Fermes Agricoles, Viticoles et autres

Bonjour a tous

Bravo Rudy ,tu as mis la main a la pate ,beau reportage sur les travaux des champs d'Antan ,j'aime ce genre de manifestation enrichissante ,on découvre ou redécouvre la vie de nos ainés ,l'emploi de machines modernes pour l'époque et qui font sourire nos enfants .

Amicalement

BERDUGO,
nous te laissons, André, évoquer, cette très, très, vieille famille du Maroc, et qui plus est de MEKNES. Les deux frères connus de tous les agriculteurs des régions . (car je pense que c'est d'eux dont tu parles),

JOSé,
Je ne pense pas que se soit la véritable origine, mais c'est bien trouvé quand même...Ces tarares dont tu parles se trouvaient certainement dans les entrepots de Proselect, ce qui devait amplifier le bruit... Je me souviens que pour les Lascombe et nous, c'étaient vraiment des jours de jeux intenses...C'est vrai qu'à cette époque, tout était prétexte à jeux...

les fermes quel vaste sujet,

pour ma part pendant ma scolarité je vivais en ville et les vacances a la ferme chez mes parents, plus tard lorsque j'ai terminé mes études j'ai aidé mon pere au moment de la cueuillette d'oranges.

ça se passait au mois de décembre les orangeais étaient chargés de fruits c'était de toute beauté l'orange de la navel était mûre j'en ai gardé de bons souvenirs, il y avait beaucoup

de femmes et d'hommes qui participaient a la cueillette et moi même les femmes chantaient, avec le recul tous ces souvenirs me portent dans la vie et je remercie mes parents de nous avoir transmis cette richesse.

bonne soirée
Denise.

Bonjour à tou(te)s,
Il n'y avait pas que les oranges...
Il y avait aussi les mandarines.
Amitiés.
Jean

RE-,
Salut GHIS,
Tout à fait! Avec la peau des mandarines nous faisions des petits paniers... je l'avais complètement oublié...
Si tu y penses encore, à Noël prochain, demande à tes enfants d'en faire... photographie les... et mets nous tout çà en ligne...
La rubrique Us, coutumes et traditions me paraît tout indiquée!
Amitiés.
Jean

Bonsoir a tous

Merveilleux souvenirs que vous évoqués ,nous n'étions pas riches mais tellement heureux de ces petits paniers accrochés a l'arbre de Noel et parfois faisait aussi office de cadeaux garnis de friandises .

En dessert nous avions droit a un gateau de semoule avec des lamelles de peau d'orange séchées .

Jean José tu parles de la famille SALAS en 52-53 ils habitaient au 11 rue Gay Lussac ,1ere villa du Tanger Fes en partant de la Place d'Armes ,parti aprés l'indépendance vers Limoges et plus de nouvelle depuis .Grande famille de chasseurs .

Amitiés

Un très beau reportage que celui que je découvre à peine? Ca me remémore  un temps où ce n'était pas du tout un jeu que de devoir faire tourner le ventilateur du  tarare. A ce point que l'on avait trouvé la combine pour nous épargner cette peine. Une poulie à la place de la manivelle, pour  poulie motrice, celle du tracteur, les deux reliées par une courroie. Ouf!!

Le dessin naïf que j'ai placé plus haut est de ma fabrication. Un tarare réduit à sa plus simple expression. Il illustre une histoire de tararage que j'ai écrite.

Une question maintenant: qui peut dire en quoi étaient  faites les ruches arabes dans les campagnes?

Salut l'ami André (ça me fait tout drôle de t'appeler André habitué que j'étais au surnom de Jimmy) mais bref.



Tu as raison sur toute la ligne mon pote. Mais ce que je voulais surtout que l'on sache c'est que le plus souvent ces ruches étaient confectionnées en roseaux. Sorte de longue corbeille dont les interstices étaient colmatés avec un mélange de boue (argile de préférence) et de bouse de vache. Pas très ragoûtant à tripoter, j'en ai fait l'expérience, mais on ne saurait trouver plus efficace comme matière, ni mieux accepté par la colonie. Ainsi pouvait-on récolter le mièl tantôt d'un côté, tantôt de l'autre, en utilisant là encore de la bouse sèche pour l'enfumage.

Il me faut préciser que l'apiculture c'est un peu comme l'amour: pour que ça marche il faut qu'il n'existe aucune incompatibilité. Sinon: attention, danger! Et c'est précisément ce qui se passait entre ces petites bêtes et moi. Je les adorais alors qu'elles me détestaient. Question de phérormones. Immunisé à force de piqures, je n'enflais plus du tout. Ce qui ne les empêchait pas de me foncer dessus du plus loin qu'elles me voyaient approcher.

Salut mon ami

à INZERKI