La CFM, les gares, trains, Affiches et ponts

Le pont « Mohammed VI » suspendu au-dessus de la vallée Bouregreg faisant partie intégrante du projet de l’autoroute de contournement de Rabat et étant le plus grand d’Afrique, constitue, inéluctablement, une icône architecturale unique en son genre conçue conformément aux standards techniques mondiaux et à une approche écologique qui cadre parfaitement avec les politiques internationales en la matière.
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La nuit il est illuminé. Longueur : 950 m[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Cette rubrique comprend-elle  à la fois les sites archéologiques les ponts et les ruines?
A propos des ponts portugais ce qui suit...

La légende s'écroule-t-elle?
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 Pont sur l'Oued Ksob est un pont en arc et en maçonnerie -  Essaouira
 Pont sur l'Oued Nfis, pont en arc et en maçonnerie aussi
 Pont détruit lors des crues de l'oued Ksob en 1927

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Si l'on se fit auc ommentaires, ce serait le viaduc de l'Ouisbane (ainsi noté....) Je pencherai plutôt sur le pont de Wislane (Ouislam). ""Le Chemin de Fer de Tanger à Fez de la Compagnie franco-espagnole"

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       Le pont Sidi Abdallah, direction Taza

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Pont sur le Draa

          Construit lors de opérations de pacification dans le Sagho sous les ordres du chef du Génie de Marrakech, le pont de Tanzikht fut commencé le 17 octobre 1932 par une équipe de légionnaires et de sapeurs et il fut livré le 22 novembre au passage des camions de 15 tonnes.
"Ce pont en béton armé comporte huit piles et deux culées, avec travées de 4,02 mètres d'axe en axe : sa largeur est de 5 mètres et le tablier est constitué par des monoblocs de deux travées, soit de 8 sur 5 mètres.
Pour la construction, il a été nécessaire d'établir un terre-plein de plus de 3000 sacs de terre et, pour l'établissement de la sixième pile en partant de la rive gauche, il a fallu descendre à 1,70 m. sous le niveau de l'eau pour ancrer les fers ronds de la semelle de la pille."
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 un p'tit clic sur la photo pour 3 p'tits ponts

              Le pont de Tanzikht sur le Draa....    Lors des opérations de pacification prévue dans le Sagho, il s'agissait, une fois le Draa franchi, de pouvoir assurer facilement la liaison avec l'arrière en construisant un pont submersible à Tansikht.
Construire un mont métallique, sans parler des frais qu'il eût entraînés, aurait demandé trop de temps.
Construit lors de opérations de pacification dans le Sagho, le pont de Tanzikht fut commencé le 17 octobre 1932 par une équipe de légionnaires et de sapeurs et il fut livré le 22 novembre au passage des camions de 15 tonnes, sous les ordres du chef du Génie de Marrakech.

« Ce pont est en béton armé ; il comporte huit piles et deux culées, avec travées de 4,02 mètres d'axe en axe : sa largeur est de 5 mètres et le tablier est constitué par des monoblocs de deux travées, soit de 8 sur 5 mètres.
Pour la construction, il a été nécessaire d'établir un terre-plein de plus de 3000 sacs de terre et, pour l'établissement de la sixième pile en partant de la rive gauche, il a fallu descendre à 1,70 m. sous le niveau de l'eau pour ancrer les fers ronds de la semelle de la pille.
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El-Mizen. C'est un blockhaus. Train Decauville  en stationnement[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Bonjour Alain, très belle image de ce train Decauville en plein... désert, dirait-on ! Mais je ne situe pas du tout où pourrait se trouver El-Mizen ! Je connais El-Moudzine, c'est tout à côté de Kénitra, il y avait là-bas une usine de fabrique de cigarettes de la Régie des Tabacs, mais c'est tout. Maroc oriental , ça jouxterai alors la frontière avec l'Algérie. Ce que je retiens surtout c'est le mot manuscrit "Embrasser Henri de ma part..."  : je prends , même si je ne sais pas de qui ça vient, en revanche je me doute de l'époque vers 1915 environ... la personne qui a écrit ça n'est certes plus de ce monde.
Toujours intéressant de pouvoir partager avec toi Alain, mais aussi avec les autres amis de ce site, j'ai bien aimé la description de la jeunesse de Djimmy et ouais, nous étions tous pareils à l'époque fans de James Jimmy Dean (le mois prochain, le 30/09 ça fera 67 ans déjà qu'il est mort). Encore aujourd'hui, quand la télé diffuse à nouveau un de ses trop peu nombreux films, je ne les rate jamais, au grand dam de mon épouse, qui n'aime pas les "rediffusions" m'enfin, on a aimé cette époque, où l'on se mettait de la brillantine ou de la gomina dans les cheveux (Pento) ... L'air de Géant, trotte toujours intact dans ma tête et il m'arrive de le siffloter en y repensant !

