Les Cies Générales de Navigation
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Les Cies Générales de Navigation
La Marine au Maroc
En 1904, à l’initiative du Sultan Moulay Abdelaziz les autorités passèrent un contrat avec la société française dénommée Compagnie Marocaine, pour la construction et l’aménagement d’un petit port destiné à abriter les barcasses qui servaient au chargement et au déchargement des navires et qui étaient fréquemment endommagées par le gros temps.
Le projet était modeste. Les cargos continueraient à se maintenir à 1000 ou 1200 mètres de la côte, mais deux petites jetées devaient être construites pour protéger un bassin de dix hectares, qui permettrait aux barcasses d’accoster plus facilement et de faire les manutentions en eau calme. En outre elles seraient ainsi abritées de la grosse houle et des tempêtes d’hiver
Mais en raison du mauvais temps les travaux accusèrent un grand retard. Durant l’hiver 1909/10 la mer emportait cinquante mètres de la jetée nouvellement construite ;
en 1910-11 une houle violente ravageait les terre-pleins ; fin décembre 1912 un ouragan détruisit ou mit hors de service 9 barcasses et un remorqueur ; dans la première quinzaine de janvier 1913 une série de tempêtes jetèrent à la côte cinq voiliers avec leur cargaison.
En 1907 la France débarque au Maroc pour aider le régime chérifien à maintenir l'ordre dans les tribus. La Marine participe à cette importante opération en protégeant les convois et en assurant le débarquement des troupes.
Le port de Casablanca fut de tout temps et jusqu’en 1932, année de la mise en service du môle de commerce, un port à barcasses. En 1904, à l’initiative du Sultan Moulay Abdelaziz les autorités passèrent un contrat avec la société française dénommée Compagnie Marocaine, pour la construction et l’aménagement d’un petit port destiné à abriter les barcasses qui servaient au chargement et au déchargement des navires et qui étaient fréquemment endommagées par le gros temps.
En juillet 1907, une entreprise française, la Compagnie Marocaine, filiale de Schneider, exploite un petit train « Decauville » pour les travaux d'aménagement du port qui se réduit, à l'époque, à une simple darse impraticable par mauvais temps.
L'armée française commandée par le général Drude prit le contrôle de la ville. Ses successeurs les généraux d'Amade et Moinier occupèrent progressivement les régions avoisinantes de la Chaouia et des Doukkala. La signature du traité de Fès par le sultan Moulay Abd al-Hafid, instaura en 1912 le protectorat français du Maroc. Le protectorat, sous la direction du maréchal Lyautey, se traduit pour Casablanca par la construction d'un des plus grands ports d'Afrique et son explosion urbaine, disciplinée par les plans d'urbanisation de Prost, puis de Michel Écochard.
A partir du 2 septembre 1939 les bureaux de Poste Navale sont installés dans les ports. Chaque bureau recevait un timbre à date portant son nom suivi de Naval.
Extrait de "La marine au Maroc : Casablanca", dont je remercie l'auteur.
La Marcophilie navale: La marine au Maroc : Casablanca (envelopmer.blogspot.com)
https://envelopmer.blogspot.com/2011/12/la-marine-au-maroc-casablanca.html
En 1904, à l’initiative du Sultan Moulay Abdelaziz les autorités passèrent un contrat avec la société française dénommée Compagnie Marocaine, pour la construction et l’aménagement d’un petit port destiné à abriter les barcasses qui servaient au chargement et au déchargement des navires et qui étaient fréquemment endommagées par le gros temps.
Le projet était modeste. Les cargos continueraient à se maintenir à 1000 ou 1200 mètres de la côte, mais deux petites jetées devaient être construites pour protéger un bassin de dix hectares, qui permettrait aux barcasses d’accoster plus facilement et de faire les manutentions en eau calme. En outre elles seraient ainsi abritées de la grosse houle et des tempêtes d’hiver
Mais en raison du mauvais temps les travaux accusèrent un grand retard. Durant l’hiver 1909/10 la mer emportait cinquante mètres de la jetée nouvellement construite ;
en 1910-11 une houle violente ravageait les terre-pleins ; fin décembre 1912 un ouragan détruisit ou mit hors de service 9 barcasses et un remorqueur ; dans la première quinzaine de janvier 1913 une série de tempêtes jetèrent à la côte cinq voiliers avec leur cargaison.
