Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
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Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
J'apprecie, je vous remercie d'avoir publie ce rectificatif. Comme je le disais, j'ai aime ce livre, mais il fallait que je retablise la verite. Cela ne m'empeche pas de rendre hommage a mon grand-pere Cosmas, fuyant une Anatolie a feu et a sang pour venir s'installer a Meknes laissant de cote son reve d'Amerique, nous lui devons, nous les Sandeaux d'avoir grandi et vecu une vie a 24 images seconde. Je le remercie de m'avoir invite a ce banquet ou l'image et le son m'ont fait rever.Cela ne m'empeche pas de rectifier le tir en invoquant la memoire de mon pere, Antoine, createur de ce cine, place du General De Gaulle, ce cine qui continue a nous faire rever avec cette enseigne sur laquelle etaient inscrites trois syllabes magiques CA-ME-RA.
Ce reve de cinema continue , je suis invite a exposer mes 27 dessins d'acteurs le 4 decembre au Seattle Film Institute pour le 20eme anniversaire de cette ecole, des interviews sont prevues avec la presse et les etudiants. Je vous adresserai des photos. Encore merci. Claude
P.S: Je ne recois plus vos messages. Claude
Ce reve de cinema continue , je suis invite a exposer mes 27 dessins d'acteurs le 4 decembre au Seattle Film Institute pour le 20eme anniversaire de cette ecole, des interviews sont prevues avec la presse et les etudiants. Je vous adresserai des photos. Encore merci. Claude
P.S: Je ne recois plus vos messages. Claude
sandeaux Claude- Messages : 329
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 87
Localisation : Snohomish USA
interwiew de Jacques BREL
Extrait du document ci-dessus :
au RIF nous accueillîmes Jacques BREL qui se rendit même au Lycée Paul Valéry pour y rencontrer les élèves ( fin de citation )
Je puis dire par là qu' en qualité de musicien de variétés de l'orchestre du LPV je participais activement à l'interwiew de Jacques Brel dans la salle de musique du Lycée Paul Valéry.
Ce fut un honneur pour nous que de cotoyer ce grand chanteur..
Une anecdote cependant que je n'oublierai jamais : Le grand Jacques fumait outre mesure et comme Gainsbourg n'a pas cessé de tirer sur sa clope de tabac brun genre gitane ou peut-être "du Casa Sport voir du Casa Olympique ? Enfin la salle était complètement enfumée "
au RIF nous accueillîmes Jacques BREL qui se rendit même au Lycée Paul Valéry pour y rencontrer les élèves ( fin de citation )
Je puis dire par là qu' en qualité de musicien de variétés de l'orchestre du LPV je participais activement à l'interwiew de Jacques Brel dans la salle de musique du Lycée Paul Valéry.
Ce fut un honneur pour nous que de cotoyer ce grand chanteur..
Une anecdote cependant que je n'oublierai jamais : Le grand Jacques fumait outre mesure et comme Gainsbourg n'a pas cessé de tirer sur sa clope de tabac brun genre gitane ou peut-être "du Casa Sport voir du Casa Olympique ? Enfin la salle était complètement enfumée "
René Hermitte- Messages : 1403
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 77
Localisation : Toulon La Valette
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Pour eviter la moindre polemique, je ne tiens pas a revenir sur le document ecrit par Rene, au sujet des Sandeaux,tout est faux, archi-faux. Mais a quoi bon rectifier le tir devant autant de propos inexacts. Claude
sandeaux Claude- Messages : 329
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 87
Localisation : Snohomish USA
Bonjour Claude
Je n'ai fait que reproduire TEXTO un document rédigé par Les responsables du cinéma marocain dont Monsieur TAZI.
