraissant aucunement apprécier le piètre confort de simples lattes de bois. D’une pâleur extrême, l’on crut que la mère ne s’en remettrait plus. C’est tout juste si on l’entendit chuchoter:
« Mais ça n’en finira donc pas ? Qu’ai-je donc fait pour mériter pareilles frayeurs ? Il me les aura toutes faites ce petit. Après la broche avalée, ce saut. C’en est trop ! Je ne pourrai rien supporter d’autre ! »
Et que dire du chauffeur ? Non remis de ses émotions et encore tout tremblotant et bégayant craignant au surplus de se voir saisir par le col et malmené, il entreprit au plus vite d’expliquer les raisons qui le conduirent à provoquer un tel cahot. Des paroles qui lui valurent une avalanche de louanges et de remerciements. L’on n’en finissait plus de vanter la sagesse de sa décision, son professionnalisme ainsi que le sang froid dont il avait fait preuve.
PS: Le bébé est devenu un chibani.
Lucien Calatayud- Messages : 5485
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CONRAD-BRUAT Xavier- Messages : 6240
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Re: Les Autres Transports
GHISLAINE
Ce chameau c'est BOBOSSE le chameau offert à notre président normal de la république normale lors de son voyage éclair normal à Tombouctou. Quoi de plus normal? Mais ce dromadaire aurait été volé avant d'être offert et ça c'est pas très normal....
Voir ci-dessous la rumeur qui a couru sur le net.
LA rumeur court à Tombouctou. Le chameau (le jeune dromadaire) offert par les autorités maliennes à François Hollande lors de sa visite à Tombouctou, samedi 2 février, aurait été précédemment dérobé à son
propriétaire ...
L'animal a été offert à François Hollande le 2 février, accueilli en libérateur dans la grande cité du Nord-Mali. Un Malien affirme en tout cas que le chameau lui appartient et qu'il lui a été dérobé avant d'être remis au Président français, rapporte Al Arabiya News. Réfugié dans le camp d'Ambra situé à la frontière mauritano-malienne, cet habitant de Tombouctou aurait réclamé son animal. Au départ, c'est une belle histoire, le symbole de l'amitié entre le Mali et la France. A son arrivée samedi dernier dans la ville de Tombouctou, François Hollande s'est vu offrir un chameau, « en guise de reconnaissance » par les autorités maliennes.
L'information a déjà fait le tour des réseaux sociaux, où les internautes n'hésitent pas à ironiser sur cette histoire insolite.
Ce chameau c'est BOBOSSE le chameau offert à notre président normal de la république normale lors de son voyage éclair normal à Tombouctou. Quoi de plus normal? Mais ce dromadaire aurait été volé avant d'être offert et ça c'est pas très normal....
Voir ci-dessous la rumeur qui a couru sur le net.
LA rumeur court à Tombouctou. Le chameau (le jeune dromadaire) offert par les autorités maliennes à François Hollande lors de sa visite à Tombouctou, samedi 2 février, aurait été précédemment dérobé à son
propriétaire ...
L'animal a été offert à François Hollande le 2 février, accueilli en libérateur dans la grande cité du Nord-Mali. Un Malien affirme en tout cas que le chameau lui appartient et qu'il lui a été dérobé avant d'être remis au Président français, rapporte Al Arabiya News. Réfugié dans le camp d'Ambra situé à la frontière mauritano-malienne, cet habitant de Tombouctou aurait réclamé son animal. Au départ, c'est une belle histoire, le symbole de l'amitié entre le Mali et la France. A son arrivée samedi dernier dans la ville de Tombouctou, François Hollande s'est vu offrir un chameau, « en guise de reconnaissance » par les autorités maliennes.
L'information a déjà fait le tour des réseaux sociaux, où les internautes n'hésitent pas à ironiser sur cette histoire insolite.
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
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CONRAD-BRUAT Xavier- Messages : 6240
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Grostefan Alain- Messages : 14146
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