Tous nos souvenirs d'adolescent
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Nos Souvenirs d'Enfance.......
Mon premier réchaud à pétrole dans le sud n'était pas aussi beau que celui-ci...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].... mais tout aussi efficace. Le "Primus" dans tous les ménages...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]...Les 1ères machines à coudre manuelles de nos grands mères...
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Grostefan Alain- Messages : 14146
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Grostefan Alain- Messages : 14146
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Re-Les vieux outils
CASSEROLES
J'en connais qui sont jaloux de ne pas avoir une aussi jolie série de casseroles comme celles que tu nous présentes Alain.
Ah! Le cuivre c'est tellement beau,mais un petit inconvénient...il faut toujours l'astiquer!!!Mais c'est tellement plus facile d'asticoter l'autre,c'est moins fatigant!!!
Serge
J'en connais qui sont jaloux de ne pas avoir une aussi jolie série de casseroles comme celles que tu nous présentes Alain.
Ah! Le cuivre c'est tellement beau,mais un petit inconvénient...il faut toujours l'astiquer!!!Mais c'est tellement plus facile d'asticoter l'autre,c'est moins fatigant!!!
Serge
MOLL Serge- Messages : 3767
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Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
SERGE
Oui c'est du boulot d'astiquer le cuivre, l'argent et la colonne. Je pense aux manchots. Comment font-ils?
Alain
Oui c'est du boulot d'astiquer le cuivre, l'argent et la colonne. Je pense aux manchots. Comment font-ils?
Alain
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Grostefan Alain- Messages : 14146
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Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
1er Juillet sur le "Roi de la Bière" ...: C'est la fête à tout le monde - Bonjour amies et amis et bonne journée...
.....
BOOGIE WOOGIE et ROCK and ROLL à l'honneur... On se parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître...Dernière édition par Admin le Jeu 7 Juin - 17:27, édité 2 fois
_________________
Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
"L' âge d'or
L'après-guerre apparait comme un temps de fête et d'insouciance. Après la peine, les plaisirs. Dans les rues, où ne circulent que des voitures françaises réparées et vieillottes, surgit, comme une pin-up dans une assemblée paroissiale, la carrosserie sexy de la première limousine américaine. On regarde de travers ses chromes et sa couleur de bonbon, mais on en rêvera la nuit. En quelques années, l'Amérique entrera dans les cœurs par ses Buick, ses Chevrolet, ses Cadillac, ses Lincoln, ses Mercury, ses Plymouth, et ses Pontiac. Les grands garages de l'avenue Lyautey, comme France-Auto où les Établissements Henry Bernard, seront les ambassades de ce luxe à couper le souffle.
Lorsqu'une Chevrolet Bel Air 1950 descend majestueusement l'avenue de la République, les conversations s'arrêtent et les têtes se tournent vers ses rondeurs opulentes et l'éclat de ses flancs blancs. Dans les bars de la ville, l' American way of life sort ses premières cornes. Au Poker d'as de la rue de Marseille, les Gauloises patriotiques battent en retraite devant les cigarettes Koutoubia, élaborées, proclame fièrement la publicité, à partir d'une « sélection de tabacs américains fabriqués aux U.S.A. » Sur le front musical, les premiers disques de jazz donnent le cafard à l'accordéon; tandis que les Américains de la base aérienne exigent que la potabilité de l'eau de Meknès leur soit certifiée par un pharmacien militaire assermenté...
En outre, le luxe de boire frais entre dans les maisons. Alors que les Français de France devront encore attendre quelques années, les Meknassis à l'aise auront leur frigidaire dès le début des années 1950. Une publicité en couleur vante ainsi les mérites du fameux réfrigerateur Poirson, qui fonctionne à l'électricité en ville et au pétrole dans le bled. On y voit une jeune femme, en soutien-gorge, sourire largement au bonheur du glaçon à toute heure. Visiblement, elle n'a cure des mises en garde de Céline, qui prophétisait que l'introduction de la glace aux colonies serait « le signal de la dévirilisation du colonisateur ». La salle de bain, qui gagne du terrain en ces même années, couronnera cette assomption vers le confort. On visite, entre amis, ces lieux intimes, et qui, naguère, étaient les pièces nues de la maison.