René Hermitte- Messages : 1403
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 77
Localisation : Toulon La Valette
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Rene, pourquoi avoir attendu que je redige un message rectificatif sur ce qui a ete ecrit par erreur sur le Camera pour reproduire texto un document redige par Mr Tazi, il fallait le faire avant. Ton message laisse entendre que je dis des conneries et que je suis un menteur et ca je ne peux l'accepter. Ni Tazi, ni ceux ou celles qui pretendent connaitre l'histoire des Sandeaux, celle de mon Grand-pere et de mon pere sont habilites a le faire. Le cinema a Meknes a ete ce qu'il a ete grace a Cosmas et Antoine.
sandeaux Claude- Messages : 329
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 87
Localisation : Snohomish USA
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Re:Le cinéma de nos jeunes années
ALAIN
Est-ce que c'était un film canadien,côté Québec-Montreal? Il faut le croire à voir l'affiche à gauche "La Reine s'ennuie" et l'autre à droite :"Le Baron mystère". En effet ce devait être, non pas un grand drame populaire, mais un grand drame royal !!!
Est-ce que c'était un film canadien,côté Québec-Montreal? Il faut le croire à voir l'affiche à gauche "La Reine s'ennuie" et l'autre à droite :"Le Baron mystère". En effet ce devait être, non pas un grand drame populaire, mais un grand drame royal !!!
MOLL Serge- Messages : 3767
Date d'inscription : 10/03/2011
Age : 85
Localisation : Bedoin Vaucluse
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
SERGE
Il y a des chances que ce soit ça!
Il y a des chances que ce soit ça!
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 87
Localisation : Talence 33400
Les deux gosses
"Les deux gosses"
L’affiche de cinéma « Les deux gosses » m’a fait remonter certains souvenirs…Merci Alain...J’étais sûr de l’avoir vu à l’Empire…
C’était un film dans la série de « La porteuse de pain », « Le mensonge d’une mère » et quelques autres du même acabit, des films si tristes qui laissaient les yeux rouges aux spectateurs en sortant de la salle du ciné…
Alors je suis allé chercher sur le Net et surprise… : J’ai bien vu ce film avec mon père, comme toujours, mais celui de la version de 1951.
J'ai appris qu’il y a 6 films intitulés « Les Deux Gosses », réalisés d’après le roman de Pierre Decourcelle paru en 1880 :
- Les Deux Gosses, film d'Adrien Caillard sorti en 1912
- Les Deux Gosses, film d'Albert Capellani sorti en 1914
- Les Deux Gosses, film de Maurice Tourneur sorti en 1923
- Les Deux Gosses, film de Louis Mercanton sorti en 1924
- Les Deux Gosses, film français de Fernand Rivers sorti en 1936
- Les Deux Gosses, film italien de Flavio Calzavara sorti en 1951
La photo postée par Alain doit dater des années 1918. Ce serait la version sortie en 1914 d’Albert Capellani au Cinéma Pathé, les Gobelins, à Paris…
J’ai pris connaissance des synopsis des 6 films et j’ai constaté que les réalisateurs avaient pris des libertés par rapport au thème du roman de Decourcelle…C'est le père qui est méchant dans l'un des films, la mère qui est infidèle dans un autre.....
"La Reine s'ennuie" et "le Baron Mystère" sont sortis en 1918...
L’affiche de cinéma « Les deux gosses » m’a fait remonter certains souvenirs…Merci Alain...J’étais sûr de l’avoir vu à l’Empire…
C’était un film dans la série de « La porteuse de pain », « Le mensonge d’une mère » et quelques autres du même acabit, des films si tristes qui laissaient les yeux rouges aux spectateurs en sortant de la salle du ciné…
Alors je suis allé chercher sur le Net et surprise… : J’ai bien vu ce film avec mon père, comme toujours, mais celui de la version de 1951.