En 1907 la France débarque au Maroc pour aider le régime chérifien à maintenir l'ordre dans les tribus. La Marine participe à cette importante opération en protégeant les convois et en assurant le débarquement des troupes.
Le port de Casablanca fut de tout temps et jusqu’en 1932, année de la mise en service du môle de commerce, un port à barcasses. En 1904, à l’initiative du Sultan Moulay Abdelaziz les autorités passèrent un contrat avec la société française dénommée Compagnie Marocaine, pour la construction et l’aménagement d’un petit port destiné à abriter les barcasses qui servaient au chargement et au déchargement des navires et qui étaient fréquemment endommagées par le gros temps.
En juillet 1907, une entreprise française, la Compagnie Marocaine, filiale de Schneider, exploite un petit train « Decauville » pour les travaux d'aménagement du port qui se réduit, à l'époque, à une simple darse impraticable par mauvais temps.
L'armée française commandée par le général Drude prit le contrôle de la ville. Ses successeurs les généraux d'Amade et Moinier occupèrent progressivement les régions avoisinantes de la Chaouia et des Doukkala. La signature du traité de Fès par le sultan Moulay Abd al-Hafid, instaura en 1912 le protectorat français du Maroc. Le protectorat, sous la direction du maréchal Lyautey, se traduit pour Casablanca par la construction d'un des plus grands ports d'Afrique et son explosion urbaine, disciplinée par les plans d'urbanisation de Prost, puis de Michel Écochard.
A partir du 2 septembre 1939 les bureaux de Poste Navale sont installés dans les ports. Chaque bureau recevait un timbre à date portant son nom suivi de Naval.
Extrait de "La marine au Maroc : Casablanca", dont je remercie l'auteur.
La Marcophilie navale: La marine au Maroc : Casablanca (envelopmer.blogspot.com)
https://envelopmer.blogspot.com/2011/12/la-marine-au-maroc-casablanca.html
Dernière édition par Admin le Lun 12 Déc - 16:13, édité 6 fois
Paul Tissier DCD- Messages : 340
Date d'inscription : 18/10/2010
Localisation : La seyne sur Mer
Jean Riotte
bonjour à tous
Christiane,Ghislaine,Paul
elles sont super vos affiches
mais où allez_vous chercher ces trésors .
Félicitations
Christiane,Ghislaine,Paul
elles sont super vos affiches
mais où allez_vous chercher ces trésors .
Félicitations
Jean Riote- Invité
Les Compagnies Maritimes
ghislaine
"mixte" veut certainement signifier "passagers " et cargo"marchandises",à moins que ce ne soit "fer,mer" Rudy me dira si j'ai raison.
"mixte" veut certainement signifier "passagers " et cargo"marchandises",à moins que ce ne soit "fer,mer" Rudy me dira si j'ai raison.
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Amitiés Christiane
Re: Les Cies Générales de Navigation
Cette histoire comme tout ce qui a un lien avec Meknes me tient à coeur. C'est un devoir du souvenir
Plaque commémorative placée dans la Chapelle des marins de Bonsecours à DIEPPE.
Le Meknès est un paquebot français de la Compagnie générale transatlantique lancé en 1913. Réquisitionné lors de la Seconde Guerre mondiale, il est torpillé au large de Dieppe, par les Allemands le 24 juillet 19401 alors qu'il rapatriait d'Angleterre des soldats français après la signature de l'Armistice, provoquant la mort de 420 hommes.
La stèle à la mémoire des disparus en mer du MEKNES.
Le paquebot, construit dans les chantiers de Normandie au Grand-Quevilly, est lancé en mai 1913 et est armé par la Compagnie générale transatlantique. Il est baptisé sous le nom de Puerto Rico et navigue alors sur la ligne Le Havre-Haïti2. Renommé Meknès, il assure ensuite la ligne Bordeaux-Casablanca2. Il est le sister-ship du Marrakech.