Dans le même temps, les commerces du non indispensable se développent. Quatre fleuristes voient ainsi le jour dans ce pays où les fleurs sont cependant partout. L'art du bouquet payant les habillera désormais d'asparagus et de papier cristal. Les roses de jardin, grosses filles aux bonnes joues, resteront dans les cuisines. De même, huit photographes s'installent en ville nouvelle, fixant le bonheur officiel des mariés, des communiants et des permissionnaires. Pour l'évasion, de nouvelles salles de spectacle sont construites: L'Empire, cinéma-paquebot dont l'embarcadère cossu se trouve avenue de la République; l'A.B.C., qui, rue Jean-Jaurès, se souvient d'un music-hall de Paris; et, sans doute le plus singulier des trois, le Caméra, qui rêve de cinéphilie place du Général-de-Gaulle. On y projette des films français et des films américains. La France, c'est Jour de fête, son accent berrichon et son facteur nigaud; l'Amérique, La Charge héroique et Rio Grande. Déjà, l'autodérision; déjà, le désir. Par l'entremise des films américains, de nouvelles manières de vivre, lentement, périment et humilient les anciennes. On commence à rêver de dents éclatantes et de longues jambes, on ose se faire appeler Johnny. Le bonheur d'aujourd'hui fait son apprentissage.
Mais la France bien française n'est pas en reste. Meknès se veut un petit Paris. C'est le moment où, croyant précisement se libérer de sa condition provinciale, une ville affiche son provincialisme. Comme à Paris devient l'étalon des poids et mesures, l'arbitre des élégances et des succès. Quand, au Régent, cinema music-hall de la rue La Fayette, une tournée dépose sur la scène le repertoire d'une chanteuse capitale dont la gloire a traversé la mer, les rues de Meknès brillent comme à Montparnasse. Oubliée pour un soir, la fine odeur citronnée des oliviers en fleurs! on rentrera chez soi grise par le parfum un peu fauve de la scène et des velours cramoisis. Avec un peu de chance, en ces années-la, on pouvait voir Michèle Morgan et Henri Vidal descendre le boulevard de Paris, beaux et souples comme des félins amoureux, entrer chez Madame Aquaviva, dépositaire exclusif du grand couturier Lempereur, en ressortir avec des chemises de soie, des robes sabliers, et ces merveilleux gants fourreaux qui transformaient les doigts en longues fusées de cristal... Des célébrites plus familières avaient aussi leurs habitudes à Meknès; ainsi Paulette Dubost, l'inoubliable soubrette de la Règle du jeu, venait y visiter ses amis Pagnon et, tonifiée par le bon air, y satisfaire le solide appêtit qui faisait l'admiration de Jean Gabin."
L'après-guerre apparait comme un temps de fête et d'insouciance. Après la peine, les plaisirs. Dans les rues, où ne circulent que des voitures françaises réparées et vieillottes, surgit, comme une pin-up dans une assemblée paroissiale, la carrosserie sexy de la première limousine américaine. On regarde de travers ses chromes et sa couleur de bonbon, mais on en rêvera la nuit. En quelques années, l'Amérique entrera dans les cœurs par ses Buick, ses Chevrolet, ses Cadillac, ses Lincoln, ses Mercury, ses Plymouth, et ses Pontiac. Les grands garages de l'avenue Lyautey, comme France-Auto où les Établissements Henry Bernard, seront les ambassades de ce luxe à couper le souffle.
Lorsqu'une Chevrolet Bel Air 1950 descend majestueusement l'avenue de la République, les conversations s'arrêtent et les têtes se tournent vers ses rondeurs opulentes et l'éclat de ses flancs blancs. Dans les bars de la ville, l' American way of life sort ses premières cornes. Au Poker d'as de la rue de Marseille, les Gauloises patriotiques battent en retraite devant les cigarettes Koutoubia, élaborées, proclame fièrement la publicité, à partir d'une « sélection de tabacs américains fabriqués aux U.S.A. » Sur le front musical, les premiers disques de jazz donnent le cafard à l'accordéon; tandis que les Américains de la base aérienne exigent que la potabilité de l'eau de Meknès leur soit certifiée par un pharmacien militaire assermenté...
En outre, le luxe de boire frais entre dans les maisons. Alors que les Français de France devront encore attendre quelques années, les Meknassis à l'aise auront leur frigidaire dès le début des années 1950. Une publicité en couleur vante ainsi les mérites du fameux réfrigerateur Poirson, qui fonctionne à l'électricité en ville et au pétrole dans le bled. On y voit une jeune femme, en soutien-gorge, sourire largement au bonheur du glaçon à toute heure. Visiblement, elle n'a cure des mises en garde de Céline, qui prophétisait que l'introduction de la glace aux colonies serait « le signal de la dévirilisation du colonisateur ». La salle de bain, qui gagne du terrain en ces même années, couronnera cette assomption vers le confort. On visite, entre amis, ces lieux intimes, et qui, naguère, étaient les pièces nues de la maison.