J'ai appris qu’il y a 6 films intitulés « Les Deux Gosses », réalisés d’après le roman de Pierre Decourcelle paru en 1880 :
- Les Deux Gosses, film d'Adrien Caillard sorti en 1912
- Les Deux Gosses, film d'Albert Capellani sorti en 1914
- Les Deux Gosses, film de Maurice Tourneur sorti en 1923
- Les Deux Gosses, film de Louis Mercanton sorti en 1924
- Les Deux Gosses, film français de Fernand Rivers sorti en 1936
- Les Deux Gosses, film italien de Flavio Calzavara sorti en 1951
La photo postée par Alain doit dater des années 1918. Ce serait la version sortie en 1914 d’Albert Capellani au Cinéma Pathé, les Gobelins, à Paris…
J’ai pris connaissance des synopsis des 6 films et j’ai constaté que les réalisateurs avaient pris des libertés par rapport au thème du roman de Decourcelle…C'est le père qui est méchant dans l'un des films, la mère qui est infidèle dans un autre.....
"La Reine s'ennuie" et "le Baron Mystère" sont sortis en 1918...
Dernière édition par Admin le Mer 3 Déc - 11:20, édité 3 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Admin
Un peu de logique, mon cher
Si "La Reine s'ennuie" et "le Baron mystère" sont sortis en 1918, la photo d'Alain ne peut être de 1914. D'ailleurs, Alain himself dit qu'elle est de 1918.
Un peu de logique, mon cher
Si "La Reine s'ennuie" et "le Baron mystère" sont sortis en 1918, la photo d'Alain ne peut être de 1914. D'ailleurs, Alain himself dit qu'elle est de 1918.
CONRAD-BRUAT Xavier- Messages : 6240
Date d'inscription : 12/09/2012
Age : 85
Localisation : Toulouse
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Ghis
Tu devrais aussi mettre ces tableaux de Claude dans le forum La Galerie d'Art, rubrique La Galerie du Roi de la Bière.
Tu devrais aussi mettre ces tableaux de Claude dans le forum La Galerie d'Art, rubrique La Galerie du Roi de la Bière.
CONRAD-BRUAT Xavier- Messages : 6240
Date d'inscription : 12/09/2012
Age : 85
Localisation : Toulouse
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Ok Xavier et je ferai cela ce soir. La je suis dans les "boites" jusqu'au plafond....plus le plombier a la maison car j'ai casse quelquechose...ahah... A+
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12842
Date d'inscription : 18/10/2010
Age : 84
Localisation : Vancouver, Colombie Britannique
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Ghis
Je veux bien t'aider à faire les boites si c'est La Huchette, Le Club des Lombards, Le New Morning, Le Sunset, etc. :lol!:
Je veux bien t'aider à faire les boites si c'est La Huchette, Le Club des Lombards, Le New Morning, Le Sunset, etc. :lol!:
CONRAD-BRUAT Xavier- Messages : 6240
Date d'inscription : 12/09/2012
Age : 85
Localisation : Toulouse
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
CONRAD-BRUAT Xavier a écrit:Admin
Un peu de logique, mon cher
Si "La Reine s'ennuie" et "le Baron mystère" sont sortis en 1918, la photo d'Alain ne peut être de 1914. D'ailleurs, Alain himself dit qu'elle est de 1918.
C'est tout ce que tu as remarqué ...???Comme quoi, cela arrive à tout le monde de faire une erreur de frappe...!!!
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
XAVIER - ANDRE
C'était bien les Gobelins en 1918, foi d'animal...
C'était bien les Gobelins en 1918, foi d'animal...
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
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Localisation : Talence 33400
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Xavier - Je prefererai faire ce que tu dis aussi au lieu d'etre dans les emballages. Surtout le New Morning dont j'en ai entendu parler par un de mes cousins qui habite a Paris.
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12842
Date d'inscription : 18/10/2010
Age : 84
Localisation : Vancouver, Colombie Britannique
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Le piano du film "Casablanca" vendu 3 3.4 millions de dollars
Vente aux encheres
Le piano orange aux motifs marocains était la vedette d'une vente aux enchères. Plus de 70 ans après sa sortie du film, le piano de «Casablanca», pièce capitale d'une trentaine d'objets provenant de ce grand classique du cinéma hollywoodien, n'a rien perdu de sa valeur. Ce piano du film triplement oscarisé a été vendu aux enchères, lundi 24 novembre 2014, à New York, à un collectionneur anonyme.
