Les 1ères Escadrilles et Grands Pilotes

                Couzinet  27 « Arc en ciel » - 1928
Avion quadriplace de raid. 1 seul exemplaire construit, le type 10 avec un nouveau moteur central. Il s'écrasa le 8 août 1928 lors de ses essais. Le mécanicien Georges Lanet fut tué sur le coup et le pilote Maurice Drouhin mourut deux jour plus tard de ses blessures.
Monoplan aile basse. Construction en bois.
           Couzinet 70 « Arc en Ciel » III  -  1932
Pour le Transport Postal  . Monoplan aile basse, construction en bois, lui aussi…
Avion quintuplace de transport postal. Premier vol le 11 février 1932. 1 seul exemplaire construit. Le 16 janvier 1933, piloté par Mermoz, il franchit l'Atlantique Sud de Saint-Louis-du-Sénégal à Natal en 14 heures et 27 minutes.
   

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Honneur à ces drôles d'engins volants que sont les avions historiques...C'est une copie bien sûr, mais d'original à proposer..., donc pas d'année de construction à préciser...Dommage      

...à 22h.55...Finalement j'ai retrouvé les traces du petit AVRO... c'est un Roe triplan N° 4 - 1910 - 4ème version de ce triplan - 1 seul exemplaire en 1912. constructeur , Howard Pixton... dès fois qu'on vous le demande...

Un p'tit retour sur le Dewoitine D-338

           Le Dewoitine D.338 est un avion de ligne français basé sur le Dewoitine D.332. Au total, 31 appareils sont sortis d'usine, aux couleurs d'Air France, pour relier Paris à Cannes, Damas, Hanoï, Dakar, Hong Kong et Nice.  Sa ligne n'est pas très emballante, et pourtant il a eut un succès remarquable.
Avion trimoteur de transport dérivé du Dewoitine D-333. 31 exemplaires construits pour la compagnie Air France. Monoplan aile basse. Construction entièrement métallique.
          Le Dewoitine D.338-01, fleuron de la flotte d'Air France à la veille de la guerre intéresse Air France qui achète l'appareil au constructeur SAF. L'appareil assure son premier service commercial le 13 juillet 1936 sur la ligne Paris-Lyon-Marseille. Il offre une qualité de confort inégalé jusque-là (la cabine est insonorisée).
La compagnie va commander au total 28 appareils. L'appareil est aménagé en 3 versions : court-courrier sur les lignes intérieures et européennes (22 passagers sur 800 km), moyen-courrier sur le tronçon Toulouse-Dakar (15 passagers sur 1.500 km) et long-courrier pour la ligne d'Extrême-Orient (8 à 12 passagers sur des étapes d'environ 2.000 km).

Les 1ères escadrilles faisant partie du Groupe sanitaire. Meknès, le 20/07/1925.... CPA à classer dans nos bibliothèques.

        Il semblerait que le décollage a eut lieu à Meknès (?????), le 21 mars 1915 - CPA à conserver elle aussi...Historique.

Quelques photos d'avions de la pacification – Jacques Gandini

         1931 - aviation militaire de Bou Denib
       1931 - Bou denib - Bréguet piloté par le Sgt Seidler
          1936 - escadrille Potez 29
         1931 - Bou Denib - Bréguet XIV - Sanitaire
           photo de l'adj Deschamps du 33ème régiment d'aviation

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Le SPAD VII

Les as oubliés de 14/18

De tous les avions du Musée de l’Air et de l’Espace, le SPAD VII de Guynemer demeure le plus précieux car plus qu’un appareil il rappelle le souvenir du Héros et à lui seul symbolise la lutte de milliers de jeunes hommes prêts à se sacrifier en combat aérien pour leur Patrie. S’il existe actuellement encore quelques avions d’As de la Première Guerre Mondiale aucun n’a conservé sa toile originale et n’a fait l’objet d’une restauration aussi minutieuse.




