Les 1ères Escadrilles et Grands Pilotes

Georges Guynemer

    Monument érigé à Poelkapelle, commune néerlandophone de Belgique située en Région flamande dans la Province de Flandre-Occidentale.

Dernière citation, posthume
L'Armée de l'air commémore son souvenir chaque 11 septembre par une prise d'armes sur chacune des bases aériennes dont deux ont longtemps porté son nom : celle de Paris (état-major) et celle de Dijon.
À l'ordre de l'armée, cette ultime citation date du 16 octobre 1917 (cf infra :« Décorations et citations ») ; à l'occasion de cette cérémonie militaire est lue la dernière citation de Guynemer :

« ... mort au champ d’honneur, le 11 septembre 1917. Héros légendaire, tombé en plein ciel de gloire, après trois ans de lutte ardente. Restera le plus pur symbole des qualités de la race : ténacité indomptable, énergie farouche, courage sublime. Animé de la foi la plus inébranlable dans la victoire, il lègue au soldat français un souvenir impérissable, qui exaltera l’esprit de sacrifice et provoquera les plus nobles émulations. »

Cette citation a été rédigée par Paul Canteloube de Marmiès. Depuis 1924, elle est lue dans toutes les bases aériennes françaises58, selon une circulaire du 25 septembre 192459 instaurant cette cérémonie commémorative.

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Georges Guynemer en images    (fin)

René Bazin

                        Aviateur français, pionnier de l’aviation qui s’est illustré en Colombie et est à l’origine de l’Aéro-club de la presqu’île guérandaise, est né à Nantes (Loire-Atlantique) le 20 novembre 1894. Décédé à Toussus-le-Noble le 19 mars 1973.  

Il était mécanicien à Toussus-le-Noble en 1912, chez Henri Farman.

Durant la Première Guerre mondiale, il a été observateur dans l’aviation avec le grade d’adjudant. Il a été cité à l’ordre de l’aéronautique de la 2ème armée le 31 août 1917 : « Pilote de premier ordre, d’un courage et d’une habilité remarquables. Au cours des dernières opérations du 11 au 15 août 1917, il a permis aux observateurs d’exécuter avec succès de nombreux réglages d’ALGP à très grande distance. En plus de son travail normal de réglage d’artillerie, il a effectué le 18 août 1917, une reconnaissance photographique de 150 km dans les lignes ennemies ».

Les 1ères bases au Maroc




Vue du camp Nord de Kasba Tadla - Là où je suis né...

     Photo Flandrin-le-plaisantin
Un avion qui a eu mal au coeur.

Effectivement de beaux avions, j'étais au DTO/33/540 Tlemcen/Zenata EALA 14/72 avions T6
Amicalement
Alain ROSSO

Les dirigeables Astra-Torres


Lorsque la Première Guerre Mondiale éclate, la Marine souhaita disposer de moyens aériens capables de patrouiller loin des côtes, les avions de l'époque en étant parfaitement incapables, c'est donc vers les dirigeables que l'arme navale se tourna.

Parmi les différents types de dirigeables mis en œuvre par la Marine, il y eu les Astra-Torres.
Ces aérostats furent utilisés pour la patrouille en mer, l'escorte de convoi et la lutte anti-sous-marine.
Quelques photographies de nacelles, car ne l'oublions pas, il ne s'agissait pas de drones et l'Homme restait au centre de la machine !

...Poser à même le sol ?! Pas de train d'atterrissage ?! Ca devait taper un peu par vent fort...
Un peu exiguë et les conditions de sécurité ne sont pas celles d'aujourd'hui (pas de casque, de gants, de lunettes... ni même de parachute !!)

     

Il a fallu passer par un avion comme celui là pour en arriver au CONCORDE...

....et pour en arriver aux drônes aussi...
Les drônes... quels drôles d'avions...!!!Quel parcour.

Le Blériot-Guillemin de 1925
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]           L'aviation sanitaire.