Les enchères, qui ont ouvert à 1,6 million de dollars ont atteint les 3,4 millions en quelques minutes à peine devant une salle comble. Aucune estimation du piano n'avait été rendue publique par la maison d'enchères, qui avait simplement évoqué «un nombre à sept chiffres, dans la fourchette basse à moyenne».
Se déroulant durant la Seconde Guerre mondiale au Maroc et à Casablanca, ce film a été récompensé en 1944 par l'Oscar du meilleur film. Selon l'American Film Institute, il reste le troisième plus grand film américain de tous les temps, derrière «Citizen Kane» et «Le Parrain».
Le piano a probablement été fabriqué en 1927 par First National Pictures. Ce studio a fusionné cette année-là avec Warner Brothers, la société de production de Casablanca, qui obtint en 1944, deux ans après son avant-première à New York, l’Oscar du meilleur film, du meilleur réalisateur et du meilleur scénario.
Ce «piano café», qui est composé d’un clavier raccourci à 58 touches (au lieu de 88), soit 30 de moins qu'un piano moderne classique, avait été transformé pour les besoins du film : une charnière fut incluse pour permettre de soulever le dessus par l’arrière et d’y cacher les documents, symboles de liberté. Eux aussi étaient proposés à la vente et sont partis à plus de 118.000 dollars.
Dans le long-métrage réunissant à l'écran le couple Humphrey Bogart-Ingrid Bergman, le piano était omniprésent. C'est l'instrument sur lequel Sam, interprété par Dooley Wilson, joue notamment «As time goes by», après qu'Ilsa Lund (Ingrid Bergman) lui a lancé cette réplique devenue mythique : «Joue Sam. Joue As time goes by.»
Il s’agit là de la première présentation du piano aux enchères. Il a même été vendu avec son tabouret et même un chewing gum desséché, «avec une légère trace d'empreinte digitale visible à la loupe». Il faut dire que l’accessoire fait lui aussi désormais définitivement partie de la légende. Et voila un instrument entré dans la l’histoire.
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12842
Date d'inscription : 18/10/2010
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Localisation : Vancouver, Colombie Britannique
Grostefan Alain- Messages : 14146
Date d'inscription : 03/11/2010
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Localisation : Talence 33400
Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Voici quelques images de la part de Claude
Facade du Majestic a Nimes
Animation Disney Bernard et Bianca Camera Nimes
Facade du Majestic - Animation Belle au Bois Dormant
A suivre
Ghislaine Jousse-Veale- Messages : 12842
Date d'inscription : 18/10/2010
Age : 84
Localisation : Vancouver, Colombie Britannique
Cinémas Meknès...
La Verite si je mens
Animation au Majestic de Nimes
facade du cinema au programme l'ile sur le toit du monde, une production Disney et Flic Story avec Delon et Trintignant de Jacques Deray.
La Verite si je mens 2 en facade du Camera a Nimes de gauche a droite Cathy, Sylvie et Claude Sandeaux, Constantin Protopapas et Christine Sandeaux.
Animation les Aristochats dans le hall du Majestic a Nimes. Le film a eu un enorme succes au Box-office.
Les Trintignant Pere et fils, la famille Trintignant demeurant a Nimes ou dans la region.
La Belle au Bois dormant animation Disney.
Une equipe se deplacait dans toutes les grandes villes de France avec les costumes qui venaient de Paris via Disneyland Californie, j'etais charge de receptionner ces costumes en gare de Nimes et je devais programmer une animation dans toute la region proche de ma ville, Arles, Avignon, Montpellier, Sete, Perpignan, Narbonne, Beziers, cela me permettaient de faire le metier que j'aurais du faire apres les Beaux Arts, car il me fallait faire des decors, pour presenter les personnages a la presse et au public, des seances le matin etaient prevues pour les orphelinats de la ville, avec distributions de confiserie et de cadeaux.