Le SPAD VII fut conçu par Louis Béchereau autour du moteur Hispano-Suiza 8 HS de 150 ch mis au point par Marc Birgkit en 1915. Le prototype vola en avril 1916 piloté par Becquet. Il montra immédiatement des performances très supérieures à celles des avions alors en service. Commandé à 268 exemplaires la production mit beaucoup de temps à s’organiser puisque 207 seulement avaient été construits à la fin de l’année, avec des moteurs de 150 ch.
Le Deperdussin Monocoque est un avion français des années 1910, conçu par Armand Deperdussin et un ingénieur nommé Louis Béchereau.
La SPAD est une société de construction aéronautique française créée en janvier 1911 à Bétheny, près de Reims.
Spad peut désigner : Le constructeur aéronautique SPAD (sigle pour Société de Production des Aéroplanes Deperdussin), SPAD S.XIII, SPAD S.VII, avions de combat fabriqué par ce constructeur.

Bonjour Jimmy,
En 2006 la piste de Bou Denib existait ,elle existe toujours mais elle n'est pas praticable, je pensais pouvoir poser le B200 ,il y a trop de pierres. Elle est dans le même état qu'il y a 100 ans.
Zizi

Salut Maâlem....
Zizi, mon pote...
Tiens.... pour rigoler un peu, en jouant sur les mots...
Tu parles de Bou Denib..... C'est normal qu'il n'y ait pas grand chose chose dans ce bled.... Pourquoi...???
"Nib" est un mot marocain qui signifie "rien"...
Donc, Bou de Nib.... c'est un bout de pas grand chose...Voilà..... kaïn wouallou  ( كين ووالو)    ça, c'est pour t'épater....... Wouaff, wouaff  

questé fort oulla lahdim jte connais qté fort ,mon cher Jimmy tu te souviens des courses de vélo devant la villa des Fernandez qui coupait la rue Guay Lussac ,virage devant la porte de Rojas .Pour l'histoire de Bou Denib qui se situe à l'ouest de la frontière 120Km ,le big boss qui est DCD depuis 2 ans avait obtenu 1000 hectares de friches ou tout les spécialistes du coin disaient rien ne pousse ici ,mais lui était un grand ,a planté 300 h de palmier dattier ,300 h de vigne raisin de table et 300 h d'olivier ,tout  ça depuis 15 ans produit des merveilles ,mais lui c'étai MONSIEUR PIERIK PUECH né en Algérie.  En 2004 c'était  130000 tonnes de fruits et légumes exportés dont + de 80 000 tonnes de tomates . 
La suite au prochain numéro.
vive nous du quartier industriel bien à toi Kammaraaade
Zizi

Ami Zizi,

Entre les courses de vélo et de motos (le fameux "Bol d'Or"), j'étais aux 1ères loges. J'habitais angle rue Branly/rue Cuvier. De là, ils remontaient la rue Cuvier et traversaient plus haut la rue Gay Lussac...
J'avais 9/10 ans pour les 1ères courses.... Je draguais les filles alors que toi tu étais encore en barboteuse....Wouaff, wouaff, wouaff...
On était beau.... on était jeune.... on sentait bon le sable chaud....

Effectivement mon cher Jimmy la barboteuse ne m'empêchait de regarder les avions dans le ciel et de me poser la question, il était petit le pilotes il devait être allongé,  après en culotte courte ,j'allais en traversant le camps de la patrouilleuse voir les avions au roulage sur le taxiway , ensuite en pantalon fréquenter l'Aéro Club , ayant encore grandit pour apprendre à piloter un avion,  encore grandit pour revêtir l'uniforme ,  signer un engagement dans l'ALAT , pour poursuivre le rêve de la barboteuse faire voler les avions roulant sur le taxiway ,avec une combinaison de vol ,de l'Armée de l'Air ,de la barboteuse à l'uniforme de pilote de ligne ,quelques années se sont déroulées ,toutes ces étapes sont dans mémoire avec la ville ,le quartier ou je suis né ,et surtout mon cher Jimmy toi et nos copains. La barboteuse a fait de moi un homme heureux de mon enfance et adolescence. Tu as ravivé mon parcours .Merci.
Bien à toi
Zizi[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

ZIZI,  wouaaouh.....

Aaah...!!! ça m'émeut beaucoup tout ça....