Jean
Plaque commémorative placée dans la Chapelle des marins de Bonsecours à DIEPPE.
Le Meknès est un paquebot français de la Compagnie générale transatlantique lancé en 1913. Réquisitionné lors de la Seconde Guerre mondiale, il est torpillé au large de Dieppe, par les Allemands le 24 juillet 19401 alors qu'il rapatriait d'Angleterre des soldats français après la signature de l'Armistice, provoquant la mort de 420 hommes.
La stèle à la mémoire des disparus en mer du MEKNES.
Le paquebot, construit dans les chantiers de Normandie au Grand-Quevilly, est lancé en mai 1913 et est armé par la Compagnie générale transatlantique. Il est baptisé sous le nom de Puerto Rico et navigue alors sur la ligne Le Havre-Haïti2. Renommé Meknès, il assure ensuite la ligne Bordeaux-Casablanca2. Il est le sister-ship du Marrakech.
Jean
Jean Riotte- Invité
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Les Compagnies Maritimes
Une autre photo de ce croiseur avec ses cheminées typiques du début du XXème siècle.
Autre photo: outre ses cheminées caractéristiques, remarquez l'aspect massif, "mastoc" de la coque; une véritable muraille d'acier.
Dernière photo. d'un "petit mastodonte" d'une autre époque...
Photographies extraites de Forum Pages 14-18 que je remercie.
Bonjour à tou(te)s,
Ces "jeux de pistes" historiques, c'est plus que sympa. : c'est passionnant... à condition d'aimer l'Histoire... dans le cas présent.
Ce qui est passionnant également c'est la constitution de "réseaux" de connaissances "virtuelles" te permettant d'atteindre tes objectifs.
Comme la langue d'Esope, Internet est la meilleure et la pire des choses ! Pour ma part j'essaie de n'en conserver que le meilleur.
Amitiés,
Jean
Autre photo: outre ses cheminées caractéristiques, remarquez l'aspect massif, "mastoc" de la coque; une véritable muraille d'acier.
Dernière photo. d'un "petit mastodonte" d'une autre époque...
Photographies extraites de Forum Pages 14-18 que je remercie.
Bonjour à tou(te)s,
Ces "jeux de pistes" historiques, c'est plus que sympa. : c'est passionnant... à condition d'aimer l'Histoire... dans le cas présent.
Ce qui est passionnant également c'est la constitution de "réseaux" de connaissances "virtuelles" te permettant d'atteindre tes objectifs.
Comme la langue d'Esope, Internet est la meilleure et la pire des choses ! Pour ma part j'essaie de n'en conserver que le meilleur.
Amitiés,
Jean
Jean Riotte- Invité
Les Compagnies Maritimes
merci Jean pour ces détails concernant ce bateau.Je ne pensais pas en photographiant ce coin que cela ferait couler autant d'encre.Encore merci.
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Amitiés Christiane
Histoires d'une guerre navale
Salam Jean
Nous te suivons attentivement ....
Effectivement les bâtiments des marines étaient de véritables mastodontes à la forme caractéristique, pointus à l'avant et à l'arrière munis d'énormes cheminées et d'une artillerie destructrice .
Nous te suivons attentivement ....
Effectivement les bâtiments des marines étaient de véritables mastodontes à la forme caractéristique, pointus à l'avant et à l'arrière munis d'énormes cheminées et d'une artillerie destructrice .