Durant cette periode qui a quand meme dure trente annees, je me suis reellement eclate, puis sont arrives les multiplexes.....
Je pense que le Centre de la Cinematographie Marocaine aurait du lui aussi faire preuve d'une grande ouverture d'esprit, j'ai vu le fim, il n'y a rien de choquant. Par contre j'ai prefere les 10 commandements de Cecil B DeMille, difficile de remplacer Yul Brynner et Charlton Heston.
sandeaux Claude- Messages : 329
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Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Mes années 40
Ce sont les films en noir et blanc, en couleurs et sur écran panoramique. Ils m'ont invité à découvrir Humphrey Bogart dans le Faucon Maltais et Le Trésor de la sierra Madré, Greer Garson dans Madame Miniver, Les Enfants du paradis de Marcel Carné, Les Marx Brothers dans Une Nuit à Casablanca, Citizen Kane, l'un des chefs d’œuvre majeur du cinéma.
En le réalisant Orson Welles allait rompre avec l'esthétique d'Hollywood, en créant un nouveau langage cinématographique. Le film raconte la vie d'un homme célèbre de sa jeunesse à sa mort. Il traite de l'histoire des médias et attire l'attention sur le danger que constituent les médias de masse qui ne montrent pas la réalité mais la construisent. Citizen Kane, c'est l'histoire d'un homme qui veut diriger le monde et tirer parti de sa puissance pour adapter la réalité à ses désirs. C'est l'ascension et le déclin de cet homme, aussi grand dans la réussite que dans la défaite.
François Truffaut loua le film: Un hymne à la jeunesse et une méditation sur l'age, un essai sur la vanité de toute aspiration humaine et en même temps un poème sur la déchéance et derrière tout cela une réflexion sur la solitude d'homme hors du commun. Après avoir vu et revu Citizen Kane, il m'est difficile de ne pas faire une comparaison avec ce que nous vivons actuellement en France. Citizen Kane ressemble étrangement à un homme hors du commun, jeune et vaniteux, devenu ce qu'il est grâce aux médias de masse qui l'ont construit, un homme de pouvoir tirant parti de sa puissance pour adapter la réalité à ses désirs et qui nous prépare une France en marche.
Certains films résonnent en moi pour me rappeler l'épopée des Chevaliers de la table ronde revue et corrigée par la M.G.M. En réalisant Sueurs froides et Psychose, Hitchcock allait me faire entrer dans son univers mystérieux, dans un gigantesque tourbillon où la réalité devient rêve et l'anxiété désir. J'allais pour ma part rêver de désir en redécouvrant la Marilyn de mes premiers fantasmes, une Marilyn à la fois naïve, sensuelle et frivole dans Chérie je me sens rajeunir, dans les Hommes préfèrent les blondes, dans 7 ans de réflexion et Certains l'aiment chaud. Difficile d'oublier Brando dans son maillot de corps trempé de sueur devenant une icône sous la houlette d'Elia Kazan dans Un Tramway nommé désir, Zapata et Sur les quais, James Dean le rebelle symbole de la jeunesse dans A l'Est d'Eden, La Fureur de Vivre et Géant et Elvis devenant l'idole des rockeurs avec ses genoux tremblants, ses narines palpitantes et ses moues boudeuses dans Le Rock du bagne et Bagarre au King Créole.
Lors d'un arret sur l'image, mon voyage cinématographique m'a déposé à Black Rock à la rencontre d'un homme est passé, je me suis ensuite penché sur le mental de Humphrey Bogart confronté à ses faiblesses dans Ouragan sur le Caine tout en écoutant Jean-Luc Godard me racontant à sa manière la vie d'un voleur de voitures dans A Bout de souffle, puis je me suis laissé embarqué à jouer le voyeur impénitent en danger de mort à cause de mes observations dans fenêtre sur cours d'Hitchcock. Je suis allé à la rencontre des vrais héros, ceux qui ne meurent pas, ceux qui ont fait du western une légende et quand la légende est plus belle que la réalité on imprime la légende.