Dans le même temps, les commerces du non indispensable se développent. Quatre fleuristes voient ainsi le jour dans ce pays où les fleurs sont cependant partout. L'art du bouquet payant les habillera désormais d'asparagus et de papier cristal. Les roses de jardin, grosses filles aux bonnes joues, resteront dans les cuisines. De même, huit photographes s'installent en ville nouvelle, fixant le bonheur officiel des mariés, des communiants et des permissionnaires. Pour l'évasion, de nouvelles salles de spectacle sont construites: L'Empire, cinéma-paquebot dont l'embarcadère cossu se trouve avenue de la République; l'A.B.C., qui, rue Jean-Jaurès, se souvient d'un music-hall de Paris; et, sans doute le plus singulier des trois, le Caméra, qui rêve de cinéphilie place du Général-de-Gaulle. On y projette des films français et des films américains. La France, c'est Jour de fête, son accent berrichon et son facteur nigaud; l'Amérique, La Charge héroique et Rio Grande. Déjà, l'autodérision; déjà, le désir. Par l'entremise des films américains, de nouvelles manières de vivre, lentement, périment et humilient les anciennes. On commence à rêver de dents éclatantes et de longues jambes, on ose se faire appeler Johnny. Le bonheur d'aujourd'hui fait son apprentissage.
Mais la France bien française n'est pas en reste. Meknès se veut un petit Paris. C'est le moment où, croyant précisement se libérer de sa condition provinciale, une ville affiche son provincialisme. Comme à Paris devient l'étalon des poids et mesures, l'arbitre des élégances et des succès. Quand, au Régent, cinema music-hall de la rue La Fayette, une tournée dépose sur la scène le repertoire d'une chanteuse capitale dont la gloire a traversé la mer, les rues de Meknès brillent comme à Montparnasse. Oubliée pour un soir, la fine odeur citronnée des oliviers en fleurs! on rentrera chez soi grise par le parfum un peu fauve de la scène et des velours cramoisis. Avec un peu de chance, en ces années-la, on pouvait voir Michèle Morgan et Henri Vidal descendre le boulevard de Paris, beaux et souples comme des félins amoureux, entrer chez Madame Aquaviva, dépositaire exclusif du grand couturier Lempereur, en ressortir avec des chemises de soie, des robes sabliers, et ces merveilleux gants fourreaux qui transformaient les doigts en longues fusées de cristal... Des célébrites plus familières avaient aussi leurs habitudes à Meknès; ainsi Paulette Dubost, l'inoubliable soubrette de la Règle du jeu, venait y visiter ses amis Pagnon et, tonifiée par le bon air, y satisfaire le solide appêtit qui faisait l'admiration de Jean Gabin."
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12842
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Age : 84
Localisation : Vancouver, Colombie Britannique
Articles et objeys d'autrefois......
J'ai retrouvé ce fameux sac en toile imperméabilisé que beaucoup de militaires possédaient... très utile l'été...:
_________________
Amicalement - André Langlois (Jimmy)
pour vous mesdames
cet après-midi nous parlions des vieux métiers.Vous souvenez-vous lorsque nous devions repriser les chaussettes?
Et avant les collants,les bas que nous faisions remailler ?
Ce sont les mini-jupes qui ont donné naissance aux collants
Atelier de remaillage en 1941
Et avant les collants,les bas que nous faisions remailler ?
Ce sont les mini-jupes qui ont donné naissance aux collants
Atelier de remaillage en 1941
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Amitiés Christiane
Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
CHRISTIANE,
Ce n'est pas nous, les bonhommes, qui reprisaient les chaussettes, mais les femmes, en l'occurence, nos mamans...
J'ai passé des heures à admirer ma mère qui, "dévidant et filant" comme dirait Ronsard, s'appliquait à repriser, couturer, rapiécer, ourler, assise à l'ombre de l'acacia du jardin, sa boîte à couture posée sur un petit tabouret.
Je me rappelle donc du principe de reprise des chaussettes. Du fil à repriser à 3 fils de différentes couleurs, une aiguille relativement fine, l'oeuf à repriser et une attention très absorbante.... c'étaient là les ingrédients suffisants pour accomplir ce travail délicat. Surtout lorsque les trous des chaussettes étaient assez conséquents. En fait, il s'agissait de réaliser un treillis assez serré pour compenser l'ouverture béante.