René Hermitte- Messages : 1403
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 77
Localisation : Toulon La Valette
Autres Paquebots, Insignes et Médailles
Le TITANIC
voici ses villebrequins
Tonnage : 46 329 t - Longueur : 269m - Cheminées : 28,2m - 29 chaudières pour la propulsion - Hélices: 2 latérales à 3 pales et 1 centrale à 4 pales - Vitesse maxi : 25 noeuds Puissance : 70 000 CV Test de résilience:
Alors que le bateau file à 20 noeuds, on arrête subitement les machines et on renverse. Ce test démontre que le TITANIC a besoin de 3,7 km pour s'arrêter. Or quand l'iceberg qui lui a été fatal a été aperçu, il était seulement à 450m en avant de la proue.[/size]
Une turbine
voici ses villebrequins
Tonnage : 46 329 t - Longueur : 269m - Cheminées : 28,2m - 29 chaudières pour la propulsion - Hélices: 2 latérales à 3 pales et 1 centrale à 4 pales - Vitesse maxi : 25 noeuds Puissance : 70 000 CV Test de résilience:
Alors que le bateau file à 20 noeuds, on arrête subitement les machines et on renverse. Ce test démontre que le TITANIC a besoin de 3,7 km pour s'arrêter. Or quand l'iceberg qui lui a été fatal a été aperçu, il était seulement à 450m en avant de la proue.[/size]
Une turbine
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re: Les Cies Générales de Navigation
Le TITANIC(Suite et fin)
ANDRE - LUCIEN
Merci pour vos appréciations. Si j'ai mis ce genre d'information sur le site c'est parce que nombre d'entre vous sont passés par le "technique" via le le lycée du même nom. Moi-même qui ne suis pas versé dans la "mécanique" j'ai été subjugué par le gigantisme de ce mastodonte.
Invitation pour assister à la mise à l'eau
La mise à l’eau a eu lieu le 31 mai 1911 devant 100 000 spectateurs.
La 4ème fausse cheminée ne servait pas à la fumée du charbon mais était située au-dessus de la chambre des turbines. Sa fonction était d’améliorer le prestige et l’allure du paquebot.
Lors de la mise à l’eau, pour que le bateau puisse glisser sur les estrades du chantier il avait fallu utiliser 22 tonnes de suif, d’huile et de savon.
ANDRE - LUCIEN
Merci pour vos appréciations. Si j'ai mis ce genre d'information sur le site c'est parce que nombre d'entre vous sont passés par le "technique" via le le lycée du même nom. Moi-même qui ne suis pas versé dans la "mécanique" j'ai été subjugué par le gigantisme de ce mastodonte.
Invitation pour assister à la mise à l'eau
La mise à l’eau a eu lieu le 31 mai 1911 devant 100 000 spectateurs.
La 4ème fausse cheminée ne servait pas à la fumée du charbon mais était située au-dessus de la chambre des turbines. Sa fonction était d’améliorer le prestige et l’allure du paquebot.
Lors de la mise à l’eau, pour que le bateau puisse glisser sur les estrades du chantier il avait fallu utiliser 22 tonnes de suif, d’huile et de savon.
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Après la Conférence d'Algésiras
1911 - L'incident d'Agadir
L'Allemagne voit dans cette intervention une violation des accords signés à Algésiras cinq ans plus tôt. Elle dirige la canonnière Panther vers Agadir sous prétexte de protéger les entreprises de la région et plus sérieusement pour signifier à la France qu'elle n'a pas tous les droits au Maroc.
La canonnière Panther, sous les murs de la Casbah d'Agadir.
Cinq ans après le Traité d'Algésiras, Guillaume II présenta la canonnière impériale "Panther" devant Agadir. La raison évoquée, protéger les ressortissants allemands au Maroc, mais en fait, c'est plus pour affirmer les prétentions de l'empereur sur le Maroc. Ce qui faillit déclencher une guerre Franco-Allemande d'ailleurs. Cette opération de démonstration de force laissa son nom dans l'histoire sous le terme de "politique de la canonnière".
1912 - Un protectorat éclairé
En attendant, le nouveau gouvernement ne perd pas de temps et dès le 30 mars 1912, il officialise le protectorat de la France sur l'empire chérifien par une convention signée à Fès avec le Sultan. La France complète ainsi sa domination sur l'Afrique du Nord (Maroc, Algérie, Tunisie)... pour moins d'un demi-siècle.
L'Allemagne voit dans cette intervention une violation des accords signés à Algésiras cinq ans plus tôt. Elle dirige la canonnière Panther vers Agadir sous prétexte de protéger les entreprises de la région et plus sérieusement pour signifier à la France qu'elle n'a pas tous les droits au Maroc.
La canonnière Panther, sous les murs de la Casbah d'Agadir.