Cette légende c'est John Wayne dans L'Homme qui tua liberty Valance. C'est Le Dernier train de Gun Hill avec Kirk Douglas et Anthony Quinn. C'est Paul Newman dans le Gaucher, Alan Ladd, l'une des figures les plus légendaires de l'ouest américain, impassible, secret, assoiffé de justice dans l'Homme des vallées perdues. C'est la violence rarissime qui s'empare de William Holden et de sa bande dans La Horde sauvage réalisée par Sam Peckinpah. C'est Burt Lancaster réglant ses comptes à O.K. Corral, C'est le courage d'un homme seul abandonné par ses concitoyens dans Le Train sifflera 3 fois. C'est Natalie Wood en jeune indienne prisonnière du désert. C'est les 7 Samouraïs à la sauce western réunissant Yul Brynner, Steve McQueen, Charles Bronson, James Coburn et Eli Wallach dans les 7 mercenaires. C'est Clint Eastwood arrivant de nulle part et s'en repartant pour ailleurs dans l'Homme des hautes plaines.
Ce sont ces légendes vieillissantes sur le point de disparaitre racontant l’héroïsme au quotidien de familles entières immigrant quelque part dans les Rocheuses, traversant plaines et montagnes. Des légendes racontant l'histoire d'un cow-boy, d'un cheval, d'une Winchester remontant la piste des géants. Une histoire reprise pour quelques dollars de plus par Cinécitta dans des westerns paellas ou spaghettis par Rob Robertson alias Sergio Leone.
Signé Claude Sandeaux
Ce sont les films en noir et blanc, en couleurs et sur écran panoramique. Ils m'ont invité à découvrir Humphrey Bogart dans le Faucon Maltais et Le Trésor de la sierra Madré, Greer Garson dans Madame Miniver, Les Enfants du paradis de Marcel Carné, Les Marx Brothers dans Une Nuit à Casablanca, Citizen Kane, l'un des chefs d’œuvre majeur du cinéma.
En le réalisant Orson Welles allait rompre avec l'esthétique d'Hollywood, en créant un nouveau langage cinématographique. Le film raconte la vie d'un homme célèbre de sa jeunesse à sa mort. Il traite de l'histoire des médias et attire l'attention sur le danger que constituent les médias de masse qui ne montrent pas la réalité mais la construisent. Citizen Kane, c'est l'histoire d'un homme qui veut diriger le monde et tirer parti de sa puissance pour adapter la réalité à ses désirs. C'est l'ascension et le déclin de cet homme, aussi grand dans la réussite que dans la défaite.
François Truffaut loua le film: Un hymne à la jeunesse et une méditation sur l'age, un essai sur la vanité de toute aspiration humaine et en même temps un poème sur la déchéance et derrière tout cela une réflexion sur la solitude d'homme hors du commun. Après avoir vu et revu Citizen Kane, il m'est difficile de ne pas faire une comparaison avec ce que nous vivons actuellement en France. Citizen Kane ressemble étrangement à un homme hors du commun, jeune et vaniteux, devenu ce qu'il est grâce aux médias de masse qui l'ont construit, un homme de pouvoir tirant parti de sa puissance pour adapter la réalité à ses désirs et qui nous prépare une France en marche.