... J'ai la nostalgie de ces images...
Ce n'est pas nous, les bonhommes, qui reprisaient les chaussettes, mais les femmes, en l'occurence, nos mamans...
J'ai passé des heures à admirer ma mère qui, "dévidant et filant" comme dirait Ronsard, s'appliquait à repriser, couturer, rapiécer, ourler, assise à l'ombre de l'acacia du jardin, sa boîte à couture posée sur un petit tabouret.
Je me rappelle donc du principe de reprise des chaussettes. Du fil à repriser à 3 fils de différentes couleurs, une aiguille relativement fine, l'oeuf à repriser et une attention très absorbante.... c'étaient là les ingrédients suffisants pour accomplir ce travail délicat. Surtout lorsque les trous des chaussettes étaient assez conséquents. En fait, il s'agissait de réaliser un treillis assez serré pour compenser l'ouverture béante.
... J'ai la nostalgie de ces images...
Dernière édition par Admin le Mer 1 Fév - 21:28, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re:Les vieux outils et Objets divers
Mes cher(e)s amis
Je vais vous faire un aveu,et bien il m'arrive parfois,pour m'amuser ,de repriser des chaussettes au grand dam de ma femme qui me demande si je vais bien.J'utilise l'oeuf en bois qui appartenait à ma belle-mère.Et comme tu dis si ben André je fais un treillis et,comme l'hirondelle ,je passe et je repasse jusqu'à ce que le trou ait disparu.Ah! l'armée qu'est-ce qu'elle pu faire d'un homme!! Mais acheter une nouvelle paire,ne me déplait pas non plus.
Bien amicalement
Serge
Je vais vous faire un aveu,et bien il m'arrive parfois,pour m'amuser ,de repriser des chaussettes au grand dam de ma femme qui me demande si je vais bien.J'utilise l'oeuf en bois qui appartenait à ma belle-mère.Et comme tu dis si ben André je fais un treillis et,comme l'hirondelle ,je passe et je repasse jusqu'à ce que le trou ait disparu.Ah! l'armée qu'est-ce qu'elle pu faire d'un homme!! Mais acheter une nouvelle paire,ne me déplait pas non plus.
Bien amicalement
Serge
MOLL Serge- Messages : 3767
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Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
Andre - Serge - Ah bon Serge, c'est bon a savoir....Parcel coming...Laughing .. Andre - Tu obsersais ta mere de bien pres quand elle faisait ce travail et c'est bien ...Moi c'etait plutot le contraire, je disparaissais de la circulation en vitesse de peur qu'elle veuille m'apprendre a faire ce travail, comme avait ete le cas pour le tricot. Quand j'avais 8 ans et ma soeur 6 elle nous avait appris a tricoter avec beaucoup de patience (je preferais faire autre chose...) et ensuite elle voulait que l'on fasse plusieurs petits carres de 5-6 cms de differentes couleurs et quand nous avions fini d'en faire une quarantaine chacune elle les avait tous cousus pour en faire une large echarpe de 80cms sur 80 cms, et pour chaque carre tricote elle nous mettait des sous dans notre tire-lire.... Et puis on avait grandi, et puis on avait quitte la maison, et puis on etait alle vivre a l'autre bout du monde et donc plus revu la fameuse echarpe depuis notre enfance et c'est quelques jours apres son deces en 1998 a Tucson qu'en rangeant un tas de choses chez elle, que j'avais retrouve cette echarpe que je n'avais pas revu depuis 45 ans....et qui a maintenant 64 ans...Les larmes ont coule...Elle est malheureusement abimee avec le temps mais je la garde dans du plastique jusqu'a....
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12842
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Grostefan Alain- Messages : 14146
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Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
Dernière édition par Admin le Ven 21 Juin - 21:38, édité 2 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
Les machine à coudre SINGER et GRITZNER...2 marques qui se ressemblaient pourtant comme 2 soeurs. Les 2 étaient manuelles. La molette qui tourne avec le volant de Gritzner servait à remplir la canette de fil. La Singer était un plus perfectionnée.
Ma mère possédait une Gritzner et je m'en suis servi plus d'une fois... Eh oui....
Ma mère possédait une Gritzner et je m'en suis servi plus d'une fois... Eh oui....