Et cela faisait longtemps que j'avais lu le mot "ALAT" (l'aviation légère de l'Armée de terre...)
  En ce temps là, avec le temps, de la barboteuse à l'ALAT, il n'y avait que "la Patrouilleuse" à traverser, laisser le "champ de tir" à gauche, et direction la route d'El Hajeb...et mieux encore.... en prolongeant la Base, plus loin sur la gauche, au niveau des bâtiments du Génie, on se trouvait dans l'axe de la piste de décollage. Il y avait les Lascombe, Rucher (Yvette), Martinez, Andréo, Muller..... et j'en passe beaucoup..., peut être même un "Rosso", mais il était tout petit...    
Plus tard, avec les vélos, ce fut le temps des "montagnes russes" quand les blindés nous laissaient le terrain.

Curieuses, les origines de nos armées... L'aviation est issue de l'Armée de terre (les 1ères escadrilles).... L'armée d'Afrique (qui comprenait les armes de  l'infanterie, artillerie, cavalerie blindée, transmissions et troupes aéroportées et j'en passe) est une composante des "Troupes de Marine"...
Il paraît que l'on doit ces appellations à Richelieu, lequel a créé en tout 1er lieu les "compagnies de la mer"...
Sacré cardinal....

A ++++, mon Commandant...

Les 1ères escadrilles en photo couleur de Gervais de Courtellemont

       Jules Claudin dit Gervais-Courtellemont

Il a été déjà cité dans une autre rubrique.... Jules Claudin Gervais dit Gervais-Courtellemont, est un photographe français, né le 1er juillet 1863 à Avon et mort le 31 octobre 1931 à Coutevroult. Il fut un expérimentateur de l'épreuve en couleurs dite autochrome.

Les autochromes de Jules Gervais-Courtellemont
Photographies en couleur de la guerre de 1914-1918

Ce diaporama est composé de 19 vues, réalisées pour la plupart entre 1914 et 1917 lors de la Première guerre mondiale, présentant des autochromes de Jules Gervais-Courtellemont.
Vont suivre ici  ci-après, seulement 9 reproductions des autochromes originaux durant la période 1915 prises au Maroc. - Editions "Francaise Illustrée"

L’autochrome est un procédé de restitution photographique des couleurs breveté le 17 décembre 1903 par les frères Auguste et Louis Lumière.
C'est la première technique industrielle de photographie couleurs, elle produit des images positives sur plaques de verre. Elle fut utilisée entre 1907 et 1932 environ. On lui doit en particulier de nombreuses photos de la Première Guerre mondiale.
Oujda - 1915 - les 1ères escadrilles
        
           
           Avion de guerre en 1919.  Les premiers avions sont créés au début du 20e siècle ; l’armée française s’y intéresse comme outil d’observation. En 1914, on compte dans les effectifs 216 avions répartis en 27 escadrilles. A la fin du premier conflit mondial, l’aviation militaire possède 336 escadrilles dans lesquelles ont servi plus de 51 000 avions dont 1000 hydravions pour 17 390 pilotes militaires brevetés dont 1250 tués au combat.

La Première Aviation fut l'Aéromaritime avec les Hydravions, les montagnes Russe à vélo ,il fallait passer à gauche de la maison de Mr et Mme Lantuy sur la piste qui nous conduisait a gauche des palissades en bois de la maison de Nicole ma copine on continuer devant la maison de Remy qui avait les cheveux long ,les transporteurs les frères Lousouri et la Patrouilleuse devant nous à gauche le stand de tir ,depuis quelques années il y a l'hôpital Militaire et cette route effectivement arrivait a la voie de chemin de fer qui contournait le km10 pour prendre la route D'el Hajeb sans passer par Boufekrane .
Mon premier contrat fut mon engagement dans l'Aviation Légère de l'Armée  de Terre, j'ai rejoins Nancy en Nord 2501 depuis Meknès ,incorporation au Centre d'Instruction de l'ALAT ( CIALAT ) avec orientation Pilote j'avais lors de mon incorporation plus de 250 heures de vol, l'Adjudant-Chef de discipline ,Instructeur avion et Hélicoptère, m'a demandé ma licence de pilote et mon carnet de vol ,il a été ébloui en plus il était passé par Meknès donc la voie Royale, j'étais le seul avec ce paquetage, je me suis retrouvé 2eme Canonnier servant tireur, en 12 semaines j'ai suivi les cours de la formation de base (les classes) et 4 semaines de peloton 1 reçu Caporal Chef ,j'ai donc quitté l'ALAT au bout de 3 mois et le grade de Caporal , pour rejoindre l'Armée de l'Air ,avec un rattachement à une promo en instruction DIS ,DIV  à la fin de tout ça départ volontaire pour [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]servir la France en Algérie .
Voila mon bon Jimmy un parcours pour moi normal .pour la petite histoire j'ai ramené ma science ce qui m'a valu l'ajournement pour le grade de Lt/Colonel dans la réserve ,mais très bientôt dès mon retour tout rentrera dans l'ordre. 
Bien à toi mon Jimmy
Zizi

Inauguration de la Ligne Casablanca-Dakar
Le 1er juin 1925.