Certains films résonnent en moi pour me rappeler l'épopée des Chevaliers de la table ronde revue et corrigée par la M.G.M. En réalisant Sueurs froides et Psychose, Hitchcock allait me faire entrer dans son univers mystérieux, dans un gigantesque tourbillon où la réalité devient rêve et l'anxiété désir. J'allais pour ma part rêver de désir en redécouvrant la Marilyn de mes premiers fantasmes, une Marilyn à la fois naïve, sensuelle et frivole dans Chérie je me sens rajeunir, dans les Hommes préfèrent les blondes, dans 7 ans de réflexion et Certains l'aiment chaud. Difficile d'oublier Brando dans son maillot de corps trempé de sueur devenant une icône sous la houlette d'Elia Kazan dans Un Tramway nommé désir, Zapata et Sur les quais, James Dean le rebelle symbole de la jeunesse dans A l'Est d'Eden, La Fureur de Vivre et Géant et Elvis devenant l'idole des rockeurs avec ses genoux tremblants, ses narines palpitantes et ses moues boudeuses dans Le Rock du bagne et Bagarre au King Créole.
Lors d'un arret sur l'image, mon voyage cinématographique m'a déposé à Black Rock à la rencontre d'un homme est passé, je me suis ensuite penché sur le mental de Humphrey Bogart confronté à ses faiblesses dans Ouragan sur le Caine tout en écoutant Jean-Luc Godard me racontant à sa manière la vie d'un voleur de voitures dans A Bout de souffle, puis je me suis laissé embarqué à jouer le voyeur impénitent en danger de mort à cause de mes observations dans fenêtre sur cours d'Hitchcock. Je suis allé à la rencontre des vrais héros, ceux qui ne meurent pas, ceux qui ont fait du western une légende et quand la légende est plus belle que la réalité on imprime la légende.
Cette légende c'est John Wayne dans L'Homme qui tua liberty Valance. C'est Le Dernier train de Gun Hill avec Kirk Douglas et Anthony Quinn. C'est Paul Newman dans le Gaucher, Alan Ladd, l'une des figures les plus légendaires de l'ouest américain, impassible, secret, assoiffé de justice dans l'Homme des vallées perdues. C'est la violence rarissime qui s'empare de William Holden et de sa bande dans La Horde sauvage réalisée par Sam Peckinpah. C'est Burt Lancaster réglant ses comptes à O.K. Corral, C'est le courage d'un homme seul abandonné par ses concitoyens dans Le Train sifflera 3 fois. C'est Natalie Wood en jeune indienne prisonnière du désert. C'est les 7 Samouraïs à la sauce western réunissant Yul Brynner, Steve McQueen, Charles Bronson, James Coburn et Eli Wallach dans les 7 mercenaires. C'est Clint Eastwood arrivant de nulle part et s'en repartant pour ailleurs dans l'Homme des hautes plaines.
Ce sont ces légendes vieillissantes sur le point de disparaitre racontant l’héroïsme au quotidien de familles entières immigrant quelque part dans les Rocheuses, traversant plaines et montagnes. Des légendes racontant l'histoire d'un cow-boy, d'un cheval, d'une Winchester remontant la piste des géants. Une histoire reprise pour quelques dollars de plus par Cinécitta dans des westerns paellas ou spaghettis par Rob Robertson alias Sergio Leone.
Signé Claude Sandeaux
sandeaux Claude- Messages : 329
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Re: Cinémas, Films, Affiches de Notre Enfance 1
Xavier,
Je crains que le film de Clint Eastwood "American Snipper" soit interdit en France, troubles possibles dans les salles.
J'ai vu le film, super. Clint continue a nous surprendre. Le film est distribue par la Warner, mais a ete produit et finance par Bradley Cooper, excellent dans le role du snipper.
Films a voir:
Silver Linings avec Bradley Ciiper. Jennifer Lawrence et Robert De Niro ***
Labor Day avec Kate Winslet et Josh Brolin **
The Book Thief avec Geoffrey Rush et Emily Watson **
Trouble with the curve de Clint Eastwood *
Gran Torino de Claint Eastwood ***
The Notebook avec Ryan Gosling et James Garner*
Saving Mr Banks avec Emma Thompson et Rom Hanks *
Hugo sw Martin Scorsese (Hommage a Melies) **
Zero Dark Thirty (Osama Ben Laden)***
Gangster Squad Sean Penn. Josh Brolin **
Broken Trail avec Oibert Duvall et Thomas Haden Church (western) *
Philomenia avec Judi Dench et Steve Coogan ***
Captain Phillips ave Tom Hanks **
un Hommage a Alan Ladd
Shane ***. Drim Beat de Delmer Daves avec Charles Bronson *.The Big Land avec Virgina Mayo. The Iron mistress de Gordon Douglas avec Virgina Mayo **
Je crains que le film de Clint Eastwood "American Snipper" soit interdit en France, troubles possibles dans les salles.