Dernière édition par Admin le Ven 8 Juin - 17:20, édité 1 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Grostefan Alain- Messages : 14146
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Grostefan Alain- Messages : 14146
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Localisation : Talence 33400
Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
J'essaie une réponse...
Nous sommes devant un poulailler et le mec qui a "pondu" cet engin doit avoir mal à la tête tous les soirs...
C'est une machine qui sert à la préparation automatique des omelettes uniquement faites à base de jaune d'oeufs...La gouttière en haut à gauche sert d'arrivée d'eau sur la grande roue à godets, la faisant tourner très doucement.(grande roue, petite gouttière...)
Les autres gouttières provenant de chaque "clapier à poules" accueillent les oeufs qui tombent précipitament (vu l'inclinaison étonnante de ces gouttières), tombent sur le plateau (que l'on aperçoit) et qui tourne ...doucement lui aussi. En arrivant sur le plateau, les oeufs s'écrasent (forcément), je dirais même explosent. Les jaunes sont ainsi séparés du blanc, lesquels tombent dans le panier.
Et voilà....
Plus sérieusement, je n'en sais rien, mais cela m'a l'air comique. J'aimerais bien connaître ce mec. On ne doit pas pleurer tous les jours avec lui. Ou alors ce serait de rire...
Nous sommes devant un poulailler et le mec qui a "pondu" cet engin doit avoir mal à la tête tous les soirs...
C'est une machine qui sert à la préparation automatique des omelettes uniquement faites à base de jaune d'oeufs...La gouttière en haut à gauche sert d'arrivée d'eau sur la grande roue à godets, la faisant tourner très doucement.(grande roue, petite gouttière...)
Les autres gouttières provenant de chaque "clapier à poules" accueillent les oeufs qui tombent précipitament (vu l'inclinaison étonnante de ces gouttières), tombent sur le plateau (que l'on aperçoit) et qui tourne ...doucement lui aussi. En arrivant sur le plateau, les oeufs s'écrasent (forcément), je dirais même explosent. Les jaunes sont ainsi séparés du blanc, lesquels tombent dans le panier.
Et voilà....
Plus sérieusement, je n'en sais rien, mais cela m'a l'air comique. J'aimerais bien connaître ce mec. On ne doit pas pleurer tous les jours avec lui. Ou alors ce serait de rire...
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Amicalement - André LANGLOIS
Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
ANDRE
Peut-être que SERGE, quand il aura terminé sa sieste viendra à la rescousse. Itou pour LUCIEN qui a récupéré ses deux yeux.
Donc tu optes pour les oeufs de poules. C'est vrai que c'est plus réaliste que d'évoquer des oeufs de coqs. Je ne vois pas comment un oeuf ,éclatant au bout de sa chute, peut séparer le blanc du jaune. Quant aux coquilles elles seront mangeées avec l'omelette géante...
Quoi qu'il en soit tu étais dans le sujet puisqu'il y a des poules (donc des oeufs) et un matériel bizarre.
Peut-être que SERGE, quand il aura terminé sa sieste viendra à la rescousse. Itou pour LUCIEN qui a récupéré ses deux yeux.
Donc tu optes pour les oeufs de poules. C'est vrai que c'est plus réaliste que d'évoquer des oeufs de coqs. Je ne vois pas comment un oeuf ,éclatant au bout de sa chute, peut séparer le blanc du jaune. Quant aux coquilles elles seront mangeées avec l'omelette géante...
Quoi qu'il en soit tu étais dans le sujet puisqu'il y a des poules (donc des oeufs) et un matériel bizarre.
Grostefan Alain- Messages : 14146
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Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re:Les vieux outils et Objets divers
ET BAILLER!!!
Oh! Alain,j'ai le droit et le même le gauche de faire la sieste!! Sérieux,je ne reçois pas toujours les alertes de RDLB.Heureusement que Ghislaine est là et veille à tout!! Quant à cet engin infernal que tu nous présente,plusieurs possibilités d'utilisation.André en a suggéré une,valable. A la place de poules,je verrai plutôt des lapins.Je n'ai jamais vu de "clapier à poules".André,on sait qu'il fait chaud à Marseille,mais quand même!! Je disais donc, des lapins parce que ça ressemble plus à un clapier qu'à un poulailler lol!
Les goulottes en bois doivent servir à évacuer la litière usagée de chaque cage,mais c'est cette grande roue qui m'intrigue.Ne serait-ce pas l'alimentation en eau du clapier?
Sinon...attendons "notre"Lucien qui saura certainement.