Cinq ans après le Traité d'Algésiras, Guillaume II présenta la canonnière impériale "Panther" devant Agadir. La raison évoquée, protéger les ressortissants allemands au Maroc, mais en fait, c'est plus pour affirmer les prétentions de l'empereur sur le Maroc. Ce qui faillit déclencher une guerre Franco-Allemande d'ailleurs. Cette opération de démonstration de force laissa son nom dans l'histoire sous le terme de "politique de la canonnière".
1912 - Un protectorat éclairé
En attendant, le nouveau gouvernement ne perd pas de temps et dès le 30 mars 1912, il officialise le protectorat de la France sur l'empire chérifien par une convention signée à Fès avec le Sultan. La France complète ainsi sa domination sur l'Afrique du Nord (Maroc, Algérie, Tunisie)... pour moins d'un demi-siècle.
Dernière édition par Admin le Jeu 26 Déc - 18:18, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Les Cies Générales de Navigation
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
CONRAD-BRUAT Xavier- Messages : 6240
Date d'inscription : 12/09/2012
Age : 85
Localisation : Toulouse
Re: Les Cies Générales de Navigation
Histoire d'un bateau qui rêvait de voler...
...et qui s'échoua lamentablement...
L'eau, le feu, le vent....On comprend mieux tout de même la force de ces éléments lorsqu'ils se déchainent
Ci dessus, Le ''Princess May''
L'épave du Princess May, échouée sur un récif à marée basse. Le navire du Canadien Pacifique heurta le récif près de Sentinel Island, en Alaska, en 1910
(avec la permission de Bibliothèque et Archives Canada/PA-095764).
...et qui s'échoua lamentablement...
L'eau, le feu, le vent....On comprend mieux tout de même la force de ces éléments lorsqu'ils se déchainent
Ci dessus, Le ''Princess May''
L'épave du Princess May, échouée sur un récif à marée basse. Le navire du Canadien Pacifique heurta le récif près de Sentinel Island, en Alaska, en 1910
(avec la permission de Bibliothèque et Archives Canada/PA-095764).
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Les Cies Générales de Navigation
... Le Marrakech de la Cie Générale Transatlantique
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Les Cies Générales de Navigation
...Le Djebel Nador
La Compagnie Générale Transatlantique (CGT, souvent surnommée Transat, ou French Line par la clientèle anglophone) est une compagnie maritime française.
Fondée en 1855 par les frères Émile et Isaac Péreire sous le nom de Compagnie Générale Maritime, elle est chargée par l'État d'assurer le transport du courrier vers l'Amérique du Nord et prend son nom définitif en 1861.
Dès le début du XXe siècle, elle propose également des traversées entre Marseille et Alger et crée dans les années 1920 des circuits touristiques en Afrique du Nord. Dans les années 1930, la compagnie s'implique brièvement dans l'aviation par le biais d'Air France Transatlantique. Enfin, dès les années 1900, elle développe un service de cargos qui ne cesse par la suite de croître, jusqu'à occuper une part prépondérante de ses activités.
La Compagnie Générale Transatlantique (CGT, souvent surnommée Transat, ou French Line par la clientèle anglophone) est une compagnie maritime française.
Fondée en 1855 par les frères Émile et Isaac Péreire sous le nom de Compagnie Générale Maritime, elle est chargée par l'État d'assurer le transport du courrier vers l'Amérique du Nord et prend son nom définitif en 1861.
Dès le début du XXe siècle, elle propose également des traversées entre Marseille et Alger et crée dans les années 1920 des circuits touristiques en Afrique du Nord. Dans les années 1930, la compagnie s'implique brièvement dans l'aviation par le biais d'Air France Transatlantique. Enfin, dès les années 1900, elle développe un service de cargos qui ne cesse par la suite de croître, jusqu'à occuper une part prépondérante de ses activités.
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Les Cies Générales de Navigation
Dernière édition par Admin le Mar 13 Sep - 22:15, édité 3 fois
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Re: Les Cies Générales de Navigation
Dernière édition par Admin le Ven 31 Mai - 9:25, édité 3 fois
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Grostefan Alain- Messages : 14146
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Re: Les Cies Générales de Navigation
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
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