HENRI
 Beni Oukil et toutes les mines des environs étaient dans le Maroc  dit Oriental. On en exportait du charbon, du minerai de cuivre, de plomb (plus près d'Oujda le plomb si je me souviens bien). Mais comme dit la chanson: "Mais que c'est loin que c'est loin tout ça!"

Merci Lucien pour l'info. Bien qu'ayant vécu de ma naissance à 1965 (25 ans), je n'étais allé plus loin que Marrakech, alors que j'étais tout petit, et c'est tout ! On ne sortait pas beaucoup à l'époque (moyen de locomotion, je ne pourrai même pas te dire si mon père avait son permis de conduire... je ne pense pas). Alors pour sortir de Port-Lyautey, il n'y avait guère que la C. T. M. ou les C. F. M. et il ne devait y avoir à cette époque que quelques noualas Beni Oukil, peut-être aussi une gare, pour expédier le charbon... Cordialement.

HENRI
Bonjour. je suis heureux de te lire à nouveau. En ce qui concerne cette photo je me fie - avec beaucoup de précaution - à sa légende. Souvent des erreurs sont constatées. A cette époque l'oriental s'étendait à l'Algérie. La frontière était-elle bien délimitée? Ma narf. Il se peut que ce blockhaus se trouve en Algérie mais je n'ai aucune certitude, ni dans un sens ni dans l'autre.
Je corresponds avec  deux kénitréens copains de classe. Jean-Claude BECK et Gérard CHAMPY. Grâce au PPS élaboré par le bureau sur la dernière retrouvaille j'ai reconnu un visage. Renseignement pris il s'agit de yves RIPOLL. Or pour moi Yves est un meknassi. Nous avons enseigné dans le même lycée de Meknès. Puis une fois rapatriés chacun de son côté, nous nous sommes revus par hasard lors d'une visite avec nos élèves respectifs à la centrale nucléaire de CHOOZ. Très étonné de voir Yves et son épouse à la réunion des Kénitréens j'ai interrogé Yves à ce sujet. C'est ainsi que j'ai appris que ses parents étaient de P.L. et qu'ils s'y étaient mariés.

La gare d’Asilah
  Assilah est une ville située sur la côte atlantique du Maroc, au sud de Tanger. Sa vieille ville, ou médina, est entourée de remparts et de portes bien conservés, construits au XVe siècle par les colons portugais.
C'est vraiment une jolie petite ville.

Gare de Salé
Il existe une gare plus récente "Salé-Tabriquet". C'est une gare ferroviaire marocaine située dans le quartier "Tabriquet " de la ville de Salé. C'est la deuxième gare de la ville quant au trafic, derrière la gare de Salé-Ville. Jamais vu...

Grostefan Alain a écrit:HENRI
Je corresponds avec  deux kénitréens copains de classe. Jean-Claude BECK et Gérard CHAMPY. Grâce au PPS élaboré par le bureau sur la dernière retrouvaille j'ai reconnu un visage. Renseignement pris il s'agit de yves RIPOLL. Or pour moi Yves est un meknassi. Nous avons enseigné dans le même lycée de Meknès. Puis une fois rapatriés chacun de son côté, nous nous sommes revus par hasard lors d'une visite avec nos élèves respectifs à la centrale nucléaire de CHOOZ. Très étonné de voir Yves et son épouse à la réunion des Kénitréens j'ai interrogé Yves à ce sujet. C'est ainsi que j'ai appris que ses parents étaient de P.L. et qu'ils s'y étaient mariés.