Bien amicalement
Serge
P.S. Aujourd'hui,je n'arrivais pas à emerger de ma sieste.Ahahahah.coucou Ghislaine et merci de m'avoir averti!!!
Oh! Alain,j'ai le droit et le même le gauche de faire la sieste!! Sérieux,je ne reçois pas toujours les alertes de RDLB.Heureusement que Ghislaine est là et veille à tout!! Quant à cet engin infernal que tu nous présente,plusieurs possibilités d'utilisation.André en a suggéré une,valable. A la place de poules,je verrai plutôt des lapins.Je n'ai jamais vu de "clapier à poules".André,on sait qu'il fait chaud à Marseille,mais quand même!! Je disais donc, des lapins parce que ça ressemble plus à un clapier qu'à un poulailler lol!
Les goulottes en bois doivent servir à évacuer la litière usagée de chaque cage,mais c'est cette grande roue qui m'intrigue.Ne serait-ce pas l'alimentation en eau du clapier?
Sinon...attendons "notre"Lucien qui saura certainement.
Bien amicalement
Serge
P.S. Aujourd'hui,je n'arrivais pas à emerger de ma sieste.Ahahahah.coucou Ghislaine et merci de m'avoir averti!!!
MOLL Serge- Messages : 3767
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Age : 86
Localisation : Bedoin Vaucluse
Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
SERGE
C'est tout à fait ton droit SERGE. Une méridienne réparatrice avec cette chaleur est toujours la bienvenue.
Moi aussi je croyais au clapier car c'en est un. Mais en agrandissant la photo on voit bien deux poules blanches dans deux cases différentes. De plus, à droite en bas, près du "réceptacle" il y a deux oeufs l'un à côté de l'autre. En principe un lapin ne pond pas...
C'est un drôle de machin que cette machine.
En ce qui concerne le RDB qui ne te prévient plus, tu n'aurais pas cliqué sur la mauvaise ligne par hasard, celle qui ne t'alerte plus?[/size]
C'est tout à fait ton droit SERGE. Une méridienne réparatrice avec cette chaleur est toujours la bienvenue.
Moi aussi je croyais au clapier car c'en est un. Mais en agrandissant la photo on voit bien deux poules blanches dans deux cases différentes. De plus, à droite en bas, près du "réceptacle" il y a deux oeufs l'un à côté de l'autre. En principe un lapin ne pond pas...
C'est un drôle de machin que cette machine.
En ce qui concerne le RDB qui ne te prévient plus, tu n'aurais pas cliqué sur la mauvaise ligne par hasard, celle qui ne t'alerte plus?[/size]
Grostefan Alain- Messages : 14146
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Re:Les vieux outils et Objets divers
ALAIN
En effet,il s'agit bien de poules et non de lapins.Allez je me lance,il s'agit d'une trieuse à oeufs.Les oeufs doivent être dirigés,après être descendus par les différentes goulottes,vers la grande roue qui les dirigent à son tour vers un bassin d'eau pour être lavés.
Je ne vois rien d'autre à proposer...désolé.
Amicalement
Serge
En effet,il s'agit bien de poules et non de lapins.Allez je me lance,il s'agit d'une trieuse à oeufs.Les oeufs doivent être dirigés,après être descendus par les différentes goulottes,vers la grande roue qui les dirigent à son tour vers un bassin d'eau pour être lavés.
Je ne vois rien d'autre à proposer...désolé.
Amicalement
Serge
MOLL Serge- Messages : 3767
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Localisation : Bedoin Vaucluse
Re: Tous nos souvenirs d'adolescent
SERGE
C'est mieux qu'ANDRE. En effet en tombant dans de l'eau les oeufs ne risquent pas de se casser. Je ne sais pas si la grande roue entraîne un rouage quelconque dans le réceptacle censé recevoir les oeufs. Cela supposerait qu'il y ait "lavage" comme tu le supposes SERGE. Nous ne saurons jamais de quoi il retourne à moins de tomber sur le propriétaire de cette machine... [/b]
C'est mieux qu'ANDRE. En effet en tombant dans de l'eau les oeufs ne risquent pas de se casser. Je ne sais pas si la grande roue entraîne un rouage quelconque dans le réceptacle censé recevoir les oeufs. Cela supposerait qu'il y ait "lavage" comme tu le supposes SERGE. Nous ne saurons jamais de quoi il retourne à moins de tomber sur le propriétaire de cette machine... [/b]
Grostefan Alain- Messages : 14146
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