En 1922, la liaison Toulouse-Casablanca devient quotidienne, en octobre est inaugurée la ligne Casablanca-Rabat-Fez-Oran.
Jean Mermoz est engagé en octobre 1924,
- Janvier 1925 : Joseph Roig, Paul Vachet, Etienne Lafay et Victor Hamm, effectuent un vol d’étude de Rio à Buenos-Aires suivi en mars 1925, par le trajet Rio de Janeiro - Pernambouc
1er Juin 1925 - C'est le premier service Casablanca-Dakar par Emile Lécrivain et Edmond Lassalle (2.760 km en 23h).
       
1er type d'avions postal Latté VIII                                  À Montaudran, Jean Rodier                                   Toulouse préparatif départ du courrier pour le Maroc
- 3 Décembre 1926 : Pierre Georges Latécoère, dont la société C.G.E.A. est en proie à des difficultés financières, se rend à Rio de Janeiro pour y rencontrer Marcel Bouilloux-Lafont (Photo) industriel français fortement implanté en Amérique du Sud.
Pour développer la Ligne sur le continent Sud Américain, Pierre Georges Latécoère vend la C.G.E.A. à Marcel Bouilloux-Lafont qui s’engage à acheter à la S.I.D.A.L le matériel volant nécessaire.


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Jimmy termines l'approche à vue sur Lyon Bron
Zizi[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Ouais, Zizi...

Comment veux tu que je m'approche de la piste....??? Y bouge pas ton zinc...!!!
Essaies celui là... : ▼  ▼   ▼   Y marche au kérozène... Bonne chance

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CHEUTIN Etienne (1880-1938)[/b]
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Lt Etienne Jean Cheutin (Infanterie) - Né le 25 mai 1880 à Guérigny (58) - Titulaire du brevet de pilote militaire n° 16 en date du 15 juillet 1911 - Brevet de l'Aéroclub de France n° 233 obtenu le 15 juillet 1911 - Affecté à Mourmelon (80) - Pilote de l'escadrille algérienne de Biskra - Auteur du raid Biskra-Tozeur-Gabès-Tunis - Nommé Capitaine à titre définitif le 22 février 1915 - Commandant de l'escadrille MF 32 du 9 mars au 28 octobre 1915 - Commandant de l'escadrille 502 d'Orient du 28 octobre 1915 au XX novembre 1915 - Commandant de l'escadrille F 16 du 2 août 1916 au 14 janvier 1917 - Nommé Chef de Bataillon - Commandant de l'aéronautique du Maroc - Auteur du 1er survol du grand et du Moyen Atlas le 1er mai 1918 - Nommé général, le 1er janvier 1932 - Décédé à Epinay-sur-seine, le 20 septembre 1938 - Carte postale d'époque.

Les Pionniers de l'Aviation

            Louis Émile Train
Dès 1909, il s’oriente vers l’aviation. Il s’installe au camp de Châlons-sur-Marne où il crée un atelier. Il construit rapidement son avion « 1 », entièrement métallique. Il adopte la formule monoplan, avec un centre de gravité bas, qu’il conservera sur les modèles suivants. Il progresse très vite. Moins de quinze jours après avoir construit son avion, il obtient son brevet de pilote le 9 août 1910, sous le numéro 1674.
           Lors d'une exhibition survient un drame qui va endeuiller la France. Émile Train, en difficulté avec le moteur du monoplan de sa fabrication, décide de revenir se poser sur la piste à l’instant précis où un peloton de cuirassiers la traverse. Pour éviter les cavaliers, il essaye de virer, mais comme il expliquera après le drame, le moteur faiblissait de plus en plus et ne lui permettait plus d’effectuer de virage. Il s'écrasa dans la foule et fit 1 mort et 2 blessés.