J'ai vu le film, super. Clint continue a nous surprendre. Le film est distribue par la Warner, mais a ete produit et finance par Bradley Cooper, excellent dans le role du snipper.
Films a voir:
Silver Linings avec Bradley Ciiper. Jennifer Lawrence et Robert De Niro ***
Labor Day avec Kate Winslet et Josh Brolin **
The Book Thief avec Geoffrey Rush et Emily Watson **
Trouble with the curve de Clint Eastwood *
Gran Torino de Claint Eastwood ***
The Notebook avec Ryan Gosling et James Garner*
Saving Mr Banks avec Emma Thompson et Rom Hanks *
Hugo sw Martin Scorsese (Hommage a Melies) **
Zero Dark Thirty (Osama Ben Laden)***
Gangster Squad Sean Penn. Josh Brolin **
Broken Trail avec Oibert Duvall et Thomas Haden Church (western) *
Philomenia avec Judi Dench et Steve Coogan ***
Captain Phillips ave Tom Hanks **
un Hommage a Alan Ladd
Shane ***. Drim Beat de Delmer Daves avec Charles Bronson *.The Big Land avec Virgina Mayo. The Iron mistress de Gordon Douglas avec Virgina Mayo **
sandeaux Claude- Messages : 329
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Feu Le Régent
Je viens de faire un tour sur la rubrique nos salles de cinéma et à ma grande surprise, pas un mot ou la moindre photo sur Notre Régent...!!!
Ont-elles disparu...??? Si oui, comment...??? Ou bien, sommes nous passé complètement à côté du sujet, dans l'indifférence totale, en oubliant que ce monument fut l'un des souvenirs les plus profonds de notre jeunesse..????
LE REGENT…. : Créé en 1921/22. A sa création, ce fut un théâtre qui prit le nom de son architecte.... "René CANU"
A l'époque, petit écrin dans la ville moderne. Beaucoup parmi nous ont des souvenirs émouvants de cette salle mythique.
La chose qui blesse… : Sa destruction sans préavis, à la hâte, sans vote ni débats prononcés, sans annonce officielle... En fait , mettre Meknès devant le fait accompli de l'irréparable désastre...
Depuis, un bel immeuble certes, construit depuis environ 3 ans....Du béton à la place d'un bijou.... ... Mais nécessité oblige.... (peut être....????????)
Le Théâtre Municipal Canu en 1922
Ont-elles disparu...??? Si oui, comment...??? Ou bien, sommes nous passé complètement à côté du sujet, dans l'indifférence totale, en oubliant que ce monument fut l'un des souvenirs les plus profonds de notre jeunesse..????
LE REGENT…. : Créé en 1921/22. A sa création, ce fut un théâtre qui prit le nom de son architecte.... "René CANU"
A l'époque, petit écrin dans la ville moderne. Beaucoup parmi nous ont des souvenirs émouvants de cette salle mythique.
La chose qui blesse… : Sa destruction sans préavis, à la hâte, sans vote ni débats prononcés, sans annonce officielle... En fait , mettre Meknès devant le fait accompli de l'irréparable désastre...
Depuis, un bel immeuble certes, construit depuis environ 3 ans....Du béton à la place d'un bijou.... ... Mais nécessité oblige.... (peut être....????????)
Le Théâtre Municipal Canu en 1922
Dernière édition par Admin le Dim 12 Mai - 7:06, édité 4 fois
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Amicalement - André Langlois (Jimmy)
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