Bonjour Alain, naturellement que je connais les noms que tu m'as cités J. C. Beck, Gérard Champy et Yves Ripoll. Je ne savais pas que ce dernier était meknassi, je l'ai connu en 64, il venait régulièrement dans une boite que nous animions l'été à Méhédya : "Le Safari". Jean-Claude Beck, c'était au "Bateau ivre" à Bouknadel qu'il nous accompagnait, à l'époque je n'avais pas encore la 4 CV, Renaut que j'ai acheté à Fès en 1962, il avait une Fiat et nous en profitions. Quant à Gérard Champy, nous avons été au lycée ensemble et c'était un compagnon de pause, après le repas de midi, pendant laquelle nous allions en griller une à côté d'un endroit où nous pouvions nous dissimuler, parce qu'interdit et qu'il ne fallait pas se faire prendre... Il était avec nous encore en mai dernier (2022) à Nîmes à l'occasion de la dernière A. G. de notre association, mais c'est toujours trop court ces réunions et on ne peut pas partager autant que nous le souhaiterions.
Bien cordialement,

Admin a écrit:Gare de Salé
 Il existe une gare plus récente "Salé-Tabriquet". C'est une gare ferroviaire marocaine située dans le quartier "Tabriquet " de la ville de Salé. C'est la deuxième gare de la ville quant au trafic, derrière la gare de Salé-Ville. Jamais vu...

Merci Jimmy pour ces toujours belles images de gares de notre pays.Quand j'y suis, je les utilise pour me déplacer, notamment de Kénitra à Rabat, c'est bien moins accidentogène que de prendre l'autoroute. Et quand, par curiosité on a le nez collé à la fenêtre du train, en passant par Salé & Salé-Tariquet, on peut apercevoir, quelque peu défraichie, sur un grand mur d'usine : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ! avec une typo bien caractéristique... "Pâtes Mélusine que c'est bon, c'est bon... pâtes Mélusine... que c'est bon" refrain tant entendu au cours des publicité "Jean-Mineur" dans les salles de cinéma !

Salut Henri,

Merci pour tes derniers renseignements concernant Salé .... Je suis resté à Salé de janvier à avril 1957 pour fourbir mes armes afin de mériter les 1ers galons de cabot-chef avant le voyage pour la France... j'ai été nommé sergent l'année d'après...
Voilà ce que j'avais appris par notre ami Richard Brandlin concernant les Moulins Baruk :
 Les Moulins Baruk n'apparaissent pas encore sous ce nom, en 1937,.
Les moulins David Baruk (originaire de Sfax) avaient été fondés à Salé en 1911, avant de se développer à Rabat, Fès et Marrakech. Ce sont eux qui fabriquaient les fameuses pâtes Mélusine "Pâtes alimentaires de luxe" et le couscous "tout prêt".
En effet, les Pâtes " Mélusine " était une marque déposée, mais pas tout à fait un établissement. Les Moulins Baruk ont oeuvré de 1955 à 1972 à Salé (entre autres).

 ◄◄ L'usine de Salé de Mr. Gaston BARUK, le grand minotier de Rabat, qui possédait une minoterie à Salé et une autre à Marrakech.

  Fès
  Bouznika
 Midelt
 ancienne gare de Casa

Les Pates MELUSINE .
Zizi

Les autres locomotives

J'ai toujours été admiratif devant les trains, les wagons, et surtout des locomotives... Il faut dire que j'étais aux 1ères loges quand j'étais jeune. J'ai toujours gardé ce côté nostalgique pour ces engins.  




 -  Une locomotive compound est une locomotive à vapeur à expansion multiple, c'est-à-dire que la vapeur se détend successivement dans au moins deux étages de cylindres en cascade : la vapeur issue des cylindres Haute Pression (HP) se détend à son tour dans les cylindres Basse Pression (BP).
 -  Un bogie, ou boggie, est un chariot situé sous un véhicule ferroviaire, sur lequel sont fixés les essieux (et donc les roues). Il est mobile par rapport au châssis du véhicule (locomotive, wagon ou voiture) et destiné à s'orienter convenablement dans les courbes. (déjà vu avec Lucien)

Les autres locos (suite)


quelque part au Maroc

Poste d'avant garde du 1er RTI à Taourirt
Train et locomotive en gare de Meknès
La loco DG220 au triage à Meknès